Vaccin en Israël : succès ou échec ?

Voici les faits, j’attends votre réaction !

Depuis quelques semaines, nos chers médias nous annoncent monts et merveilles avec la vaccination en Israël.

Le 15 février dernier, par exemple :

Ou encore plus récemment, le 20 février :

Dans cette dernière « étude », on claironne même, tenez-vous bien :

            « Un vaccin efficace à 98,9 % pour prévenir la mort »

Si c’était vrai, ce serait formidable !

Mais vous me connaissez, je ne m’arrête pas aux grands titres de presse.

Surtout quand ces grands titres reposent sur des études réalisées par des gens en flagrant conflits d’intérêts : les autorités israéliennes et Pfizer :

  • Pour Pfizer, si l’expérience israélienne se montre décevante, c’est un manque à gagner d’au moins 15 milliards d’euros (son chiffre d’affaires vaccinal prévu pour 2021) !
  • Pour les autorités israéliennes, à quelques semaines des élections, il est crucial de montrer que le plan de vaccination est un succès éclatant, plutôt qu’un échec.

N’oublions jamais cette vérité capitale du démographe Alfred Sauvy :

« Les chiffres sont des êtres fragiles qui, à force d’être torturés, finissent par avouer tout ce qu’on veut leur faire dire ».

Donc, regardons les faits, calmement.

Regardez ces graphiques – voyez-vous un succès éclatant ?

Si le vaccin avait vraiment une efficacité aussi spectaculaire, cela devrait se voir comme le nez au milieu de la figure.

Je rappelle que Israël est le pays qui a le plus largement vacciné, de très loin.

La vaccination généralisée a commencé mi-décembre, il y a plus de 2 mois.

Aujourd’hui, environ 90 % des plus de 70 ans ont été pleinement vaccinés, avec 2 doses.

Donc, la quasi-totalité des plus de 70 ans sont censés être « protégés » (depuis plus d’un mois pour la plupart).

C’est important, car je rappelle que 90 % des morts de la Covid-19 ont plus de 70 ans.

Donc :

  • Si 90 % des plus de 70 ans sont vaccinés ;
  • Si 90 % des plus de 70 ans sont vaccinés ;
  • eh bien on devrait assister à une chute drastique du nombre de morts !

Si le vaccin était efficace, on ne devrait quasiment plus avoir de morts en Israël.

C’est mathématique : avec un vaccin soi-disant efficace à 98 % contre la mortalité, il devrait y avoir environ 80 % de moins de morts (98 % x 90 % x 90 %).

Maintenant – et j’en appelle à votre sagacité – dites-moi si vous voyez cette chute drastique du nombre de décès en Israël.

Voici la courbe des morts de la Covid-19 en Israël, depuis le 1er décembre (je rappelle que la vaccination a commencé le 19 décembre) :

Remarquez d’abord que, pendant 1 mois et demi après le début de la vaccination, la mortalité n’a pas arrêté d’augmenter, malgré un confinement strict tout le mois de janvier.

Puis, début février, la mortalité a enfin commencé à reculer nettement.

Mais cette diminution est-elle due aux vaccins ?

Ou bien à la dynamique naturelle de l’épidémie ?

Pour en avoir le cœur net, regardons ensemble l’évolution dans des pays qui n’ont pas ou peu vacciné, sur la même période.

Voici l’évolution du nombre de morts en Afrique du Sud (vous savez, ce pays où règne le « terrrrrible » variant sud-africain) :

Tiens, la mortalité chute à peu près de la même manière, au même moment.

Voici le Portugal, qui a vacciné 10 fois moins qu’Israël :

Ou la Suède, qui n’a jamais confiné (et très peu vacciné) :

Vous voyez à quel point les courbes se ressemblent ?

Il n’y a pas de différence évidente entre Israël et ces pays qui n’ont pas ou peu vacciné !

Et que dire des voisins d’Israël ?

Voici la courbe de mortalité en PALESTINE (sans vaccin), juste à côté d’Israël :

Et au LIBAN (sans vaccin non plus) :

Au Liban comme en Israël, la mortalité a augmenté en janvier… pour reculer en février.

Il est donc très difficile d’affirmer que les vaccins sont la cause du recul de la mortalité en Israël.

