Son bébé fait de graves convulsions après un vaccin… mais le plus choquant, c’est ce qui s’est passé après

Cher(e) ami(e) de la Santé,

L’histoire commence au printemps dernier, en Bretagne.

Jeanne, une jeune maman de 25 ans, conduit son bébé Camélia chez le médecin[1].

Camélia n’est pas malade, c’est simplement le rendez-vous des « 3 mois ».

Son médecin propose alors de vacciner Camélia avec un vaccin « non obligatoire », le Bexsero (contre la méningite B).

La maman accepte, croyant bien faire pour sa fille.

Un mois plus tôt, Camélia avait déjà fait ses deux premiers vaccins obligatoires, sans incident.

Mais cette fois, la piqûre tourne au drame.

Au départ, il ne se passe rien d’anormal. Jeanne emmène donc Camélia chez sa nourrice.

C’est là, cinq heures après l’injection, que Camélia commence à faire de graves convulsions.

Il faut savoir qu’à cet âge-là, une convulsion un peu trop longue peut causer des dégâts irréversibles au cerveau. Voire entraîner la mort.

Heureusement, la nourrice fait les bons gestes et contacte immédiatement les parents.

La petite est alors emmenée en voiture en direction des urgences de l’hôpital de Lannion, à proximité.

Mais vu la gravité de la situation, l’équipe de secours envoie un hélicoptère. Il faut que Camélia soit prise en charge le plus vite possible à l’hôpital de Saint-Brieuc, mieux équipé.

Il faut imaginer la scène : la voiture familiale arrêtée sur le bas-côté, la circulation stoppée par une ambulance et des voitures de pompiers, et un hélicoptère qui se pose à proximité.

Cela a causé un tel choc que les médias locaux en ont fait plusieurs articles[2].

Au total, les convulsions ont duré un peu plus d’une heure. Les conséquences pour le cerveau de Camélia auraient pu être gravissimes.

Mais heureusement, une batterie d’examens réalisés à l’hôpital conclut que le bébé va bien.

Ouf.

Après vingt-quatre heures de cauchemar, la maman peut respirer.

Mais pas pour longtemps.

Car au 4ème mois de vie – donc un mois plus tard – une autre batterie de vaccins est programmée.

Mais avant de vous raconter la suite de l’histoire – effarante, vous allez voir – il me faut vous dire ce qu’on sait, scientifiquement, sur ce sujet.

Avant de continuer l’histoire : est-il fréquent de convulser après un vaccin ?

Il faut savoir que les convulsions après vaccin sont un phénomène peu fréquent mais parfaitement connu et avéré.

Sauf qu’on ne le dit pas aux parents, pour ne pas les effrayer. On se contente de leur dire que le vaccin est sûr et efficace, et tant pis pour le consentement éclairé.

Mais il suffit de se plonger quelques heures dans la recherche médicale pour voir que le phénomène est admis et étudié de longue date.

Lisez par exemple cette conclusion du très pro-vaccin Institute for vaccine safety, lié à la célèbre Université médicale John Hopkins, aux États-Unis :

« La fièvre peut causer des convulsions. Tous les vaccins qui causent de la fièvre comportent donc un petit risque intrinsèque de causer des convulsions fébriles.

La première dose du vaccin contenant la rougeole (ROR) peut causer des convulsions fébriles chez les bébés, à un taux estimé à 1 pour 2 500 doses.

Le vaccin contre la grippe et les pneumocoques, administrés séparément, peuvent causer très rarement des convulsions fébriles, à un taux de 1 pour 20 000 doses aux Etats-Unis (lorsqu’ils sont injectés en même temps, on passe à 1 risque pour 6 000 injections).

Le vaccin combiné diphtérie-tétanos-polio-coqueluche-HiB peut causer, très rarement, des convulsions fébriles à un taux estimé à moins de 1 pour 20 000 doses »[3].

Au total, une étude néerlandaise conclut qu’1 vacciné sur 1 500 en moyenne risque de souffrir de convulsions post-vaccinales (et quand on sait que les effets indésirables sont rarement signalés, on peut en déduire que le chiffre réel est plutôt de 1 sur 150, voire 1 sur 100) [4].

Donc, ce n’est pas fréquent, heureusement, mais c’est connu et documenté.

Pour les vaccins qui contiennent des virus vivants atténués, comme la rougeole, l’explication est évidente : parce qu’ils peuvent causer des fièvres, ils peuvent causer des convulsions.

