Bénéfice-risque des vaccins Covid : mon analyse FINALE

Notre Ministre de la Santé Olivier Véran a osé relayer[1] cette affiche de propagande :

Voilà le pays dans lequel nous vivons : aucune analyse bénéfice-risque sérieuse sur le vaccin, uniquement de la désinformation et de la propagande, pour le plus grand profit de Big Pharma.

Pour essayer de combler ce vide intellectuel, je vous ai écrit une série de plusieurs lettres sur les risques et avantages du vaccin[2].

Il est temps de récapituler, et de conclure.

Voici ce que nous avons vu dans les épisodes précédents : 

1. L’intérêt du vaccin est d’autant plus faible qu’il existe des alternatives efficaces 

Des preuves scientifiques irréfutables montrent que nous disposons de dizaines de molécules extrêmement efficaces contre la Covid-19, à la fois en prévention et en traitement à tous les stades de la maladie.

Avec un simple spray nasal et seulement deux de ces molécules, la vitamine D et l’ivermectine, efficaces contre tous les variants et qui ne comportent aucun risque sérieux pour la santé, l’épidémie pourrait être efficacement combattue partout dans le monde[3]

Conclusion : quand on fait de la prévention et qu’on soigne les patients, l’intérêt supplémentaire du vaccin semble quasiment nul, a fortiori face aux nouveaux variants.

2. L’intérêt du vaccin repose aussi sur votre risque à venir d’être infecté – très incertain !

Sans vaccin, votre risque à venir d’être infecté est[4] :

  • quasiment nul si vous avez déjà été infecté par le Sars-Cov-2 (comme 25 à 40 % des Français) ou si vous avez simplement croisé la route de certains coronavirus (grâce à l’immunité croisée liée aux lymphocytes T) ; 
     
  • et totalement imprévisible pour les autres, car personne ne peut prédire raisonnablement la taille des « vagues » à venir. 

Conclusion : l’intérêt du vaccin, du simple point de vue du risque d’infection à venir, est plus qu’incertain.

3. L’efficacité du vaccin doit être relativisée par le fait qu’il augmente votre risque d’infection à Covid avant de le réduire

Il ne fait plus aucun doute que le vaccin augmente votre risque d’être infecté à la Covid-19 dans les 10 premiers jours – et donc aussi votre risque de faire une forme grave et d’en mourir.

Je vous renvoie à ma démonstration précédente[5] et à cette vidéo édifiante, qui prouve que les campagnes vaccinales ont été suivies d’un pic épidémique dans la plupart des pays au monde.

Ce phénomène est capital à prendre en compte car :

  • Il augmente le risque lié au vaccin, surtout quand on vaccine en pleine épidémie, comme cela a été fait partout ;
     
  • Et il en diminue donc l’efficacité réelle – les chiffres officiels d’efficacité sont « gonflés à la pompe à vélo » faute de prendre en compte ce sur-risque initial (évaluer l’efficacité après 2 doses permet d’écarter ceux qui ont eu une infection liée à la première dose).

Conclusion : l’efficacité affichée du vaccin est largement surestimée, car elle ne prend pas en compte le surcroît d’infections entre la première et la deuxième dose. 

4. Attention aux « moyennes » sur l’efficacité des vaccins et ses effets secondaires

Même si le vaccin était efficace en moyenne pour prévenir les formes graves (ce qui est vraisemblable mais non prouvé avec certitude), il faut garder en mémoire que le vaccin est le moins efficace sur les plus vulnérables, ceux dont le système immunitaire est moins réactif à la vaccination.

Donc, même si l’efficacité était réellement de 80 à 90 % sur les formes graves en moyenne, elle serait plutôt de 50 % sur les personnes les plus vulnérables, ayant le plus de risques de mourir de la Covid – donc à peine plus de 50 % sur la mortalité au total !