Ce qui se passe aux Émirats Arabes Unis est encore plus troublant.

Les Émirats sont le deuxième pays au monde à avoir vacciné massivement sa population, très loin devant le Royaume-Uni (qui est sur la troisième marche du « podium » de la vaccination) :

Les Émirats ont déjà administré 5 millions de doses, pour 10 millions d’habitants.

Et le résultat sur la mortalité est… comment dire :

La mortalité n’a pas arrêté d’augmenter depuis le lancement du programme de vaccination (le 5 janvier) !

Même phénomène étrange à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine la campagne vaccinale[1].

Voici ce que j’en conclus – et vous ?

Attention : je ne dis pas que ces courbes sont une preuve, dans un sens ou dans un autre.

Je dis simplement trois choses :

Primo, il devrait être évident pour tout le monde que le recul de la mortalité en Israël n’est pas forcément lié au vaccin – il suffit de voir tous les pays non vaccinés où la mortalité recule au même moment et au même rythme.

Deuxio, il est au contraire très étrange qu’on n’observe pas de chute drastique de la mortalité en Israël – si le vaccin était aussi efficace qu’on le dit, cela devrait se voir clairement. Or ce n’est absolument pas le cas.

Tertio, il faut donc rester très prudent quant aux gros titres de presse, qui claironnent l’efficacité du vaccin sur la base de calculs statistiques douteux, réalisés par des gens qui ont tout intérêt à vous dire que ça marche.

Encore une fois, je ne dis pas que le vaccin ne marche pas du tout. Il doit forcément marcher un peu !

J’ai beau avoir une confiance limitée dans les essais cliniques réalisés[2], je n’imagine pas qu’on puisse passer de 90 % d’efficacité annoncée à 0 % !

Ce que je dis, c’est que l’efficacité de la vaccination de masse sur la mortalité n’apparaît pas du tout évidente, à ce stade.

C’était à prévoir[3], car on sait depuis longtemps qu’aucun vaccin ne fonctionne sur les personnes les plus fragiles de plus de 75 ans, donc les plus à risque de mourir de la Covid-19.

Si vous ajoutez à cela les éléments suivants :

  • Ces vaccins causent 10 fois plus d’effets indésirables que le vaccin contre la grippe[4] – et dans de rares cas, ils semblent tuer les personnes fragiles : est-ce une coïncidence si la doyenne de Saône et Loire (110 ans)[5] et le doyen des Bretons (108 ans)[6] sont morts dans les 5 jours qui ont suivi leur vaccination ? 
  • Les variants vont inévitablement rendre les vaccins inefficaces[7] : les vaccins actuels ne protègent même pas contre le variant sud-africain, et de nouveaux variants échappant aux vaccins vont forcément apparaître sous l’effet de la vaccination de masse.

Du coup, cela a-t-il encore un sens de se faire vacciner, sachant que :

  • Avec l’immunité collective, l’épidémie aura largement disparu à la sortie de l’hiver, et le risque d’être contaminé sera donc désormais très faible ;
  • Avec de bons taux de vitamine D, et la prise d’ivermectine dès les premiers symptômes, la probabilité de survivre à l’infection est proche de 100 %, même pour les personnes à risque ?

Qu’en pensez-vous ?

Merci de me dire, en commentaire de cet article !

PS : je préfère toujours regarder les chiffres de mortalité, car ils sont plus pertinents et moins biaisés que les taux de contaminations.

Mais si on regarde le nombre de cas positifs par habitants, la situation n’est pas glorieuse non plus pour Israël, par rapport aux autres pays déjà cités.

Saurez-vous reconnaître, en un coup d’œil, quelle courbe est celle d’Israël, qui a vacciné massivement ?

Serait-ce l’une des deux courbes qui font un pic très net, suivi d’une chute brutale des contaminations ?

Eh bien non.

Ces courbes sont celles de l’Irlande et du Portugal.

La courbe israélienne, en rouge, ressemble plutôt à celle de son voisin libanais, qui n’a pas vacciné :

Et si vous avez encore un doute, regardez la courbe des hospitalisations.

Là encore, quand on compare Israël à des pays de taille comparable, on ne voit pas de grosse différence dans l’évolution du nombre d’hospitalisations :

Encore une fois, si le vaccin marchait à 90 %, cela devrait se voir clairement, sur la courbe des cas, des hospitalisations et des morts !

Or ce n’est pas le cas.

Mais peut-être ai-je la berlue ? Dites-moi ce que vous en pensez, en commentaire.


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  1. Voici ce qui me vient à l’esprit:
    1): la France est un des pays les plus exposés car mitoyen avec un grand nombre de pays frontaliers par lesquels les mouvements et échanges de populations sont importants: trafics routiers commerces, navigation, transports aériens.
    2); la mortalité baisse aussi en France, voir relevés hebdomadaires, même si le nombre d’hospitalisation augmente.
    3): les virus se développent et circulent par toutes les issues qui leur sont accessibles,
    4): les hospitaliers sont mieux organisés et plus réactifs malgré les carences qu’ils subissent
    5): une partie d’entre nous est attentive et se prémunit avec un hygiène de vie et un comportement appropriés
    6): l’autre partie attise les cendres de l’incendie et des foyers de contagion se développent par ce biais encore plus vigoureux
    7); le virus se transforme et s’adapte aux climats et aux situations et lorsqu’il faiblit c’est peut-être pour mieux rebondir
    8): notre mode de vie, l’urbanisation, la surpopulation, la concentration, la pollution, l’inadaptation font que nous nous trouvons dans une situation de faiblesse face aux pandémies à venir

  2. Voudriez-vous vérifier. Je remarque que les courbes ne correspondent pas au pays indiqué en fin de ligne, Merci

  3. Je demeure dubitatif. Nous avons besoin de recul. Dans deux ans l’analyse mondiale sera bien plus éloquente. Quand à l’ivermectine que vous recommandez, cela tue les microbes, selon le prix Nobel de 2015 mais le monde des insectes de toute nature disparait aussi. Chose que nous n’avons pas le droit de déclencher.

  4. Bonjour, perso, j’ai fait à 67 ans une forme atténuée car j’étais sous vit. D et C plus du ZN.Par contre, pour votre gouverne voici les résultats du vaccin en Israel:Publié le 01/03/2021
    Vaccination en Israël, c’est concluant !
    La campagne vaccinale qui se déroule actuellement en Israël n’est pas encore totalement gagnée, mais un article récent publié en ligne dans le New England Journal of Medicine du 24 février (1) indique qu’elle est bonne voie. Les premiers résultats parus sur le site de prépublication. medRxiv (2) il y a 15 jours, ont suscité un vif intérêt et cette expérience historique a été considérée comme signifiante malgré quelques écueils méthodologiques. La publication qui suit va bien au-delà. Il s’agit pourtant d’une étude d’observation du type cas-témoins mais d’une telle envergure et d’une telle rigueur qu’il est difficile de ne pas la qualifier de concluante d’autant que ses résultats font écho à ceux de l’essai randomisé qui a permis au vaccin à ARN BNT162b2 mRNA (PfizerBioNTech) d’obtenir l’agrément de la plupart des agences du médicament de par le monde.
    Plus d’un million de participants pour une étude de phase 4
    De fait, cette étude relève de la phase 4 du développement des médicaments, permettant de valider leur efficacité et leur acceptabilité dans le monde réel quelque peu éloigné de la phase 3.

    Idéalement, il ne doit pas y avoir trop de différences entre les résultats de l’une et de l’autre. Qu’en est-il dans le cas du vaccin PfizerBioNTech utilisé dans la campagne de vaccination menée en Israël ?

    Le principe de l’étude a été des plus simples : comparer l’évolution au sein de deux groupes constitués entre le 20 décembre 2020 et le 1er février 2021 et appariés selon les caractéristiques cliniques et démographiques basales soit 596 618 patients vaccinés versus le même nombre de non vaccinés.

    Les critères de jugement étaient la fréquence de survenue des évènements suivants :

    (1) infection documentée par le SARS-CoV-2 ;
    (2) forme symptomatique de la Covid-19 ;
    (3) hospitalisation en rapport avec cette dernière ;
    (4) forme sévère de la maladie ;
    (5) décès.

    Une analyse de type Kaplan-Meier a été utilisée pour estimer le risque correspondant à chaque éventualité en soustrayant le rapport de risque (RR) de l’unité (1-RR) déterminé par la comparaison intergroupe.

    Au cours d’un suivi médian de 15 jours (écart interquartile, 5 à 25) ont été dénombrés 10 561 infections (0,6 pour 1 000 sujets-jours), dont 5 996 (57 %) formes symptomatiques. Une hospitalisation a été nécessaire chez 369 patients et dans 229 cas, il s’agissait d’une forme sévère de la maladie ; le nombre de décès s’est élevé à 41.
    Taux d’efficacité de 94 % pour la prévention des formes symptomatiques
    L’efficacité vaccinale (avec son intervalle de confiance à 95 %, IC) a par ailleurs été évaluée entre le 14ème et le 20ème jour après la première dose ; puis au moins sept jours après administration de la seconde.

    Les résultats sont éloquents pour chacun des items précédents :

    Efficacité post-dose 1 post-dose 2
    Infection documentée 46 % (40-51) 92 % (88-95)
    Covid-19 symptomatique 57 % (50-63)
    94 % (87-98)
    Hospitalisations 74 % (56- 86) 87 % (55-100)
    Formes sévères 62 % (39-80)
    92 % (75-100)
    Mortalité 72 % (19-100) non estimée
    L’efficacité vaccinale s’est avérée identique dans toutes les tranches d’âge, quel que soit l’item et légèrement plus faible en cas de comorbidités multiples (> ou = 3).
    Comparable au taux de 95 % dans l’essai randomisé de phase 3 !
    Dans l’essai randomisé qui a permis au vaccin d’obtenir son agrément, le critère de jugement primaire était défini par la survenue d’une forme symptomatique de la Covid-19 au moins sept jours après l’administration de la seconde dose : l’efficacité avait été ainsi estimée à 95 % au sein d’un effectif nécessairement plus restreint de 21 720 participants sélectionnés avec la rigueur qui sied aux essais contrôlés. Dans l’étude israélienne qui porte sur une population de près d’1,2 millions de participants, cette efficacité a été estimée à 94 % : c’est la confirmation attendue du bénéfice vaccinal dans le cadre d’une expérience grandeur nature et les conditions du monde réel où les critères d’accès au vaccin sont ceux de la pratique médicale courante.
    Efficace aussi contre le variant « britannique » B.1.1.7
    Il était écrit que l’expérience israélienne serait déterminante dans l’évaluation de l’efficacité du vaccin PfizerBioNTech : les résultats de cette gigantesque étude d’observation sont à la hauteur des espérances, avec les réserves inhérentes à cette méthodologie. La concordance entre ces derniers et ceux de l’essai randomisé princeps précédemment évoqué permet de les lever en grande partie et de conclure. Par ailleurs, dans les jours qui ont précédé l’extraction des données, le variant B.1.1.7 dit aussi britannique circulait abondamment en Israël où il représentait jusqu’à 80 % des souches isolées, ce qui confirme si besoin était l’efficacité du vaccin vis-à-vis de ce dernier.
    Epilogue
    Une vaccination de masse réalisée dans des conditions optimales n’est donc ni plus ni moins que la solution pour sortir des ténèbres engendrées par la pandémie de Covid-19 : encore faut-il disposer d’un nombre suffisant de doses et les administrer à un rythme « effréné » à l’ensemble de la population ce qui suppose une organisation hors pair dans une configuration qui va de pair. L’expérience éclairante de l’état d’Israël n’est donc pas transposable à tous les pays du monde. Elle n’en reste pas moins exemplaire et historique : la voie vaccinale est la bonne ce qui semblait intuitivement probable. La confirmation par les faits ne s’en imposait pas moins, étant entendu que les variants compliqueront la tâche, sans doute moins qu’on ne le pense car les vaccins à ARN permettent de s’adapter rapidement à l’ennemi à condition que l’intendance suive : facile dans certains états ou territoires « à taille humaine », beaucoup moins dans d’autres où les conditions géographique et démographiques sont moins favorables.

    Dr Philippe Tellier

    1. Cher monsieur,
      Je suis l’évolution de la pandémie dans différents pays et en particulier en Israël, sur le site du ministère de la santé Israëlien (ci-dessous), force est de constater que nous avons de bonnes raisons de nous poser des questions sur. ce qui se dit : Aujourd’hui même, il y a 104 entrées à l’hôpital pour cas sérieux et graves, pour une moyenne de 111 depuis un mois, et en moyenne 4000 contaminés par jour, soit toutes proportions gardées 30 000 pour la France, pas de quoi pavoiser même si le nombre de mort a effectivement beaucoup baissé, mais comme dans d’autres pays. Il y a un décalage, mais avec + de 80 % des plus de 60 ans de vaccinés, il ne devrait quasiment plus en avoir. Que pensez vous des chiffres réels du ministère de la santé ?
      je donne la médaille d’or du marketing aux labos pharmaceutiques, et je cours leur acheter beaucoup d’actions.
      Bien cordialement
      https://datadashboard.health.gov.il/COVID-19/general

      1. – Que doit tu prendre comme remède scientifique ?
        – 3 boites de 40 comprimés renouvelable trois fois
        – Mais, Bwana, Sahib, c’est de la science financière.

  5. Merci pour ce précieux travail d’observation et de recherche que vous faites, et qu’on ne peut trouver dans les Media ordinaires.
    Donc avec tous mes encouragements continuez à dire votre réalité observée.

  6. Bonsoir,
    Juste un mot pour vous dire : je demeure en Israël, j’habite à Jérusalem depuis 1 an 1/2, et que pratiquement toutes les personnes autour de moi sont vaccinées (2 vaccins) … et n’ai à ce jour rien entendu, ni vu qui confirme ce que vous dites à propos de la vaccination … toutes ces personnes sont en bonne santé (aucune d’entre elles n’a eu d’effets secondaires, mis à part parfois un mal de tête) !
    N’étant moi-même pas vaccinée, c’est la seule constatation que je peux faire.

  7. Suite aux différents commentaires je relève que les calculs statistiques douteux et les titres de presse qui claironnent l’efficacité du vaccin rencontrent des sérieuses objections parmis le corps médical. Les chiffres sont fragiles et finissent par avouer tout ce q’ on veut leur faire dire.

  8. Bonjour, j’ai 86 ans et ne vois aucun intérêt à me faire vacciner. Je prends de la vitamine D et autres. Après un épisode quasi mortel de la grippe asiatique, je n’ai jamais plus eu le moindre rhume et si nul ne peut affirmer que j’aurais acquis une immunité durable, on prétend en Australie que c’est parfaitement plausible. Pourquoi, en définitive me faire vacciner alors que je semble immunisée (mon fils, qui vit avec moi a été très gravement atteint par la COVID et moi, rien) et je rappelle que les vaccins provoquent, outre des effets indésirables, une réaction pathologique. Merci de vos efforts.

  9. Nous ne souhaitons pas nous faire vacciner (si on peut appeler ça un vaccin). Je me suis fais vacciner contre la grippe plusieurs fois, et j’ai quand même eu la grippe avec une très forte fièvre (41°C) alors ses vaccins ne prémunis pas contre les virus. Une bonne immunité cela est bien mieux. Bonne santé à tous et ne nous laissons pas berner pas le soi-disant vaccin miracle.

  10. Cher Monsieur,
    Ne vous en faites pas. Dans 12 à 18 mois la vérité finira pas apparaitre dans toute sa froideur. Elle viendra d’Israël où à peu près toute la population aura été vacciné, de Grande-Bretagne ou il est probable que 75 ou 80% aura été vacciné, des USA et de quelques autres pays à fort taux de vaccination.
    Bien entendu, les médias expliqueront que les morts du covid dans ces pays sont dus à un nouveau virus. On l’appellera même Sar-Cov-3 (ou 6) avec la bénédiction de l’OMS pour faire bonne mesure. Cela ne changera rien aux faits qui sont têtus comme chacun devrait le savoir.
    En attendant, il faut surtout tenter de rassurer les gens en leur expliquant que plusieurs traitements efficaces sont connus et éprouvés. C’est le devoir des médecins de TOUT faire pour tenter de soigner les malades. Dommage qu’en Europe la plupart semblent avoir oublié ce principe fondamental de leur métier.

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