Mais les convulsions sont reconnues aussi comme conséquence de vaccins « inactivés », comme le Bexsero qu’a reçu la petite Camélia.

Ainsi, dans la littérature scientifique, toute convulsion qui se produit dans les 48 heures qui suivent ce genre de vaccin est bien attribuée au vaccin.

Pour Camélia, les convulsions ont eu lieu 5 heures après le vaccin. Donc il ne fait aucun doute que le vaccin est en cause.

Mais cette évidence sera niée par les « pontes en blouses blanches » qui s’occuperont de son cas.

Je vous raconterai comment, mais avant cela, il est important de mesurer la gravité de ces convulsions post-vaccinales.

Quand un bébé convulse, est-ce grave docteur ?

Chez un bébé, des convulsions qui durent trop longtemps peuvent avoir des conséquences graves et irréversibles pour le cerveau.

Ce n’est pas pour rien que le SAMU a envoyé un hélicoptère pour Camélia.

Ce qu’on redoute le plus, pour les bébés, ce sont les encéphalopathies épileptiques.

Ce sont des cas où l’enfant subit des convulsions à répétition, ce qui peut causer un retard mental grave (voire le décès, dans les cas les plus sévères).

Pour vous donner des exemples concrets, une étude médicale a recensé plusieurs cas d’encéphalopathies épileptiques considérées comme liées à des vaccins[5] :

  • Un garçon en pleine santé jusqu’à l’âge de 7 mois, date à laquelle il reçoit ses vaccins DTP coqueluche (acellulaire) et convulse : il s’ensuivra des convulsions à répétition, et l’enfant finira par se voir diagnostiquer un retard mental associé à des troubles autistiques ;
  • Un bébé qui a convulsé juste après ses vaccins du 2ème mois, et qui par la suite, a souffert d’un retard de développement et de troubles autistiques ;
  • Un enfant qui a eu des convulsions (sans fièvre) après ses vaccins des 4 mois et qui a souffert d’une régression dans son développement, avec des traits autistiques, lui aussi.

Dans chacun de ces cas, les premières convulsions se sont produites dans les 24 heures qui ont suivi le vaccin (avec ou sans fièvre). Et à chaque fois cela a été le point de départ de multiples crises épileptiques et d’une régression mentale, avec des troubles autistiques.

Donc, c’est la vie entière d’un enfant qui est en jeu.

Le problème est qu’il est mal vu – très mal vu – d’accuser les vaccins du moindre problème de santé… a fortiori si on les soupçonne de ruiner la vie d’un enfant et de causer des troubles autistiques !

Donc, des chercheurs ont élaboré une parade. Ce ne sont pas les vaccins qui ont causé tous ces problèmes, ont-ils fini par expliquer. C’est la faute à des « mauvais gènes » !

Certes, admettent-ils, ce sont bien les vaccins qui ont suscité les premières convulsions, lesquelles ont été suivies d’énormes dégâts… mais ces convulsions se seraient produites de toutes façons, un jour ou l’autre, avec ou sans vaccin !

Voilà leur « raisonnement ».

Il serait rassurant pour les parents, s’il était vrai. Mais il ne tient pas debout.

Voici pourquoi.

« Ce n’est pas le vaccin, ce sont les mauvais gènes » : pourquoi c’est FAUX

D’abord, ces graves encéphalopathies épileptiques, souvent liées aux vaccins et appelées « syndrome de Dravet », ne sont pas à 100 % causées par des gènes.

Cela veut dire qu’il est possible d’avoir les « mauvais gènes » associés à ce syndrome, mais ne pas avoir la maladie. Et il est possible d’avoir la maladie sans avoir les fameux « mauvais gènes ».

C’est très différent des maladies 100 % génétiques, comme la trisomie ou la mucoviscidose : dans ces cas-là, la maladie se déclenche « quoi qu’il arrive ».

Mais ce n’est pas vrai pour le syndrome de Dravet.

Il est exact que la majorité des enfants ayant certains « mauvais gènes » identifiés souffrent du syndrome de Dravet.

MAIS certains enfants ayant ces « mauvais gènes » sont en bonne santé. Et certains enfants souffrant du syndrome de Dravet n’ont pas ces « mauvais gènes ».

Donc, certains « mauvais gènes » rendent plus probable la maladie, mais pas inévitable !

Et cela veut dire qu’il se passe forcément des évènements, dans la vie de l’enfant, qui « déclenchent » la maladie… ou bien ne la déclenchent pas !