A l’inverse, il est de plus en plus clair que le vaccin a plus d’effets indésirables graves chez les jeunes en bonne santé que chez les personnes âgées, comme en témoigne le cas des myocardites.

Conclusion : toute analyse bénéfice-risque doit prendre en compte le fait que ce vaccin est le moins efficace chez les plus vulnérables, et le plus risqué chez ceux qui ont le moins à craindre du virus.

5. Un nombre très élevé de morts et d’effets indésirables liés aux vaccins 

Le nombre de signalements officiels d’effets indésirables graves et de décès après vaccin Covid est 50 à 500 fois supérieur à celui du seul vaccin contre la grippe. Il est également supérieur, en quelques mois, pour les seuls vaccins anti-Covid, au nombre de signalements sur 30 ans pour 72 vaccins différents[6]

A eux seuls, ces deux chiffres montrent que le signal d’alerte de dangerosité de ces vaccins anti-Covid devrait être rouge écarlate (seules des autorités corrompues peuvent détourner le regard et dire que « tout va bien »).

Si l’on veut être plus précis et essayer de mesurer le nombre d’effets indésirables graves de ces vaccins en valeur absolue, la moins mauvaise des solutions est de s’appuyer sur les évènements signalés à la pharmacovigilance officielle

Même si certains de ces signalements relèvent incontestablement de la coïncidence (sans lien avec le vaccin), on sait que la grande majorité des effets indésirables graves liés aux vaccins et médicaments ne sont jamais signalés spontanément, ce qui compense plus que largement.

Conclusion : il est donc tout à fait raisonnable de s’appuyer sur les chiffres de la pharmacovigilance officielle pour mesurer le nombre d’effets indésirables graves et de décès, soit plus de 1 000 décès en France, et plus de 10 000 en Europe. 

Alors, vous croyez vraiment que le jeu en vaut la chandelle ?

Que peut-on en conclure précisément sur le bénéfice-risque ?

Déjà, sur la seule base de la dangerosité manifeste de ces vaccins (point 5), et de l’efficacité spectaculaire des traitements alternatifs/curatifs (point 1), il me paraît raisonnable de conclure ceci :

Personne ne devrait prendre ces vaccins anti-Covid, dès lors qu’il prend de fortes doses de vitamine D tous les jours et a accès à l’ivermectine dès les premiers symptômes.

(J’en profite ici pour rappeler qu’il est possible de vous faire prescrire de l’ivermectine en faisant appel à un médecin éclairé – vous trouverez une liste de tels docteurs ici pour les départements de 00 à 49 et ici pour les départements 50 à 98.

Maintenant, regardons ce qu’il en est en l’absence de traitement préventif/curatif.

C’est le travail qu’a fait le mathématicien Vincent Pavan (avec Emmanuelle Darles) pour le Conseil scientifique indépendant, une organisation de médecins et d’experts sans conflit d’intérêts.

Il a comparé ce qu’il appelle la « létalité apparente » de la Covid en France (le risque observé de mourir en cas de Covid symptomatique), à la létalité apparente liée à la vaccination (calculée comme le nombre de morts suspectes rapporté au nombre d’effets indésirables signalés)[7].

Voici le résultat[8] : 

Avec ces hypothèses, on voit qu’il ne faut surtout pas vacciner les moins de 65 ans (sauf peut-être ceux qui ont des comorbidités graves).

Pour les moins de 20 ans, on voit que se vacciner est totalement absurde. 

Récemment, un enfant américain de 13 ans en pleine santé est mort subitement, quelques jours après la deuxième dose du vaccin Pfizer (les autorités déclarent « investiguer »). Quel était l’intérêt de ce vaccin pour lui sachant qu’absolument aucun enfant sans comorbidité n’est mort du Covid aux Etats-Unis[10] !?

Cela dit, sur la seule base de ce graphique, il semble qu’on aurait intérêt à se vacciner si on a plus de 85 ans, et même plus de 65 ans.

