Stop à la peur, place à l’espoir et à la liberté !

Je vous souhaite une merveilleuse année 2021 !

Je formule le vœu d’une année d’espoir et de liberté, loin de la psychose du coronavirus.

Et d’ailleurs, je voudrais commencer l’année par une première bonne nouvelle.

Figurez-vous que la grippe a disparu !

Mais où est passée la grippe ??

C’est très étonnant, mais si l’on en croit les chiffres officiels, il n’y a eu que 10 cas de grippe depuis novembre.

10 cas, dans toute la France, contre des milliers en temps normal !

Car la grippe décolle toujours au mois de novembre. Mais pas cette année.

Et ce n’est pas une spécificité française : c’est dans le monde entier.

Regardez ces chiffres de l’Organisation mondiale de la santé :

Vous voyez que depuis la semaine 15 de l’année 2020, c’est-à-dire début avril, la grippe a disparu de la face du globe !

On ne sait pas vraiment pourquoi, mais il est probable que les virus respiratoires entrent en « compétition », et que le Sars-Cov-2 ait délogé cette année les virus de la grippe.

Ce n’était absolument pas prévu par nos « spécialistes ».

Et savez-vous quelle conclusion j’en tire ?

Qu’il faut arrêter de s’attendre au pire, en permanence !

Halte aux prévisions catastrophistes

Vous vous souvenez que des modèles mathématiques nous ont annoncé 400 000 à 500 000 morts de la Covid-19 en France. En réalité, il y en a eu près de 10 fois moins.

On nous a aussi annoncé un cauchemar avec le retour de la saison hivernale, et le risque d’une conjonction fatale de la grippe et de la Covid-19.

En réalité, la grippe n’est pas revenue… et le coronavirus, au moment où je vous écris, est à un niveau très limité en France !

Bien sûr, on n’est jamais à l’abri d’un « rebond », d’un « troisième épisode », surtout avec un virus qui n’arrête pas de muter.

Mais il faut arrêter d’avoir peur, en particulier pour l’hôpital.

Certes, le virus mute, et peut même, dans certains cas, ré-infecter quelqu’un qui a déjà été testé positif.

Mais même dans ce scénario catastrophe de double infection, il faut savoir qu’il est quasiment impossible de faire une forme grave la deuxième fois.

Cela veut dire que les régions où le virus a largement circulé sont désormais moins exposées.

La preuve : les départements les plus touchés au printemps ont été les moins touchés à l’automne !

Prenez l’Ile-de-France, brutalement atteinte par l’épidémie en mars-avril.

Si vous regardez la courbe d’hospitalisations, vous voyez que l’épisode de l’automne a été totalement maîtrisé à l’hôpital.

A l’automne, les hôpitaux n’ont globalement pas été surchargés en Ile-de-France.

A Paris, ces derniers mois, le nombre de patients en réanimation n’a même jamais dépassé les capacités, représentées par la ligne en pointillés sur ce graphique :

Même phénomène dans les départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin (l’ancienne Alsace) : la grosse vague au printemps a été suivie par un épisode automnal contenu, avec moins d’hospitalisations :

Au total, il faut bien voir que le deuxième épisode n’a affecté sévèrement que les régions qui avaient été épargnées par le premier !

Et tout ça, c’est de bon augure pour la suite !

J’en mets ma main au feu : il n’y aura pas de 3ème vague catastrophique

En septembre dernier, je vous ai dit, avec un peu d’audace, que le pic de l’épidémie était passé.

C’était vrai là où le virus avait beaucoup circulé (Ile-de-France, Alsace…)… mais je reconnais que c’était inexact dans les régions épargnées au printemps.

Comme les départements de l’Ain ou des Hautes Alpes, par exemple, où le virus a très peu circulé en mars-avril. Là, le deuxième épisode automnal a été nettement plus fort :

Mais tous ces chiffres sont de bon augure en cas de « troisième vague ».

Même s’il y a une hausse du nombre de cas positifs, le nombre d’hospitalisations a désormais toutes les chances d’être contenu.

Pour une raison simple : le virus a désormais bien circulé dans toute la France, ou presque, ce qui nous donne une forme d’immunité collective.

(Il n’y a guère que la Bretagne qui a globalement été épargnée à l’automne comme au printemps).

En cas de troisième épidémie, il devrait se passer dans la plupart des régions ce qu’on a observé cet automne en Ile-de-France et en Alsace : un nombre maîtrisé d’hospitalisations et de décès.

Rien, donc, qui justifie une atteinte aux libertés, comme un reconfinement ou un vaccin obligatoire.

Bien sûr, il faut continuer d’être prudent et de travailler à la prévention des infections hivernales (avec la vitamine D en particulier).

Mais il faut définitivement arrêter d’avoir peur, et retrouver la sérénité.

Les chiffres montrent que la majorité des hospitalisations et décès Covid-19 sont derrière nous.

Et on dispose d’armes efficaces en prévention et en traitement.

Tout cela veut dire, aussi, que nous n’avons pas besoin de nous faire injecter un vaccin expérimental, sur lequel on n’a aucun recul.

Mais évidemment, cela ne va pas plaire à tout le monde.

Car Big Pharma et le gouvernement ont tout misé sur la vaccination de masse depuis le début de l’épidémie.

Donc vous pouvez être sûr qu’on va essayer de vous faire peur, au moins jusqu’à l’été prochain.

Mais il faut résister ! Arrêtons d’avoir peur !

Place à l’espoir, la sérénité et la liberté…

…et à une très joyeuse année !

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  1. Je suis tout à fait d’accord avec ce que vous avez écrit. Soyons optimistes avant tout et continuons à respecter les gestes barrières et tout finira par aller mieux. Bonne année 2021 à vous tous.

  2. Comme toujours, cet article m’a beaucoup intéressée mais je reste très perplexe face au choix : vaccin ou pas de vaccin.
    Ce choix me pose un problème de conscience vis-à-vis de ceux qui m’entourent. Je ne voudrais pas les mettre en danger pour avoir refusé de me faire vacciner. Se faire vacciner est-il une bonne décision ?
    Quelles pourraient être les conséquences, bonnes ou moins bonnes, de cette vaccination ? Qu’en est-il de ce vaccin dont on parle tant mais pour lequel j’avoue ne pas être suffisamment informée pour faire un choix éclairé ?
    Merci d’avance pour votre avis.

  3. PISDAMOTI JE SUIS D’ACCORD AVEC VOS ECRITS:CE CORONAVIRUS EST UN VIRUS DE LABORATOIRE SYNTHÉTISÉ PAR L HOMME POUR INSTALLER UNE DICTATURE SANITAIRE ,UNE TYRANNIE DE LA PEUR ET UN NOUVEL ORDRE MONDIAL.DE PLUS LE CONFINEMENT EST UN ECHEC DE LA MEDECINE EN 2021ET UNE PREMIERE DEPUIS 1347 ANNÉE DE LA PESTE NOIRE;ENFIN LA MORTALITE DE CE VIRUS EST DÉRISOIRE .POUR RAPEL AU MOINS 700 000P REPRÉSENTE LA MORTALITÉ DE LA FRANCE EN 2018;JE SUIS MEDECIN ET CONSTATE QUE CETTE DICTATURE MARCHE CHEZ LES FAIBLES D ESPRIT ,LES GENS AU FAIBLE QI C EST DÉSOLANT ;DE CE FAIT NOTRE PRÉSIDENT ET SA GESTION CALAMITEUSE DE LA CRISE EVITERA UNE RÉVOLTE QUI AURAIT ÉTÉ POURTANT LÉGITIME

  4. Bonjour,

    Merci pour ces informations, mais quelle tristesse de voir que cet article est vilipendé par une partie des lecteurs, bien trop abreuvés aux sources des médias (toujours dominants)

    Et encore, je vous trouve très modérés
    Que ce soit sur le port du masque complètement inutile Et même contraire aux recommandations de l’OMS
    BIEN PLUS ENCORE SUR LE RIDICULE DU CONFINEMENT

    Et quand on en est à subir le couvre-feu de 20h00, maintenant 18H00, on voit que ce virus est diablement intelligent.
    Il ne devient dangereux qu’18h01, incroyable.
    Et dans les transports en communs, là ; il est extrêmement courtois, car la distance obligatoire de 1 mètre ne le concerne plus.
    Non, vous croyez ? Tous les porte-voix du gouvernement affirment pourtant que les contaminations n’ont pas lieu dans les transports en commun remplis comme des boites de sourdine. Ben oui, ça enquiquinerait grave le Medef de dire le contraire. Au fait, avec toutes les sommités médicales défilant sur les plateaux de télé ou parlant dans le poste, pas encore d’études scientifiques à ce sujet?

    Comment restreindre les libertés fondamentales, réunions, rencontres, déplacements, activités, et ce sans aucune résistance et avec l’assentiment de toute la classe politique, médiatique, médicale, scientifique, hormis quelques rebelles rapidement neutralisés ?
    Simple.
    On abaisse les seuils d’une maladie qui fait peur, tous les seuils épidémiques et on confond volontairement « cas » et « malades »
    Le sachiez-vous, que le seuil épidémique de la grippe est de 150/100.000 ?
    150 malades merci de le préciser
    Et que pour le corona il est de 50/100.000 ?
    50 cas, et donc pas malades !
    Il en va de même pour tous les autres calculs épidémiologiques, les décès par Covid, avec Covid, les contacts de contact, etc.
    Comme pour le cholestérol.
    Voilà comment la fabrique de l’opinion et du consentement fonctionnent, voilà comment on fabrique la peur et comment on la propage, voilà comment on procède pour arriver à certaines fins politiques et non sanitaires.
    La manipulation des seuils, médicaux, biologiques est devenue un instrument de contrôle et d’asservissement des populations.
    J’exagère ?
    Non, je suis conspirationniste.
    l’OMS a rappelé qu’elle ne préconise pas le confinement comme mesure principale de lutte contre l’épidémie. Le docteur David Nabarro, envoyé spécial de l’OMS, professeur en santé globale à l’Imperial College de Londres et spécialiste de la lutte contre l’épidémie d’Ébola, a déclaré qu’il fallait arrêter « d’utiliser le confinement comme méthode de contrôle principale [du coronavirus] », car « le confinement a une conséquence que vous ne devez jamais minimiser et qui rend les pauvres beaucoup plus pauvres ». La communication gouvernementale reste anxiogène au possible, avec cette triple pointe qu’on observe depuis des mois :
    Un autoritarisme débridé, Une infantilisation lamentable, Une infantilisation lamentable,

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