Et parmi les évènements qui risquent de « déclencher » la maladie, il y a évidemment la vaccination.

De fait, une étude française précise que le syndrome de Dravet commence par des convulsions post-vaccinales dans la moitié des cas[6] !

Et la vérité est qu’on ne sait pas ce que seraient devenus ces enfants s’ils n’avaient pas été vaccinés.

Peut-être auraient-ils souffert quand même de troubles graves au cerveau – peut-être auraient-ils eu des convulsions causées par un virus, lesquelles auraient déclenché aussi ce syndrome de Dravet.

Mais peut-être pas.

Il est au contraire très vraisemblable que le vaccin soit un grand déclencheur de la maladie. Et que des enfants ayant les « mauvais gènes » soient épargnés par la maladie sans déclencheur vaccinal. Ou bien qu’ils ne souffrent que d’une version atténuée de la maladie, sans retard mental grave.[7]

Il y a bien un énorme doute… et dans le doute, NE PAS NUIRE !

Évidemment que ces enfants ont de « mauvais gènes », mais cela ne prouve rien !

Je tiens à enfoncer le clou.

On sait que l’immense majorité des enfants ne font pas de convulsions après un vaccin.

Il est donc évident qu’il existe chez les enfants qui font ces convulsions une sorte de « mauvais terrain ».

Ces enfants ont une vulnérabilité qui les rend plus à risque de convulser – et cette vulnérabilité, comme dans la plupart des cas, a une composante génétique.

Il est donc parfaitement logique de trouver que, parmi les victimes de convulsions post-vaccinales ayant eu le syndrome de Dravet, la grande majorité avaient certaines mutations génétiques problématiques (les fameux « mauvais gènes »).

C’est leur fameuse « vulnérabilité », qui explique qu’ils ne réagissent pas aux vaccins comme les autres enfants.

Mais je répète : cela ne veut absolument pas dire que le vaccin est hors de cause !

Pour prendre une image, les « mauvais gènes » sont comme une « balle » présente dans un revolver désormais « chargé », prêt à tirer son mauvais coup.

Mais pour que la maladie se déclenche, encore faut-il appuyer sur la gâchette – ce que font manifestement les vaccins.

Bien sûr, il existe certainement d’autres déclencheurs de cette gâchette – comme de fortes fièvres causées par des virus ou des bactéries.

Mais ces déclencheurs-là pourraient être évités.

Et, dans tous les cas, il est toujours préférable que la « gâchette » se déclenche le plus tard possible.

Car plus un bébé est jeune et immature, plus les convulsions risquent d’endommager son cerveau[8].

Or je rappelle qu’un enfant allaité pendant 6 mois – comme le recommande l’OMS – n’a quasiment jamais de fièvre sérieuse, étant donné qu’il bénéficie des anticorps de sa mère.

Alors que la vaccination, elle, se produit à 2 mois, 4 mois et 5 mois (puis 11 mois).

Vous voyez le problème.

Et il y a encore un autre élément troublant.

C’est qu’il n’est pas vrai que les fortes fièvres soient toujours le principal déclencheur de convulsions.

Dans le cas des convulsions post-vaccinales, il arrive qu’elles se produisent sans fièvre.

Cela veut dire, comme l’admettent les médecins, qu’il n’y a pas que la fièvre qui est en cause, mais d’autres mécanismes… comme l’inflammation causée par les vaccinations[9].

Donc RIEN, vraiment RIEN ne nous prouve qu’une infection « normale », y compris avec fièvre élevée, causerait les mêmes dégâts irréversibles au cerveau que certaines convulsions post-vaccinales.

On a même des preuves scientifiques que ce n’est pas le cas :

Une étude du Lancet qui conclut que « tout va bien », sauf que…

Il faut bien comprendre une chose : la plupart des chercheurs sont des adeptes de la « religion vaccinale » (et une minorité est même en cheville avec l’industrie pharmaceutique).

Donc, ils font tout, dans leurs études, pour innocenter les vaccins.

La preuve avec cette étude publiée dans le (soi-disant) prestigieux The Lancet Neurology[10].

Les chercheurs ont étudié le cas de 40 enfants victimes du syndrome de Dravet.

Ils ont cherché à savoir si les enfants qui avaient eu des convulsions juste après une vaccination étaient dans un état plus grave que ceux qui ont eu des convulsions « à distance » de leur vaccination.

(Déjà, la méthode en soi est problématique : pour avoir des résultats vraiment probants, il faudrait comparer des enfants vaccinés à des enfants non-vaccinés, mais passons).