Mais je rappelle que ce graphique présente la létalité constatée de la Covid en France, donc, pour la plupart des gens, sans traitement préventif et curatif comme la vitamine D, l’ivermectine ou le protocole Raoult.

Voilà pourquoi j’estime de mon côté que le bénéfice-risque du vaccin est défavorable pour tout le monde – sauf, peut-être, pour les plus de 70 ans avec comorbidités sérieuses et qui n’auraient pas accès aux traitements qui sauvent.

Et voici une autre étude, qui arrive à des résultats comparables :

Regardez cette étude choc publiée… puis rétractée sous la pression !

Il s’agit d’une étude publiée dans une revue scientifique respectable (Vaccines)[11], après avoir été validée par des relecteurs agréés… mais dont les conclusions étaient tellement défavorables aux vaccins qu’elle a suscité beaucoup de remous !

Résultat, en quelques jours, cette étude a été rétractée par le journal… non pas parce que la méthodologie était mauvaise, ni parce qu’il y avait eu une erreur de calcul… mais parce que ses résultats ne plaisaient pas à tout le monde – et pour cause : 

« Pour 3 morts prévenues par la vaccination, nous devons accepter 2 morts causées par le vaccin. Cette absence de bénéfice clair devrait conduire nos gouvernements à repenser leur politique vaccinale », avaient conclu les auteurs.

Si les vaccins causent 2 morts pour 3 morts évitées, c’est peut-être « positif » d’un point de vue arithmétique, mais c’est un résultat catastrophique, ne serait-ce que parce que les morts causées frappent généralement des personnes plus jeunes.

Pour calculer le nombre de morts liées aux vaccins, les auteurs se sont appuyés sur les chiffres officiels de la pharmacovigilance.

Comme je vous l’ai expliqué, il est tout à fait raisonnable de s’appuyer sur les signalements à la pharmacovigilance pour évaluer le nombre de morts vaccinaux (car de nombreuses morts suspectes sont peut-être des coïncidences, mais un nombre encore plus élevé de morts liées au vaccin ne sont jamais signalées).

Mais les auteurs ne se sont pas appuyés sur n’importe quelle pharmacovigilance.

Ils ont remarqué qu’en Europe, c’est la pharmacovigilance des Pays-Bas qui semblait la plus exhaustive.

Pour le même nombre de vaccinations qu’ailleurs, les Pays-Bas ont recensé 2 fois plus de morts suspectes que l’Autriche, 6 fois plus que la France et 20 fois plus que l’Allemagne !

Sachant qu’il n’y a pas de raison que le vaccin soit plus dangereux aux Pays-Bas qu’en Allemagne, c’est forcément la pharmacovigilance des différents pays qui est plus ou moins réactive.

Comme on l’a vu, les études scientifiques montrent que plus de 80 % des effets indésirables graves des vaccins et des médicaments ne sont jamais signalés… c’est pourquoi il paraît pertinent de choisir la pharmacovigilance néerlandaise, qui paraît la plus exhaustive !

Certes, dans ces morts suspectes, il y aura toujours des « coïncidences » (non liées aux vaccins), mais il y aura toujours aussi un nombre élevé de morts liées aux vaccins qui ne sont jamais signalées.

Au total, les auteurs concluent, sur la base de la pharmacovigilance néerlandaise, que le vaccin tue 1 vacciné sur 25 000, ce qui paraît parfaitement crédible (et sans doute un minimum).

A contrario, ils concluent que la vaccination permet d’éviter 1 mort pour 16 000 vaccinés.

C’est plutôt généreux quand on sait que cela a été calculé sur la base d’une étude israélienne sponsorisée par Pfizer, le fabricant de vaccin.

Si vous êtes étonné de voir qu’il faudrait 16 000 vaccinations pour sauver 1 vie, je rappelle que la plupart des gens survivent en cas d’infection à la Covid, qu’ils soient vaccinés ou non… et tout le monde n’est pas forcément infecté !

