Ma réponse à Emmanuel Macron

Chantons en chœur, sur l’air du fameux « ne me quitte pas » de Jacques Brel : 

Ne me pique pas

Il faut arrêter

Tout peut s’arrêter

Et puis Big Pharma

Corrompt les médias

Les médecins vendus

Le bon sens perdu

Devant la télé

Lobotomisés

(…)

Je commence avec un peu de légèreté (ne manquez pas les paroles complètes à la fin de cette lettre)…

…mais je suis sous le choc des annonces du Président Macron.

Je vais prendre le temps de réfléchir aux actions à mettre en place (dites-moi en commentaire ce que vous en pensez).

Mais ce matin, je veux répondre à M. Macron sur le plan des IDÉES.

Ce sera un peu technique, mais cela me paraît nécessaire. 

Il y a tellement de propagande, contre-vérités et mensonges sur ces vaccins, qu’il est temps de faire une analyse bénéfice-risque détaillée.

Je vous donne immédiatement ma conclusion finale, et je vous explique en détail mon raisonnement après :

  • De mon point de vue, vous n’avez JAMAIS intérêt à vous vacciner, quel que soit votre âge ou votre état de santé, si vous prenez de la vitamine D et que votre médecin est prêt à vous prescrire de l’ivermectine ou le protocole Raoult dès les premiers symptômes ;
     
  • Il n’y a qu’une seule catégorie de personnes pour lesquelles le vaccin me semble avoir plus de bénéfices que de risques : les personnes vulnérables (avec comorbidités) de plus de 70 ans qui n’ont pas accès aux traitements préventifs et précoces ;
     
  • Pour les autres personnes vulnérables, comme les personnes de 50 à 70 ans avec lourdes comorbidités ou les personnes de plus de 85 ans sans comorbidité, le bénéfice-risque n’est pas clair, y compris en l’absence de traitement précoce et préventif – il me paraît alors préférable de s’abstenir de se vacciner au nom du précepte hippocratique « d’abord ne pas nuire » ;
     
  • Pour le reste de la population, le bénéfice-risque des vaccins me paraît négatif : même les personnes en bonne santé de 70 à 85 ans me paraissent prendre plus de risques à se vacciner qu’à ne pas le faire, y compris sans traitement préventif/précoce ; et c’est la même chose avec les moins de 50 ans souffrant de comorbidités ;
     
  • Et bien sûr, cela veut dire que si vous avez moins de 50 ans, que vous êtes en bonne santé et qu’en plus vous avez accès aux traitements précoces/préventifs, se vacciner revient à prendre un risque considérable, pour un bénéfice quasiment nul.

Pour savoir si se vacciner comporte plus de risques que de ne pas le faire, il faut d’abord savoir quel risque vous prenez réellement si vous ne vaccinez pas… 

…ce qui veut dire qu’il faut dire un mot des traitements alternatifs !

Rappel : une des épidémies les plus faciles à prévenir et à soigner

Je suis conscient que je nage totalement à « contre-courant », mais il paraît évident aujourd’hui que le Pr Raoult avait vu juste quand il disait que ce coronavirus pourrait être « l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».

En fait, ce n’est pas seulement la plus facile à soigner, c’est surtout la plus facile à prévenir :

  • En prévention, je rappelle qu’une dizaine d’études randomisées ont montré qu’un simple spray nasal (à base de solution saline ou de substances antivirales) peut réduire considérablement le risque d’être infecté[1] (et a fortiori d’avoir une forme grave) pour une raison simple : le coronavirus se multiplie dans le nez et la gorge (nasopharynx) avant de faire des dégâts dans votre corps – donc si vous le stoppez à ce niveau, vous avez tout gagné ! Une des substances les mieux étudiées est la bétadine verte, en spray nasal + bain de bouche, et ce simple geste préventif pourrait suffire déjà à atténuer l’épidémie partout dans le monde[2] !
     