Et voici ce qu’ils disent avoir trouvé : les enfants victimes du syndrome de Dravet n’ont pas une forme plus grave de la maladie lorsque la première convulsion a été causée par un vaccin.

Ils en concluent que la vaccination n’a fait que « déclencher » la maladie et qu’elle se serait déclenchée de toutes façons, avec ou sans vaccin.

Comme on l’a vu, c’est une faute logique, ils n’en savent strictement rien, et leur étude ne le démontre pas.

Mais même leurs « résultats » sont biaisés !

Un neuro-pédiatre honnête s’en est rendu compte et a écrit au Lancet, qui a accepté de publier son analyse[11].

Ce médecin commence par cette affirmation de bon sens : 

« Il n’y a rien dans vos données qui justifie la conclusion qu’un enfant ayant une mutation grave au gène SN1A (NdA : le fameux « mauvais gène ») devrait être vacciné. Cette conclusion est prématurée et pourrait être dangereuse » 

Mais il y a pire : en réanalysant les données, le neuro-pédiatre s’est aperçu qu’il n’y avait pas loin de deux fois plus d’enfants « sévèrement handicapés mentalement » parmi les enfants qui ont convulsé juste après le vaccin !

Mais cette différence a été passée à la trappe, dans l’étude !

Tout est comme ça dans le monde de la « science vaccinale » : il ne faut pas mettre en cause le dieu Vaccin !

La preuve : regardez comment les auteurs mis en cause ont réagi à la lettre du neuro-pédiatre. Leur premier argument – le premier ! – est le suivant :

« Tout d’abord, la vaccination infantile a des bienfaits pour la prévention des maladies infectieuses, à la fois pour l’individu et pour la communauté. Toute recommandation de repousser ou d’éviter la vaccination doit prendre en considération le risque augmenté pour la santé publique ainsi que le fardeau individuel de ces maladies ».

Je traduis : tant pis pour ces pauvres enfants qui ont de « mauvais gènes », vaccinons-les quand même dans le doute, même si cela pourrait leur causer de graves handicaps mentaux, car c’est la santé publique qui est en jeu ! (tous vaccinés, tous protégés, comme on l’a vu avec le Covid, haha).

D’autant que le bénéfice réel des vaccins est largement surestimé, étant donné que les maladies visées sont soit éteintes, soit rares, soit bénignes.

Voilà l’état de la « science » et des mentalités médicales.

Donc, à votre avis, que s’est-il passé, pour la petite Camélia ?

Après ses très graves convulsions suite à une injection, a-t-elle reçu d’autres vaccins ?

Avec quelles conséquences ?

Réponse la semaine prochaine – préparez-vous à bouillir d’indignation.

Bonne santé,

Xavier Bazin

DERNIÈRE MINUTE : cette semaine commence la vaccination de nos adolescents dans les collèges (en classe de cinquième), avec le très controversé vaccin Gardasil.

C’est le moment où jamais de regarder et partager autour de vous cette excellente vidéo qui montre les graves dangers de ce vaccin (le risque de mourir figure sur la notice !).

Cette vidéo de moins de 10 minutes est effarante, mais j’ai pu vérifier l’exactitude de tout ce qui y est dit.

Voici les liens vers cette vidéo, à partager d’urgence avec les parents d’adolescents, et même directement avec les adolescents que vous pourriez connaître :

Sur Twitter : https://x.com/XavierBazin2/status/1709094968004915496?s=20

Sur Odysee : https://odysee.com/@Sacr%C3%A9sVaccins:7/NoticesGardasil:5

Sources

[1] Les prénoms ont été modifiés

[2] https://actu.fr/bretagne/lannion_22113/lannion-bebe-evacue-par-helicoptere-la-maman-raconte_59673695.html, https://actu.fr/bretagne/lannion_22113/lannion-lhelicoptere-atterrit-a-servel-pour-secourir-un-bebe_59666503.html

[3] https://www.vaccinesafety.edu/do-vaccines-cause-seizures/

[4] La pharmacovigilance néerlandaise a recensé plus de 1200 cas sur 10 ans, dans les 2 premières années de vie. Soit, rapporté au nombre de naissances, environ 7 cas sur 10 000, ou 1 cas sur 1500. Si on ajoute le fait que ce genre d’évènement est rarement notifié – probablement dans 10 % des cas au maximum – cela nous amène à 1 cas sur 150. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23762420/

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21844054/

[6] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/epi.14038

[7] Le cas de vrais jumeaux montre qu’on peut avoir les mêmes « mauvais gènes », et avoir une version très atténuée de la maladie. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18639757/#:~:text=Male%20monozygotic%20twins%20with%20genetically,clinical%20courses%20then%20became%20discordant.

