Si seulement nous avions tiré les leçons de la précédente campagne de vaccination de masse, 1994-1998

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le Danemark a récemment annoncé que les moins de 50 ans ne se verront plus proposer de vaccin contre le Covid-19.

C’est une avancée, mais c’est encore extrêmement timide.

Interdire ces vaccins aux moins de 50 ans en bonne santé aurait dû être la règle dès le premier jour de la campagne vaccinale lancée il y a plus d’un an et demi.

Il était évident début 2021 que le Covid ne posait pas de risque mortel aux moins de 50 ans (sauf rares exceptions).

Il était donc très imprudent de leur proposer un vaccin expérimental, dont on ne savait rien des effets indésirables après 2 mois.

Il était évident, aussi, dès le départ, qu’un vaccin injecté dans le muscle ne pouvait pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans le nez[1].

Cela veut dire que le vaccin ne pouvait pas freiner l’épidémie.

Donc, il n’y avait strictement aucune raison de vacciner les moins de 50 ans – et encore moins de les forcer à le faire via les pass sanitaires ou vaccinaux.

Ce qu’on a vécu était une folie – la plus grande folie sanitaire de ces 50 dernières années.

Heureusement, la raison commence à revenir.

Des scientifiques prestigieux osent désormais pointer du doigt les faits qui dérangent.

Ainsi, une étude publiée cet été dans la revue Vaccine montre que les risques du vaccin Pfizer étaient supérieurs à son bénéfice depuis le début[2].

Les auteurs – dont Peter Doshi, éditeur associé au prestigieux British Medical Journal – se sont penchés attentivement sur les données des essais cliniques Pfizer et Moderna.

Ils ont étudié les données que nos autorités de santé avaient en main, au moment où elles ont autorisé les campagnes de vaccination de masse.

Et ils n’ont pas été déçus du voyage.

D’abord, ils ont découvert que ces vaccins sont associés à des effets indésirablesgraves fréquents – de l’ordre de 1 pour 800 vaccinés[3] – en particulier des troubles de la coagulation.

1 pour 800 ! Sachant que les troubles graves de la coagulation peuvent causer infarctus, AVC, embolies pulmonaires, etc.

C’est de la roulette russe. Et ça, c’était uniquement avec 2 doses – pas avec 3 ou 4 doses !

Que ce soit pour Pfizer et Moderna, le rapport bénéfice-risque global était négatif : dans les essais cliniques, le vaccin causait plus d’effets indésirables graves qu’il n’évitait d’hospitalisations liées au Covid.

Dans l’essai Pfizer, écrivent les auteurs, « l’excès de risques d’effets indésirables sérieux (10 pour 10 000) est plus élevé que la réduction du risque d’hospitalisation pour Covid-19 (2,3 pour 10 000) ».

Ce qui signifie : 4 fois plus d’effets indésirables graves que d’hospitalisations Covid évitées !!

Et ces chiffres sont tirés de l’essai clinique Pfizer, dont on sait par ailleurs qu’il a été amplement manipulé pour masquer des effets indésirables graves[4] !

Le vaccin : 98 fois plus dangereux que le virus pour les jeunes !?

Une autre étude fracassante confirme l’ampleur du scandale sanitaire, au moins pour les jeunes.

L’article n’a pas encore été publié dans une revue médicale, mais cela ne saurait tarder, car ses auteurs sont prestigieux et issus des plus grandes universités de médecine : Harvard, Oxford, John Hopkins, etc.

Leur conclusion est sans ambiguïté : pour les jeunes adultes de moins de 30 ans, le rappel (booster) de vaccin anti-Covid est 18 à 98 fois plus dangereux que le virus.

Pour 1 hospitalisation Covid évitée, il faut donc compter 20 à 100 fois plus d’effets indésirables graves.

Et encore, ce calcul ne vaut que pour des jeunes qui n’ont jamais été infectés par le virus – les autres n’ayant aucun bénéfice à attendre du vaccin, du fait de leur immunité naturelle !

Tous ceux – et ils sont les plus nombreux – à avoir attrapé le Covid n’ont donc que des effets indésirables graves à attendre de ces vaccins.

« C’est la jeunesse qu’on assassine », s’est indigné à juste titre le journaliste Yves Rasir[5].

(Je précise que c’est aussi la vieillesse qu’on a assassinée avec ces campagnes de vaccination de masse – ce sera plus long à démontrer, et plus difficile à admettre, mais cela ne fait plus aucun doute sachant qu’on disposait par ailleurs de traitements préventifs et curatifs efficaces, comme la vitamine D, l’ivermectine et le protocole Raoult).

Comment une telle catastrophe a pu se produire, sans que personne, ou presque, ne bouge le petit doigt ?