Ce ratio est d’ailleurs cohérent avec l’essai clinique du vaccin Pfizer, dans lequel il n’y avait pas eu un seul mort de la Covid-19 sur 20 000 participants ayant reçu le placebo, sur une période de 2 mois.

Bref, les hypothèses de cette étude n’ont rien d’invraisemblable[12].

Je précise que je n’ai même pas abordé certains risques hypothétiques de ces vaccins expérimentaux (risque de dégénérescence cognitive à long terme ? Risque cancérigène à moyen terme ?).

Je n’ai pas non plus parlé du risque d’inefficacité du vaccin face aux variants, qui semble se confirmer en Israël.

Et je n’ai pas parlé du risque collectif de la vaccination de masse, qui est bien réel ! 

Cela peut paraître paradoxal, car on vous serine à longueur de temps qu’il faut vacciner tout le monde pour se protéger collectivement contre le virus.

Mais je vous invite à regarder cette interview du généticien Christian Vélot pour France Soir : il explique parfaitement pourquoi la vaccination de masse en pleine épidémie comporte plus de risques de prolonger et d’aggraver l’épidémie plutôt que de la stopper – notamment parce que les vaccins ARN risquent de produire des variants ou recombinants dangereux.

Voilà, nous arrivons à la fin de ma série de 4 lettres sur le « bénéfice-risque » des vaccins anti-Covid.

Je me suis concentré sur les faits les plus solides, et ce sont eux qui me permettent de parvenir à cette conclusion finale, que je vous avais donnée dès la première lettre de la série: 

  • Vous n’avez probablement JAMAIS intérêt à vous vacciner, quel que soit votre âge ou votre état de santé, si vous prenez de la vitamine D et que votre médecin est prêt à vous prescrire de l’ivermectine ou le protocole Raoult dès les premiers symptômes ;
  • Il n’y a qu’une seule catégorie de personnes pour lesquelles le vaccin me semble avoir plus de bénéfices que de risques : les personnes vulnérables (avec comorbidités) de plus de 70 ans qui n’ont pas accès aux traitements préventifs et précoces.
  • Pour les autres personnes vulnérables, comme les personnes de 50 à 70 ans avec lourdes comorbidités ou les personnes de plus de 85 ans sans comorbidité, le bénéfice-risque n’est pas clair, y compris en l’absence de traitement précoce et préventif – il me paraît alors préférable de s’abstenir de se vacciner au nom du précepte hippocratique « d’abord ne pas nuire ».
  • Pour le reste de la population, le bénéfice-risque des vaccins me paraît négatif : même les personnes en bonne santé de 70 à 85 ans me paraissent prendre plus de risques à se vacciner qu’à ne pas le faire, y compris sans traitement préventif/précoce ; et c’est la même chose avec les moins de 50 ans souffrant de comorbidités ;
  • Et bien sûr, cela veut dire que si vous avez moins de 50 ans, que vous êtes en bonne santé et qu’en plus vous avez accès aux traitements précoces/préventifs, se vacciner revient à prendre un risque considérable, pour un bénéfice quasiment nul.

Je précise que ce n’est que mon opinion (argumentée), et j’incite chacun à réfléchir par lui-même et à se faire son propre avis sur le bénéfice-risque de la vaccination, dans son cas personnel.

C’est ce qu’on appelle la liberté et le consentement éclairé !

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  1. Bonjour, je suis entièrement d’accord, jai 53 ans, mon fils non vacciné de 21 ans a été malade du virus, je suis restée à ses côtés, sans distanciation sociale, je cherchais même plutôt à l’avoir pour obtenir le fameux sésame sanitaire !! Mais les tests pour moi se sont révélés négatifs, la semaine précédente j’avais suivi un jeûne, je consomme de la vitamine D et en prévention l’huile de pépins de pamplemousse , peut être la conjugaison de tout cela ? de plus j’avais déjà eu le virus au mois de nov 2020, sans gros symptôme si ce n’est celui d’un rhume. Donc, le vaccin a tout va, NON. Merci pour votre implication.

  2. Bonjour,

    J’apprécie votre travail et vos envois, gardant bien à l’esprit que le Covid et sa production de vaccins parallèles demeurent bien un business. Un business teinté de politique où les chefs d’état ont tout intérêt à délivrer des messages de désinformation, pour beaucoup basés sur la peur, détournés à des fins politiques bien entendu, afin de s’assurer la sympathie du peuple. Ce même peuple qui malheureusement avale beaucoup trop facilement à mon goût tout ce que les médias leur servent, avec bien peu de discernement et de critères à l’appui… mais comment éduquer le peuple pour éviter ça? Bien compliqué il est vrai.

    Maintenant, le problème majeur demeure que même si je suis le traitement que vous évoquez (Ivermectine + vitamine D, et j’y crois) en trouvant le médecin approprié, la manoeuvre de Macron -qui de fait ne reconnaît forcément pas ce traitement alternatif- m’empêchera toute vie sociale, faute du fameux passeport sanitaire. La seule option sera alors de produire un faux, tout en étant en bonne santé…

    1. passez vous de vie sociale ou transformez là autrement en vous invitant chez vous avec famille et amis non vaccinés (évitez les vaccinés ils sont contagieux et oui!!) allez dans les restaus qui refusent le pass comme je fais j’en connais plein dans ma région le 06 mais évitez les faux vous risquez la prison!!

  3. bonjour, je lis vos lettres et d’autres, pour essayer de me faire ma propre oppinion. La pression politique est telle, que si je ne me fait pas vacciner, je ne pourrai pas travailler. Me priver de Ciné, resto, discothèque, pas de problèmes; mais ne pas travailler dans une société capitaliste c’est mourir de faim. J’espère que le vaccin non ARN (vaccin à protéine recombinante) à venir de Sanofi, sera présent avant mon licenciment ou m’a mise à pied pour absence , ou avant la fin de mes jours d’arrêt maladie et de congés annuels. Vous le voyez mon soucis ce n’est pas le COVID, c’est le stress, la pression psychologique que la politique m’impose. En tout cas je n’oublie pas qu’au début des recherches vaccinales, les laboratoires ont fait lever leur responsabilités en cas d’effet secondaires, et ça c’est déjà trés inquiètant et nouveau (comme l’ARN). Merci , bonne continuation

    1. surtout ne vous vaccinez avec aucun de leur injection même ceux à venir ce sont des poisons pour tuer la moitié de la population! vaut mieux changer de métier où vous pourrez être libre ou faire du télé travail je vous aurais prévenu préférez aller garder les vaches ou les brebis ou autres jobs que mourir du vax à cobayes ou en devenir handicapé à vie, vous le regretterez! Allez sur FB dans les groupes d’effets secondaires après la vaccination et là vous allez comprendre ILS SONT SI NOMBREUX MAIS LES MERDIAS NE VOUS LE DIRA JAMAIS!!

  4. Bonjour,
    Merci pour votre lettre à laquelle j’adhère entièrement.
    J’ai 74 ans et je ne suis pas vaccinée et je ne veux pas céder au chantage et à l’intimidation de notre gouvernement.
    Je prends de la vitamine D et j’ai aussi un traitement homéopathique depuis le début de la pandémie qui jusque là m’a bien protégée. J’ai de la chance d’avoir un médecin éclairé qui est prêt à me prescrire de l’ivermectine et de l’azythromicine dès les premiers symptômes.

  5. Bonjour,
    Merci pour vos courriers qui nous des éclairage sur la santé et sur la situation sanitaire actuelle d’ont la plupart des personnes ne savent plus ou donner de la tête. J’espère que vos courriers leurs parviendra, pour leurs donner une opinion éclairée avant de prendre une décision.
    Je vous remercie encore pour votre franchise, continuez comme ça.

