Cela commence à bouger sur l’ivermectine, mais pas assez vite !

Il existe un médicament qui pourrait :

  • Stopper net l’épidémie, en quelques jours ;
  • Sauver des milliers de vies dans les Ehpad et chez les personnes vulnérables ;
  • Et nous sortir de ce grand cauchemar des privations de liberté liées à la Covid-19.

 Ce médicament, c’est l’ivermectine.

Je vous ai dit le 16 décembre dernier que c’était une sorte de « médicament miracle ».

Et depuis, les preuves n’ont pas cessé de s’accumuler.

Après le poignant appel du Dr Pierre Kory au Sénat américain[1], c’est la Dr Theresa Lawrie qui s’est solennellement adressée à Boris Johnson pour « sauver des vies » avec l’ivermectine[2].

La Dr Lawrie est un médecin spécialiste de la médecine par les preuves et sans le moindre conflit d’intérêts.

Le 3 janvier, elle a publié un rapport urgent, dans lequel elle examine en détail les 27 études scientifiques sur l’efficacité de l’ivermectine contre la Covid-19.

Sa conclusion est claire et nette[3] :

« L’ivermectine est un médicament anti-parasitaire très sûr et efficace, largement utilisé dans les pays en développement.

Ce médicament est connu depuis des décennies, et non seulement il fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’OMS, mais sa découverte a donné lieu à un prix Nobel de médecine en raison de son utilité contre de nombreuses maladies.

Les preuves scientifiques sont cohérentes et sans équivoque : l’ivermectine fonctionne à la fois pour prévenir les infections et éviter la mortalité, aux mêmes doses utilisées habituellement contre les infections parasitaires.

S’il vous plaît, peut-on commencer à sauver des vies maintenant ? »

En Belgique, le 21 décembre dernier, le virologue Marc Wathelet a lui aussi adressé un appel solennel au Premier Ministre, expliquant que l’ivermectine « représente une opportunité exceptionnelle de débarrasser la Belgique et le monde du Sars-CoV-2 »[4].

En France, on commence enfin à se réveiller.

Le Dr Philippe Gorny a publié dans la presse une tribune expliquant les preuves scientifiques incontestables en faveur de ce traitement :

« En Argentine par exemple, près de 1 200 soignants au contact de malades Covid-19 ont été suivis pendant dix semaines dans quatre centres : 788 reçurent l’ivermectine, 407 n’eurent aucun traitement. Au terme de l’essai, 237 sujets furent infectés dans le groupe sans médicament et aucun dans le groupe traité. Bluffant ! (…)

On dispose de 28 études cliniques dont 10 randomisées. L’ivermectine a été utilisée dans 7 études à titre prophylactique, dans 6 précocement dès les premiers symptômes, dans 13 essais à des stades tardifs et souvent graves. Son bénéfice apparaît important et net à toutes les étapes et dans tous les essais sauf dans deux ayant inclus un très faible nombre de sujets (…)

Si on groupe les seules études randomisées, la probabilité qu’elles aient généré des résultats faussement positifs serait de 1 sur 1 000 ! » [5].

Bizarrement, cela ne suffit pas, pour l’instant.

Les pays occidentaux, obsédés par le vaccin, seront sans doute les derniers à utiliser ce médicament providentiel.

Après l’exemple spectaculaire du Chiapas, certains pays s’y mettent

Car dans les pays en développement, moins influencés par Big Pharma, l’ivermectine est de plus en plus populaire.

Ce qui s’est passé au Chiapas, au Mexique, est spectaculaire.

C’est la seule région qui a distribué largement l’ivermectine contre la Covid-19…

…et la seule région qui n’a pas connu de hausse de la mortalité !

Regardez le graphique ci-dessous, avec les morts de la Covid-19 de juillet 2020 à début janvier 2021 : la courbe verte est celle du Chiapas, au plancher, alors que les autres régions subissent une forte hausse de la mortalité :

Tout récemment, quelques pays ont adopté l’ivermectine dans leurs recommandations officielles :

  • La Macedoine, le 23 décembre ;
  • Le Belize, le 22 décembre ;
  • Quant à l’État de l’Uttar Pradesh dans le Nord de l’Inde (210 millions de personnes), il a adopté depuis l’automne un kit de traitement précoce contenant de l’ivermectine.

Mais de façon choquante, les États occidentaux ne bougent pas.