  • Surtout, l’ivermectine a obtenu des résultats spectaculaires en prévention de la Covid-19 dans plusieurs études randomisées : environ 80 % de risques en moins d’être infecté, en moyenne[3]. Ainsi, quand on associe l’ivermectine à un spray nasal, l’efficacité semble totale : dans une étude majeure, cette efficacité était de 100 % chez des centaines de soignants pourtant en première ligne[4] (0 infection dans le groupe traité, contre 58 % d’infections dans le groupe témoin !). Il est manifeste qu’une simple association ivermectine/spray nasal pourrait suffire à écraser la courbe épidémique en peu de temps ;
     
  • Et n’oublions pas, en prévention toujours, que de nombreuses substances naturelles ont prouvé leur intérêt pour réduire le risque d’infections et de formes graves : la vitamine D bien sûr, mais aussi la vitamine C, le zinc, le sélénium, la mélatonine, la N-acetyl-cystéine, la quercétine, la mélatonine etc. Les effets de chacune de ces substances 100 % naturelles et inoffensives sont peut-être moins spectaculaires que l’ivermectine ou les sprays nasaux, mais le cocktail de toutes ces substances est certainement TRÈS efficace, et si on avait conseillé à tout le monde de renforcer ses défenses immunitaires avec ces compléments alimentaires inoffensifs, l’épidémie aurait fait infiniment moins de dégâts.

Donc, en prévention, on dispose d’excellentes substances, sans risques, et pour la plupart naturelles, pour éviter les infections et en réduire la gravité.

Mais on a aussi tout ce qu’il faut pour soigner les malades ! 

  • Même quand on n’a rien fait en prévention, il reste énormément de solutions extrêmement efficaces quand on est testé positif : c’est le cas en particulier de l’ivermectine, qui réduit drastiquement le risque d’hospitalisations et de décès (d’au moins 65 %[5]), ainsi que du protocole Raoult, capable de diviser la mortalité par 2 ou 3 quand il est appliqué précocement[6] ;
     
  • Et il y a d’autres molécules efficaces, comme la fluvoxamine : cet antidépresseur a montré une capacité à réduire de 100 % le risque d’hospitalisation (oui, 100 %) dans une étude publiée dans un des journaux médicaux les plus prestigieux au monde[7] (et cela a été confirmé par une étude française montrant que les patients traités par ce type d’antidépresseurs avaient beaucoup moins d’infections et de formes graves que les autres[8]) ;
     
  • Certes, tout le monde n’a pas la chance d’être soigné dès les premiers symptômes, mais il reste des substances très efficaces à l’arrivée à l’hôpital : toujours l’ivermectine et la fluvoxamine, bien sûr, mais figurez-vous qu’un autre médicament, le proxalutamide, a permis de réduire la mortalité des patients hospitalisés de 84 % dans une étude randomisée contre placebo menée sur plus de 600 patients[9] ! Par ailleurs, la simple vitamine D donnée sous une forme rapidement assimilable a également obtenu des résultats spectaculaires , avec des risques de passage en réanimation et de décès drastiquement réduits[10] ;
     
  • Et même si vous avez le malheur d’arriver en soins intensifs/réanimation, il y a encore des substances encore trop peu utilisées qui augmentent fortement vos chances de survie : l’ivermectine toujours, la vitamine D[11], les injections de vitamine C[12] ainsi que de fortes doses de méthylprednisolone[13] (un corticostéroïde plus efficace que la dexamethasone).

(Si vous vous demandez encore pourquoi on ne généralise pas ces traitements à l’efficacité démontrée scientifiquement, c’est parce que Big Pharma a pris le contrôle des systèmes de santé occidentaux, comme je l’explique en détail dans mon livre).

Donc, si on utilisait tous ces traitements, il n’y aurait plus d’épidémie, peu de formes graves et quasiment pas de décès.

Il faudrait alors que le vaccin soit extrêmement efficace et sans le moindre risque pour qu’il puisse être avantageux de se vacciner !

Je précise cela car on a tendance à comparer le vaccin à l’absence de traitement et de prévention… ce qui le rend beaucoup plus avantageux qu’il ne l’est vraiment !

Et puis il y a un autre problème dans les analyses « bénéfice-risque » habituelles du vaccin.

On fait comme si toute la population non vaccinée risquait encore d’être infectée, ce qui augmente artificiellement l’intérêt du vaccin…

… alors qu’on ne sait pas du tout comment l’épidémie va évoluer !

4ème vague ? Pas sûr du tout : personne ne peut prédire votre risque à venir d’être infecté !

L’évolution habituelle d’un nouveau virus est d’être de plus en plus contagieux… et de moins en moins mortel.

Cela semble le cas du variant Delta, à la fois plus contagieux et peut-être dix fois moins mortel, selon les premiers chiffres venus de Grande-Bretagne[14].

Il est donc possible que le virus évolue vers une forme très peu grave, ce qui diminuerait l’intérêt des vaccins.

Dans ce cas, on aura peut-être une « 4ème vague », mais ce sera plutôt une vague de « rhumes », ce qui n’est pas très grave. 

Mais de toute façon, la 4ème vague n’est pas certaine, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire.

Car il est possible qu’on ait déjà atteint un début d’immunité collective, qui rend très improbables des pics épidémiques graves

Rappelons qu’au moins 25 % de la population française a déjà été infectée, selon les analyses pourtant pessimistes de l’Institut pasteur[15] (ce pourrait être plus de 40 % en réalité).

Toutes les études montrent que ces 25 à 40 % de la population ont désormais une immunité solide et durable[16][17], donc une probabilité très faible d’être réinfectés[18]… et quasiment aucun risque d’avoir une forme grave.

Vous me direz que 25 à 40 % de la population naturellement immunisée, cela ne suffit pas à éradiquer le virus, et c’est vrai.

Mais cela permet déjà de réduire fortement la vitesse de propagation du virus, de lisser le nombre d’hospitalisations dans le temps – et donc de protéger notre système de soins, ce qui, je le rappelle, était l’objectif initial principal des confinements et de la vaccination.

Et il faut ajouter à cela qu’une bonne proportion de la population est déjà protégée du coronavirus, sans avoir été infectée, grâce à une immunité croisée avec d’autres coronavirus.

Cette hypothèse avait été soulevée par le Pr Raoult dès le printemps dernier, mais elle vient d’être prouvée de façon certaine[19][20] : oui, de nombreuses personnes sont protégées du nouveau coronavirus grâce à des infections antérieures à d’autres coronavirus… ou même grâce à une infection légère au Sars-Cov-2 ! 

Cela a été démontré chez des soignants qui n’ont jamais été testés positifs au coronavirus et qui n’avaient pas d’anticorps… mais qui avaient développé une immunité solide grâce à des lymphocytes T spécifiquement actifs contre ce virus[21].

Cela veut bien dire qu’il y a toute une frange de la population qui est immunisée sans avoir été testée positif ni avoir développé d’anticorps !

On ne sait pas encore s’il s’agit de 5, 10 ou 20 % de la population, mais c’est un bouclier supplémentaire contre le risque de nouvelle vague épidémique grave !

Tout cela pour vous dire qu’on ne peut absolument pas prédire la suite de l’épidémie.

Cette incertitude sur la réalité d’une « 4ème vague » rend l’intérêt du vaccin très incertain, car :

  • rien ne dit que vous serez infecté à l’avenir ;
     
  • et rien ne dit que le virus ne va pas muter vers une forme moins grave.

Et dans ces deux cas de figure, le bénéfice du vaccin serait quasi-nul.

Et il y a un autre problème avec ces vaccins, dont on ne parle pas assez.

Ces vaccins ont proportionnellement le moins d’efficacité chez les plus vulnérables (les plus âgés), et le plus d’effets indésirables chez les personnes les moins à risque du coronavirus (les plus jeunes).

Mais je m’aperçois que j’ai déjà été long, donc je vous expliquerai tout ça dans ma prochaine lettre.

Restez connecté, je vous révélerai mon calcul « bénéfice-risque » du vaccin, et vous verrez que ce que vous entendez à la télé est de la pure propagande, sans fondement scientifique.

PS : comme promis, la version complète des paroles sur l’air de « ne me quitte pas » – ce n’est pas de moi, je l’ai trouvé sur Internet, mais c’est brillant !

Ne me pique pas

Il faut arrêter

Tout peut s’arrêter

Et puis Big Pharma

Corrompt les médias

Les médecins vendus

Le bon sens perdu

Devant la télé

Lobotomisés

C’est n’importe quoi

C’que disent ces gens là

Alors on fait quoi ?

Moi je t’offrirai

De l’Ivermectine

Venue d’un pays

Où il y a le droit

Ils creuseront nos tombes

Pour qu’il y ait moins de monde

Pour prendre nos corps

Et faire de l’or

Ils créent un système

Où l’argent est roi

Où l’argent est loi

Où nous serons en peine

(Ne me pique pas… Ne me pique pas *2)

Ne te pique pas

Ils t’imposeront

Des choses insensées

Que tu appliqueras

Même à tes enfants

Ces cœurs innocents

Sans t’imaginer

Les mettre en danger

Je te raconterai

Un autre monde

Triste de n’avoir pas

Pu te rencontrer

(Ne te pique pas…ne te pique pas *2)

On est souverain

Libres de penser

Maîtres de nos corps

Pas envie de jouer

Avec un vaccin

Qui va nous brûler

Qu’en est-il alors

De nos destinées

Et quand vient le choix

De jouer ta vie

Mais dis-moi pourquoi

Tout ça tu l’oublies ?

(Ne nous quitte pas… Ne nous quitte pas *2)

Sources

[1] https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00251-6/fulltext,
https://www.researchsquare.com/article/rs-153598/v1,
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.20.21256197v1

[2] https://jamanetwork.com/journals/jamaotolaryngology/fullarticle/2775984

[3] https://ivmmeta.com/

[4] https://medicalpressopenaccess.com/upload/1605709669_1007.pdf

[5] https://ivmmeta.com/#fig_fpd

[6] https://hcqmeta.com/

[7] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2773108

[8] https://www.nature.com/articles/s41380-021-01021-4

[9] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.22.21259318v1

[10] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0960076020302764,
https://academic.oup.com/jcem/advance-article/doi/10.1210/clinem/dgab405/6294179

[11] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1876382020314529

[12] https://www.researchsquare.com/article/rs-52778/v2,
https://www.cureus.com/articles/45284-the-role-of-vitamin-c-as-adjuvant-therapy-in-covid-19

[13] https://www.jwatch.org/na53560/2021/06/01/methylprednisolone-better-dexamethasone-severe-covid-19

[14] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/997418/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_17.pdf

[15] https://www.pourlascience.fr/sd/medecine/covid-19-combien-de-francais-ont-ils-ete-infectes-21798.php

[16] https://www.nature.com/articles/d41586-021-01442-9

[17] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4

[18] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.01.21258176v2

[19] https://www.nature.com/articles/s41598-021-92521-4

[20] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.26.21259239v1.full.pdf

[21] Ces soignants jamais « positifs », sans anticorps, étaient solidement immunisés par deux canaux possibles :
1) soit ils avaient été infectés par un coronavirus banal de l’hiver (rhume), et avaient conservé des lymphocytes T actifs, ce qui les a protégés ;
2) soit ils ont été infectés faiblement par le Sars-Cov-2, ce qui leur a permis d’activer des lymphocytes T solides et d’écarter toute infection par la suite.