  6. J’ai acheté le livre de Monsieur BAZIN Xavier j’ai hâte de le lire. Je pense que je ne serai pas au bout de mes surprises !!

  7. Merci Docteur, je vous remercie infiniment pour le temps que vous consacrez pour nous informer à travers vos articles je vous remercie
    du fond du coeur, quel bonheur de vous lire, vous nous envoyez que des bonnes ondes positives avec vos infos c’est tellement bon de savoir qu’il y à encore des bons et surtout des véridiques! Je vous souhaite plein de vœux de bonheur et surtout la santé de nos jours Merci merci encore pour tous vos conseils et informations !

  8. Je vous félicite pour votre courage et votre ténacité dans une monde de fous furieux ou intoxiqués par les médiats! Je diffuse très abondamment vos lettres, y compris à ceux qui ont été vaccinés. Votre rapport est, dans sa forme argumentative (ayant enseigné la logique, j’y suis très sensible, ainsi qu »aux biais de raisonnement venant du monde « savant ») ce que devrait être toute information scientifique, ou autre, ce qui se fait de plus en plus rare, depuis qu’on utilise la langage, non plus pour penser ou diffuser ce qu’on a trouver de meilleur pour en faire profiter autrui, mais comme arme contre autrui. Si vous utliisez bien la technique du « peer to peer », on ne peut pas vous bayonner ni vous empêcher de diffuser vos rapports. Quant aux insultes que vous devez recevoir en grand nombre, c’est le prix à payer (ce ne sont que ce qu’on appelle des »arguments ad hominem », qui déshonorent comme un boomrang ceux qui s’y adonnent ; ceux qui maudissent sont les premières victimes de leurr malédiction, juste rétribution! de leurs méfaits ), et cela vous honore grandement. Lisez le dernier chapitre (chap 13: « De l’expérience » du livre III des « Essais » de Montaigne. Il est on ne peut plus actuel ! Par sage mesure de précaution, n’indiquez jamais votre/vos lieu(x) de résidence. Bien a vous. GL.

    1. c’est vraiment n’importe quoi Des malades du covid (non vacciné) sont en réanimation et tous les jours la liste des morts s’allongent!!!! il vous faut quoi comme preuve. je suis à Marseille et les hopitaux vont bientot etre saturés . je souihaite à tous ceux qui ne sont pas encore vaccinés d’attapper ce maudit virus (pas sur une forme grave mais peut -etre que cela les fera réfléchir . abon entendeur!!!!!!!.

      1. pauvre mouton j’ai une amie infirmière à l’ihu à Marseille et elle dit bien que ceux qui sont en réa ce sont les vaccinés et l’hôpital n’est pas saturé comme vous le dites!! Vous êtes le pote à Macaron ? mdr! LES VACCINES TRANSMETTENT LE VIRUS LES VACCINES VONT MOURIR TOT OU TARD DE MALADIES GRAVES LES VACCINES CE SONT EUX QUI SONT EN REA ILS N’ont plus d’immunité naturelle pour lutter contre les futurs variants! VOUS VERREZ CET AUTOMNE QUI A RAISON ET COMMENT LA VERITE VA ECLATER SUR CES POISONS DE VAX POUR COBAYES! A BON ENTENDEUR SALUT ET QUE FAITES VOUS ICI SI VOUS AIMEZ CES INJECTIONS GENIQUES ?? JE ME LE DEMANDE VOUS ETES UN ESPION DE MR BAZIN!!

  9. SUPER VOS LETTRES ON VOUS RECOIS ET ON PARTAGE ENCORE ENCORE !!! RESTONS TOUS MOBILISES CONTRE VACCINATIONS ET PASS !!!! C’EST NOTRE LIBERTE QUI EST EN JEU ET NOS DROITS HUMAIN……

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