À part quelques grands médecins courageux (Raoult, Perronne, Fouché, Ménat, etc.), quelques journalistes indépendants, une petite minorité de citoyens éclairés, tout le monde a laissé faire : les autorités de santé, le monde médical dans son ensemble, les médias, les politiques et les juges.

Comment est-ce possible ? Et comment éviter que cela ne recommence, à l’avenir ?

C’est LA question qu’il est urgent de se poser, désormais.

PLUS JAMAIS ÇA ! Tirer les leçons du passé pour ne pas revivre ce cauchemar

La vérité est que l’horreur n’a pas surgi de nulle part.

Il y a un précédent à cette campagne désastreuse de vaccination Covid.

Cela s’est passé dans les années 1990.

À l’époque, les dégâts n’ont pas été aussi graves – il est impossible d’égaler la dangerosité des vaccins anti-Covid expérimentaux.

Mais il y a tout de même eu des dizaines de milliers de victimes d’effets indésirables graves… pour un vaccin qui ne pouvait pas apporter de bénéfice à des jeunes en bonne santé, sauf cas rare et exceptionnel.

Je veux parler de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, notamment dans les collèges.

Elle a commencé en 1994-1995, à l’initiative du ministre Philippe Douste-Blazy.

Des élèves de 6ème ont été massivement vaccinés, au sein même des collèges, jusqu’à ce que Bernard Kouchner arrête les frais en 1998.

Pendant plusieurs années, des Français de tous les âges ont aussi été invités à se vacciner contre l’hépatite B.

Rapidement, près de 30 millions de Français ont reçu 3 ou 4 injections !

Pourtant, ces campagnes vaccinales n’avaient strictement aucun sens médical :

  • La maladie visée était rare et ne concernait que certaines populations à risque ;
  • Le simple coût financier de l’opération dépassait de beaucoup le gain espéré en termes de santé publique ;
  • Surtout, d’innombrables signaux très inquiétants ont montré que ces vaccins pouvaient causer de graves dégâts.

Comme aujourd’hui, une toute petite minorité a alors essayé de résister contre cette campagne vaccinale absurde et dangereuse.

Quelques médecins et experts courageux. De très rares journalistes éveillés. Un ou deux juges isolés.

Et un certain nombre de victimes de ces injections, bien placées pour savoir de quoi elles parlent.

Mais tout a été oublié. On n’a tiré AUCUNE LEÇON de ce qui s’est passé.

On a même fait encore pire.

Au lieu d’arrêter les frais, on a généralisé le vaccin contre l’hépatite B pour les plus fragiles !

En 1995, le vaccin contre l’hépatite B a été recommandé pour tous les nourrissons – et il est devenu obligatoire en 2018.

Or il suffit d’un minimum de bon sens pour comprendre l’absurdité de cette vaccination :

Quel peut être l’intérêt de vacciner un bébé en bonne santé contre une maladie d’adultes (qui se transmet essentiellement par des aiguilles contaminées et/ou partenaires sexuels multiples) …

…sachant que la durée de protection du vaccin ne dépasse probablement pas 10 ans ???

Et pourtant, cela ne fait pas de vague, chez les parents.

Alors que les bébés en bonne santé n’ont strictement aucun bénéfice à attendre de ce vaccin.

Et qu’il existe d’énormes suspicions d’effets indésirables très graves liés à ce vaccin.

L’affaire du vaccin hépatite B vaut vraiment la peine d’être revisitée.

Dans mes prochaines lettres, je vous montrerai qu’elle contenait, en germe, tous les ingrédients du scandale Covid.

Il y a une seule solution, pour éviter que le cauchemar ne recommence : REGARDER EN FACE LES ERREURS DU PASSÉ, S’AGISSANT DES VACCINS.

C’est ce que nous allons faire ensemble – restez connecté.

PS : si vous avez un témoignage personnel ou un éclairage à apporter sur cette affaire de la vaccination hépatite B, n’hésitez pas à me le transmettre, en commentaire (si vous préférez que votre message reste privé, précisez-le-moi dans votre commentaire et je ne le publierai pas – tous les commentaires sont validés par mes soins avant publication).

Sources

[1] https://www.xavier-bazin.fr/cetait-ecrit-pourquoi-la-vaccination-anti-covid-ne-pouvait-pas-arreter-lepidemie/

[2] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X22010283?via%3Dihub

[3] https://www.bmj.com/content/378/bmj.o1731/rr-0

[4] https://www.xavier-bazin.fr/viii-comment-big-pharma-magouille-les-tests-qui-permettent-dautoriser-les-vaccins/

[5] https://www.neosante.eu/la-science-accuse/

113 Commentaires

Sources

Partager

S'abonner

113 réponses

  1. J’ai été vaccinée contre l’hépatite B à l’adolescence dans le cadre de la Champagne décrite dans l’article. Je suis atteinte de sclérose en plaque depuis plus de 20 ans maintenant. Je le vis bien grâce aux précieux conseils de Julien Venesson, mais je suspecte le vaccin d’être la cause du déclenchement de la maladie.
    Merci pour votre travail.