[8] C’est tellement admis qu’en Australie, les autorités déconseillent, avant l’âge de 18 mois, le vaccin le plus associé à des convulsions post-vaccinales, à savoir ROR + varicelle. https://immunisationhandbook.health.gov.au/contents/vaccine-preventable-diseases/measles

[9] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/epi.14038

[10] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20447868/

[11] https://www.thelancet.com/journals/laneur/article/PIIS1474-4422(10)70288-X/fulltext#%20

15 Commentaires

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15 réponses

  1. Encore un tout grand merci pour vos publications
    Heureusement qu’il y a encore des personnes comme vous dans se monde corrompu
    Cordialement

  2. Article beaucoup trop long. Après dix lignes, on a bien compris le problème, comme la plupart de ceux sur la Santé Naturelle malheureusement.

  3. Le documentaire sur le Gardasil.
    Mais que se passe-t-il ? Pourquoi murmurer le texte , Pourquoi cette musique forte et dérangeante pendant les murmures ?.
    A refaire, en claire et net.
    Merci
    Christian

  4. On ne voit plus de poliomyélite de nos jours dans le monde occidental..encore un vaccin nociceptif?? De la généralité au cas particulier…

  5. Vos alertes manquent de l’essentiel qui est très difficile de faire partager.Car le problème des vaccinations , en résumé , est la suivante: faut t il vacciner pour empêcher 1000 morts mais au prix de quelques morts suite a la vaccination ?? La logique donne une réponse positive , la peur des conséquences immédiates veut refuser les vaccinations. Et vos editoriaux très médiatiques et redoutable inoculent la peur aux tripes. C’est lamentable.Vous devriez rappeler de temps à autres ce qui se passait quand la population mourrait de la tuberculose, le tétanos et d’autres maladie ou devenait paralysés des jambes avec des eaux dangereuses..
    Nier l’apport de Pasteur avec des fakes news m’apparait non seulement rétrograde mais surtout ignoble

    1. Vous mettez en avant le nombre de morts. Il faudrait aussi mentionner tous ceux dont les vaccins ont occasionné un changement du cours de l’état de santé en général.
      Pour avoir soigner plusieurs jeunes enfants des suites de vaccination, j’ai eu souvent le témoignage des mamans qui disaient : tout allait bien mais après les premiers vaccins (3 ou 4 dans la même injection – ce qui exige un travail de l’organisme d’autant plus important et plurivalent) les problèmes de santé ont commencé : otites à répétition, bronchites, eczémas…. En outre, on sait bien qu’un corps affaibli attrapera d’autant plus les bactéries et les virus qui rôdent dans l’environnement. à quoi s’ajoutent certaines difficultés pour le développement psycho-émotionnel.

  6. J’ai envoyé un commentaire incendiaire que je ne renie pas sur les vaccins en général.Je viens de lire ce qu’il est dit sur le Gardasil et si c’est vrai c’est très inquiétant. J’essayerai d’en lire un peu plus avant de me faire une opinion sur ce nouveau vaccin proposé aux lycéens. Mais mettre tous les vaccins dans le même panier est injuste.Je me souviens d’une alerte du Dr Lorgeril sur le vaccin anti grippe, très critique. Mon expérience personnelle est que non vacciné , il y a longtemps, j’ai commencé a avoir des maladie secondaires, bronchites et autres qui ont disparues depuis que je me fait vacciner tous les ans. Aucun commentaire reçu du Dr Lorgeril. Et quand je lis que Benveniste a eu le prix Nobel alors j’ai beaucoup de doute sur la fiabilité de vos sources

  7. J’apprécie beaucoup la qualité et la profondeur de votre article. MERCI!
    J’ajouterais que si des maladies semblent avoir disparu après des vaccinations, il faut tenir compte que, du fait que les virus mutent, ces pathologies peuvent prendre de nouvelles formes.
    Exemple : la variole . Il est intéressant de constater que des remèdes homéopathiques dérivés de la variole ou du vaccin, variolinum et vaccinotoxinum par exemple, peuvent modifier le cours voire soigner. s’ils sont prescrits au moment opportun, des herpès, des zonas ou des verrues. N’y aurait-il pas la une preuve patente que le vaccin n’a fait que dériver la maladie?

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