Comme d’habitude, les autorités occidentales et les médias ne veulent rien savoir

En France, les soi-disant sites de « vérification des faits » de Libération, 20 Minutes et AFP Factuel – qui sont en réalité de grands pourvoyeurs de « fake news » dans le domaine de la santé – ont multiplié les mensonges pour faire croire que l’ivermectine ne marche pas (toute ressemblance avec ce qui s’est passé avec l’hydroxychloroquine…).

Pour faire leur sale besogne, ces pseudo journaux (qui sont en réalités des sites Internet financés par Facebook), concentrent leur critique sur la méthodologie d’une étude in vitro parue en avril dernier…

….alors que nous avons eu entre-temps plus de 10 essais cliniques randomisés prouvant l’efficacité de ce médicament !

Et quand ils veulent bien mentionner ces essais cliniques prouvant l’efficacité de l’ivermectine, c’est pour critiquer le fait qu’ils n’ont pas tous été encore publiées dans des revues médicales.

Mais c’est un argument ridicule car n’importe quel spécialiste est capable d’évaluer une étude scientifique publiée sur Internet : qu’elle ait été acceptée par un journal médical n’a aucune importance.

Cet « argument » est d’autant plus invraisemblable que des pays comme les États-Unis ont commencé à vacciner massivement leur population avant même que les essais cliniques sur ces vaccins n’aient été publiés, même pas sur Internet !

De toutes façons, comme l’explique le Dr Kory, « la revue par les pairs en vue d’une publication dans un journal prend des mois. Nous n’avons pas des mois. Des milliers de personnes meurent chaque jour »[6].

Alors pourquoi ce silence ?

Pourquoi cette désinformation ?

Au risque de passer pour un disque rayé, je rappelle que la raison est financière.

Pourquoi ce silence ? La question à 6 milliards d’euros

En France, le journal France Soir est le seul à sauver l’honneur sur cette crise de la Covid-19, avec beaucoup d’articles de grande qualité.

Dans leur papier « Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel[7] », les auteurs concluent :

« Ne pouvant croire qu’une incompétence suffise à expliquer cette collusion parfaite de la presse avec (toujours les mêmes) experts, on pourrait s’intéresser aux 6 milliards de raisons » qui expliquent cette désinformation.

Ces 6 milliards, c’est le montant versé ces dernières années par l’industrie pharmaceutique à l’ensemble des professionnels de la santé, aux différentes sociétés savantes en France et à la presse :

« Au total, sur ces 6 dernières années, les entreprises pharmaceutiques ont versé 6 milliards d’euros en conventions, avantages et rémunérations, à la presse, aux médecins proches de l’industrie et à leurs associations et sociétés savantes. Soit 1 milliard d’euros par an : ce montant est équivalent au budget annuel de l’INSERM. »

Il ne faut pas, hélas, chercher plus loin les causes de la désinformation inouïe sur ce sujet, après les scandales du remdésivir et des attaques invraisemblables contre l’hydroxychloroquine et le Pr Raoult.

Heureusement, vous pouvez agir à votre niveau, pour vous protéger efficacement de la Covid-19. 

Ce que vous pouvez faire de votre côté

Vous connaissez mon protocole naturel, souvent répété dans ma lettre :

  • En prévention : 5 000 UI de vitamine D3 par jour (davantage si vous êtes sous les 40 ng/L dans le sang), un multivitamines de qualité contenant du zinc, du sélénium, les vitamines B, C et E, de la vitamine K-2, un complément de magnésium ainsi que de la quercétine ;
  • En traitement : les mêmes nutriments mais en augmentant les quantités + de la mélatonine le soir + des tisanes régulières de thym et romarin, et si besoin des huiles essentielles de ravintsara et cajeput, ainsi que de la propolis en spray nasal et gélules.

Cela devrait suffire à vous éviter des symptômes sévères, et a fortiori une hospitalisation.

Mais si vous êtes une personne à haut risque, je vous conseille vraiment de trouver un médecin éclairé qui acceptera de vous prescrire de l’ivermectine :

  • En prévention, en cas de risque élevé de contamination (par exemple si votre conjoint est positif) : une dose de 0,2 mg/kg, soit 12 mg pour 60 kilos par exemple, au jour 1 et au jour 3, à prendre à jeun avec de l’eau, puis 1 dose toutes les semaines pendant 10 semaines ;
  • En traitement, si vous êtes positif : même dosage, 0,2 mg/kg, une dose au jour 1 et au jour 3 (je précise que c’est le dosage préconisé par le groupe de médecins américains en pointe sur ce sujet[8]).

N’hésitez pas à transmettre ces informations autour de vous : elles peuvent sauver des vies.

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90 réponses

  1. Merci de me donner quelques pistes sur mon mail d’organismes où se procurer des multivitamines de qualité ; naturels ou chimiques, comment s’y retrouver ?

  2. Nous avons bien compris que l’on nous empeche de nous soigner avec des traitements naturels pour nous fourguer leurs poisons! Parmi vos recommandations nous prenons déjà certaines de vos prescriptions, que nous allons d’ores et déjà complèter selon vos indications !!!!!!!!!!!!!!!!!

  3. Merci pour vos conseils
    j ‘ai cherché aussitôt des infos sur l’ivermectine … pas encore flagrant mais encourageant

    Je retiens surtout le dernier conseil : « je vous conseille de trouver un médecin éclairé… »
    mais comment trouver un médecin éclairé
    moi je ne sais pas utiliser les conseils du docteur Ménat par exemple lu dans ses dossiers  » Guerir et bien vieillir »
    Trop de propositions pour soigner
    comment choisir ?
    j ‘ai besoin d’un interlocuteur qui m’aide
    un vrai médecin en pressentie pas en virtuel ou sur seul média
    Vos conseils de prévention je les utilise et ça m a peut-être épargnée
    Mais pour aller plus loin sans être seule
    comment trouver le médecin éclairé a qui faire confiance. J’ai écrit au docteur Ménat pour qu’il m’indique un confrère a Paris, lettre restée sans réponse !
    Ce qui m a incitée à ne pas renouveler mon abonnement. Auriez vous des médecins éclairés a me recommander à Paris ?
    Merci de répondre

    1. un bon naturopathe éclairé vous aidera (vous pouvez aussi le faire à distance). C’est effectivement pas si simple. Votre commentaire m’a été très utile.

  4. Si vous lisez les paragraphes de Wikipedia en anglais sur l’Ivermectin, relatifs à la recherche sur le Covid 19, vous verrez plus que de sérieuses mises en garde, et les arguments avancés semblent pertinents.
    Arlette

  5. Mille mercis à vous j’ai tout noté au cas où j’en aurais besoin ou quelqu’un dans mon environnement. Merci encore pour tout vos excellents conseils et médications. Je pratique la médecine parallèle en étant Réflexologue.

  6. Personnellement j’utilise « l’ivermectine pour on » pour mon travail depuis des dizaines d’années (bien AV 2000), et je m’en suis mis sur les doigts chaque fois!!!!
    A la maison: Les vaches , les chevaux , les chiens et « mois » ne nous en sommes pas plein !
    En Alberta (canada) les immenses élevages(plus de 1000 têtes) de chevaux (l’ivermectine n’est pas homologuée sur chevaux et chiens) que j’ai régulièrement visiter, avant 2000 traitaient tout leur chevaux avec de l’ivermectine.Tout les immanences élevages de bovins de l’ouest, et même les bisons de l’élevage « BOUVRI » plus de 1000 têtes.
    J’ai vu la même chose en Argentine en Patagonie!
    A chaque retour de la foret équatoriale d’Afrique, hop, je me faisais un petit traitement …
    Son effet sur Covid-19 ???????
    Sur les animaux, mois y compris , sa marche bien!
    Pour les dermatoses des animaux c’est extra.
    Le gros bémol: son prix , Autour des années 2000 le bidon de 5litre coutais l’équivalent de plus de 2000euros a …(ville ou je suis) en France, 2300eurs a 2400eurs a l’arrivée de l’euro, vive la pharmacopée, j’ai très rapidement trouver le même bidon de 5 litres a environ 50 euros.CQFD.
    Sa fait 20 ans que cela dure!!!
    Papy .

    C’est pas mois qui dis cella :
    2 cas dans le monde!
    <<La gale est une ectoparasitose fréquente et difficile à éradiquer en institution. L'efficacité de l'ivermectine, sa simplicité d'utilisation et l'obtention de l'AMM dans le traitement de la gale depuis 2001, rend sa prescription plus fréquente. La majorité des effets secondaires avec cette molécule est notée dans le traitement de l'onchocercose ou de la filariose, peu de cas sont signalés dans le traitement de la gale. Nous rapportons (uniquement) deux cas d'effets secondaires de l'ivermectine chez des malades âgés atteints de gale.<<

    1. oui, l’Ivermectine est un traitement efficace de la gale et d’autres parasites, cela ne dit rien d’un hypothétique effet sur les virus

  7. :a la fin de votre article quel est le nom du médicament à prendre en préventif ou traitement dont la dose recommandée est de 0.2 mg par kg. merci Colette Fugère

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