  2. Pourquoi,mTrump et Bolsonaro qui n’y ont pas cru, sont les présidents des pays ayant eu leplus grand nombre de MORTS au monde!!!!!!!

  3. Bonjour, A l’époque de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, je travaillais dans un cabinet dentaire et j’ai été obligée de me faire vacciner afin de garder mon travail. J’ai eu , suite à ces trois doses de vaccin, une maladie de peau qui s’est généralisée peu à peu sur tout le corps. J’en souffre encore aujourd’hui. C’est probablement la maladie de Groover mais rien de sûr. J’ai vécu de graves périodes inflammatoires, avec certaines zones du corps constellées de lésions au sang, qui font extrêmement souffrir et qui provoquent des démangeaisons terribles. Ce qui provoque ces poussées inflammatoires, ce sont: le stress, la chaleur, la transpiration et l’alimentation. Je vis à l’heure actuelle une accalmie grâce à l’acupuncture et aux séances de Shiatsu.

  4. Bonjour, vos lettres sont toujours très édifiantes. Personnellement je suis tombé dans le piège de la vaccination de l’hépatite B pour mes deux filles, mais j’ai mis du temps à me décider, et les effets secondaires sont apparus avant les injections suivantes… ouf Mais je me suis dis que plus jamais je me ferai avoir par d’autres vaccinations. Ce que j’ai fais et ayant été bien pilotée dès le départ par vos conseils, ce dont je ne vous remercierai jamais assez. Merci encore à vous. Je n’ai qu’un souhait : que cette arnaque à la santé soit rapidement démasquée, ainsi que les coupables…

  5. Bonjour, je vois de quoi on parle puisque suite à 2 injections contre l’hépatite B, j’ai développé un Lupus érythémateux. J’avais 17 ans en 1998 et à l’époque, on se faisait vacciner parce qu’on nous disait de la faire, sans savoir vraiment de quoi il était question. Et c’est bien des années plus tard que j’eu connaissance du lien qui avait été établi entre ce vaccin et les maladies auto immunes.

  6. Merci infiniment pour tous vos conseils que je suis de prêt et qui nous mettent en garde contre toutes ces manipulations morbides et désastreuses. Bravo à vous pour tous
    vos efforts et votre combat. Toute mon admiration.

  7. VACCIN HEPATITE B…..UNE VIE GACHEE !!!

    Oui,j’ai un commentaire à faire ! Il s’agit de ma fille qui a développé un Lupus Erythémateux Disseminé, avant la fin des injections du vaccin contre l’hépatite B, mais le médecin n’a rien vu venir et elle a reçu les 3 injections .
    A la suite de quoi elle a fait une fausse-couche, suivie d’une embolie pulmonaire….6 semaines d’hospitalisation avant que le couperet tombe …..t alors ce fut la détérioration fulgurante de sa santé : troubles de la coagulation avec un INR qui fait le yoyo ( encore maintenant 30 ans après) , insuffisance rénale ( je lui ai donné un rein…mais échec à cause d’un mauvais suivi son INR à l’hôpital de Tours), depuis bien entendu…dialyses 3 fois pas semaine à 60 kms de chez elle….entre temps nombreux séjours à l’hôpital : septicémie , crises d’acidose et même un AVC…
    Maintenant elle survit en essayant de gérer au mieux son handicap , surveillance hebdomadaire de l’INR, du potassium, et….je ne sais plus quoi !
    La corticothérapie massive qu’elle a subie au cours des divers épisodes d’hospitalisation ont fragilisé entre autre ligaments et tendons, si bien qu’elle souffre d’une rupture de ligaments croisés qu’on refuse d’opérer, les orteils et les doigts des mains partent dans tout les sens, les pouces se déboîtent ….d’où une démarche claudiquante, de gestes malhabiles et douloureux . Pour son plus grand malheur elle a perdu son mari il y a 2 ans ( cancer de la plèvre )et doit gérer une petite exploitation agricole, en employant du personnel …..on lui refuse le taux d’invalidité de 80% qui lui apporterait quelques compensations .
    Mais le monde agricole est terrible , l’AGEPHIP ne reconnait pas la profession ! Rien n’est prévu pour aider !
    Tout ceci pour vous dire qu’avec ce vaccin sa vie à basculé

  8. Bonjour
    J,ai eu le temoignage d,un dirigeant de la Croix rouge( ville du grand Est ) qui a ete cobaye pour le vaccin( experimental) contre l,hepatite B
    Lui et sa collegue directrice ont été injectés…
    Elle est décédée…lui a eu un infection du foie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *