Cher(e) ami(e) de la Santé,
Un virus grippal (pas le Covid !) m’a cloué au lit le 21 décembre…
…et aujourd’hui 11 janvier, je ne suis toujours pas remis à 100 %.
Ma femme Jade, qui n’est jamais malade…
…a elle aussi été atteinte, et continue de tousser aujourd’hui encore.
Avez-vous observé le même genre de phénomène, autour de vous ?
Beaucoup de gens disent avoir vu énormément de gens malades pendant les fêtes.
Il est vrai qu’autour de moi, j’ai entendu parler de beaucoup de petites grippes…
…mais généralement résolues en une semaine, comme il se doit.
Avez-vous eu des proches qui ont eu des virus plus pernicieux, qui les ont mis à plat pendant plusieurs semaines ?
Dites-le-moi en commentaire, cela m’intéresse beaucoup.
D’habitude, je m’intéresse plus au « terrain » qu’au virus.
« Le terrain est tout, le virus n’est rien », dit-on souvent, à juste titre.
Et sans doute, en effet, avais-je un terrain « diminué ».
J’étais probablement en surmenage, après la sortie de mon « grand œuvre », le livre Antivax toi-même !
De façon générale, ces 3 années de covidisme délirant m’ont énormément affecté, intellectuellement et émotionnellement.
Peut-être que cette maladie était un message de mon corps, qui m’a forcé à faire une vraie pause.
Mais tout de même.
Cela n’explique pas l’état de ma femme, ni celui de mon père (qui l’a attrapé aussi, hélas).
Est-ce lié à la « dette immunitaire » ?
Certains pensent qu’à force de confinements et de « distanciation sociale », nous avons contracté une « dette immunitaire » : nous n’aurions pas été suffisamment en contact avec des virus ces dernières années, et du coup notre système immunitaire serait affaibli, moins préparé.
Un peu comme un muscle non sollicité pendant des mois, qui finit par s’atrophier.
Qu’en pensez-vous ?
Une chose est sûre, ce n’est pas le vaccin qui a affaibli notre système immunitaire, puisque ni mon épouse, ni mon père, ni moi-même n’avons reçu l’injection anti-Covid.
Alors quoi ? Un nouveau virus créé en laboratoire ? Je ne plaisante qu’à moitié, on ne sait jamais !
En tout cas, j’aimerais vraiment comprendre.
C’est pour ça que je fais appel à vous, mes chers et fidèles lecteurs.
Avez-vous subi ou observé autour de vous un syndrome grippal un peu particulier, depuis le mois de décembre ?
Que pensez-vous de tout ceci ?
Dites-le-moi en commentaire.
Je vous en remercie par avance.
Bonne santé,
Xavier Bazin
1 370 réponses
cela a commencé début décembre. toux grasse et rejets gris claire. puis est arrivé une fatigue total. incapable de me lever, de marcher longtemps sans être obligé de me poser. diagnostique du médecin (petite grippe). antibiotiques sans aucun effet. les écoulements naseaux se sont accentués et continue 1 mois et demi après. Nouvelle prescription (amoxicline) ou un nom dans le genre. net amélioration mais: je me fatigue très vite, me mouche sans arrêt, et dors des que je me pose.
Bonjour, pour moi, 60 ans, jamais « vaccinée » COVID, jamais malade en temps normal, eu le COVID fin 2021, mais sans gravité, la « grippe décembre 2022 » a commencé deux semaines avant Noël 22, perte d’appétit, puis vomissements au bout de quelques jours (de rien je ne mangeais pas!), et je ne suis pas sensible à cela, j’ai vomi 2 fois en 30 ans! Maux de tête pendant quelques jours. Maux de gorge. Bronchite, mais pas très profonde, j’utilise le Ravintsara, poumons pas encore clairs après plus d’un mois. Douleurs du bassin. Forte constipation. Fatigue lourde, au point de m’endormir tous les jours vers 19 heures pendant une heure devant le feu, après des nuits de 12 heures, alors que c’est ma période creuse professionnellement, ça ne m’était jamais arrivé de dormir autant. Sueurs nocturnes, ainsi que bouffées de chaleur et de sueurs la journée (comme des poussées de fièvre), alors que je n’en ai pas eu pendant le ménopause, pour finir avec un lumbago le 08/01, qui 2 semaines plus tard n’est pas encore clair, alors que les rares fois où j’en ai eu, ils sont passés en 2 jours. La fatigue a disparu d’un coup avec l’arrivée de la neige, le 17/01, après plus d’un mois « à plat », pas vraiment très malade (2 jours trop à plat pour pouvoir travailler, seulement, sans compter le lumbago), mais pas en forme comme d’habitude.
Selon un médecin du secteur, « tout le monde » l’a eu.
Mes deux fils, la trentaine, l’un a eu une perte d’appétit et de la fatigue, l’autre, habitant à 400 km de chez moi, a vomi, avec une fatigue intense, alors qu’il ne vomit jamais. Ils n’ont pas été vaccinés non plus, mais nous avons tous les trois beaucoup de contacts professionnels avec des personnes vaccinées.
Le 21 décembre 2022 j’ai ressenti une immense fatigue, accompagnée d’une perte d’appétit, de maux de gorge et d’une toux grasse durant plusieurs semaines. Tous les symptômes ont disparu, je ressens dans certaines activités (natation) une perte de capacité respiratoire. J’ai une bonne constitution, prends aucun médicament d’habitude.
J’oubliais la pointe au cœur et des sensations ponctuelles d’accélération cardiaque, aucun pb de ce côté avant, ni antécédent. On est de plus en plus cernés par les éoliennes industrielle, et leurs puissants infrasons.Depuis l’implantation des premières problématiques en 2010, à 10 km, 14 de 150 m de haut, mes défenses immunitaires et ma concentration ont baissé quand le vent en vient (NO), pas de grave maladie, mais de petits désagréments. En automne 2022 d’autres éoliennes géantes on été mises en service au sud, 183 m de haut, 150 de diamètre d’hélices, 17 machines entre 12 et 20 km (+ 8 plus anciennes plus au SE un peu plus loin, et bientôt 9 de plus) et il est clair que le vent du sud est lui aussi devenu un poison. Donc les vents dominant étant poison, le corps ne peut plus récupérer! S’y ajoutent les infrasons des fermes industrielles et les antennes, cela fait une vrais soupe toxique qui ravage les défenses naturelles les plus solides! Les infrasons sont vraiment un pb sanitaire sous estimé et sous étudié, il faut que des journalistes indépendants osent s’y mettre! Les politiques et lobbies pro éolien sont si forts que l’ANSES a le culot de ridiculiser les travaux des médecins de l’armée portugaise à ce sujet!!!!! Les infrasons sont de plus en plus présents, pompes à chaleur entre autres….
L’enfer pour ma part depuis le 2 Janvier nous sommes le 21) toux violente, mal de crâne infernal, courbatures intenses sur tout le corps…et depuis j’ai un jour sur deux de répit. Plus du tout l’énergie habituelle. Mon fils de 17 ans a été affecté en même temps que moi et lui aussi a des sensations en Yoyo. Test Covid infructueux. Vu le généraliste qui m’a vaguement parlé d’un virus grippal.
Avec votre épuisement, vous avez fini par subir « influenzae « et succomber à ce matraquage d’influences; doutant de l’effet de votre grand œuvre, je parle de votre livre magnifique, vous avez été pris d’une grande tristesse. La pneumonie est une révolte du corps contre l’envie de mourir. je vous conseille phosphorus 15CH 3 granules 2 fois par jour. Le phosphore est « la porte de la lumière « étymologie. Ça guérit la pneumonie et sa cause profonde. Un antibiotique ne fera que reculer le problème de la déprime….cordialement.
grands voyageurs, nous fréquentons les aéroports depuis 8 mois et sommes tombés malades par deux fois ( début septembre à Madagascar et decembre en Inde ). Nous avons eu très exactement les symptômes décrits dans votre article et durant 3 semaines. Nous ne sommes d habitude nullement sujets à des problèmes respiratoires. aucune maladie depuis plus de 3 ans. Mais là ça a été très handicapant! Sensations d étouffement, toux grasse et persistante( encore maintenant après 7 semaines), grosse fatigue et maux de tête les 3 premières semaines. Hallucinant! On s est carrément mis sous ventoline pour pouvoir respirer.
En effet, je suis retraité et ça a commencé environ mi-décembre, et ça a empiré entre Noël et Nouvel An. Aujourd’hui 21 janvier, toujours pas remis. Exacerbation majeure de ma BPCO bien stabilisée, avec sécrétions et toux spasmodique que je n’avais jamais connu : aérosolthérapie de bronchodilatateurs sur 3 mois (et cortisone et azithromycine sur 10 jours). Météo pourtant douce cet hiver. Mes petits-enfants aussi malades au niveau respiratoire. Classique en hiver direz vous. Non, bizarre, différent de d’habitude. Je serai curieux de savoir des indicateurs précis épidémiologiques quand et si chiffres et type de population.
Contente de lire cet article car le soir de Noel passé en famille nous étions 8 sur 14 a commencer cette grippe transmise par un de nos petits fils qui toussait. Tous, les memes symptômes avec une fatigue énorme et une toux à se déchirer les poumons. 10 jours totalement HS et ensuite pour ma part, 66 ans, en pleine forme et sans aucun facteurs favorisant, cela s’est terminé 15 jours plus tard par une embolie pulmonaire sur phlébite. Jamais , je n’avais été malade comme ça!
pareil , j ‘ai eu la me^me chose que vous , alors que je ne suis jamais malade , et je ne suis pas encore complètement guérie