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  1. Bonjour. Merci pour cette lettre. J’aimerais accéder aux références des publications citées, mais je ne vois pas où elles sont détaillées. Pouvez vous me l’expliquer? Merci

  2. Une personne travaillant chez Sanofi nous donne les informations suivantes :
     » A Tou.te.s, après avoir exercé la fonction de responsable juridique Pôle R&D chez Sanofi Pasteur MSD Division Vaccins Europe, je peux ajouter comme information sur le cadre légal et réglementaire qu’il est impossible en France de rendre un vaccin obligatoire s’il ne bénéficie pas d’une autorisation de mise sur le marché définitive, que le Code de Nuremberg de 1947 tout comme le Code de la Santé publique précisent que toute personne doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelques éléments de force de fraude de contrainte de supercherie de duperie ou d’autres formes sournoises de contraintes ou de coercition, qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisante de ce que le traitement implique de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée,
    Que les traitements (vaccins ici) non testés sont considérés comme des expérimentations massives sur la population et qu’ils sont par prinicipe interdits,
    que le Conseil de l’Europe, constitué des membres représentants de 47 pays, a signé le 27 janvier 2021 la résolution 2361, qui recommande que les vaccinations covid dans les Etats membres ne soient ni obligatoires ni discriminatoires.
    Cette résolution est peu relayée par les médias et les politiques mais le point 7.3 de la résolution OBLIGE tous les Etats membres à veiller à ce que les citoyens soient informés que les différentes vaccinations covid ne sont pas obligatoires et que personne ne subisse de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner,
    que l’obligation de vaccination annoncée par Emmanuel Macron est illégale,
    que la publicité pour les médicaments est interdite en France (le vaccin étant considéré legalement comme un médicament),
    que seule une recommandation de se faire vacciner peut-être produite par le gouvernement,
    qu’il est interdit de faire d’une condition médicale une condition sociétale,
    Tout comme moralement imposer un test PCR payant ou une vaccination soit-disant obligatoire pour pouvoir retrouver une vie normale est complètement discriminatoire. »

  3. Il est hors de question que mon corps soit utilisé pour expérimenter des produits dangereux élaborés par des laboratoires qui sont dirigés par des personnes sans lois, sans morale, malhonnêtes, bref des assassins conscients et responsables de leurs crimes.

  4. Bon, j’ai lu nombre de commentaires, certains me font dresser les cheveux sur la tête, pour d’autre, je m’y retrouve grandement.

    Personnellement, je ne souhaite pas me faire vacciner. Je ne critique pas les gens qui décident de le faire mais la réciproque n’est pas forcément vraie. Je ne suis pas fondamentalement contre les vaccins, de la même manière que je ne suis pas contre un usage médical des opioïdes, mais ce n’est pas pour autant que je les utiliserais à la légère.

    Le vaccin est une option avec ses risques et ses atouts. Ce qui est choquant, c’est cette propagande continue qui:
    -ne parle absolument pas du renforcement du système immunitaire, qui est la solution la plus saine, naturelle et logique et probablement, la plus sûre en termes d’effets indésirables.
    -ne parle pas des traitements existants ou à l’étude. Seules les études démontrant l’inefficacité de tel ou tel traitement sont mentionnés, mais le pb c’est que chacun semble disposer des études qui vont dans son sens. On ne cherche pas la vérité des faits mais des faits pour appuyer sa vérité. Dans ces conditions, à qui faire confiance? Entre les malveillants purs qui sont payés, les personnes qui pensent bien faire et vont à la solution de facilité et ceux qui voit la marque du démon partout, c’est un peu difficile de savoir à qui se fier.
    -occulte toute possibilité de risque des vaccins et parle du vaccin comme s’il n’y en avait qu’un, or il y en a au moins cinq, avec des techno différentes,…
    -quand cela arrange, on vante l’efficacité des vaccins sauf quand il faut culpabiliser ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner et qui invoquent que ceux que chacun prend ses propres risques.
    -il est posé comme axiome que si on ne fait rien, il y aura d’autres vagues. Soit, mais je ne me fais pas vacciner contre la grippe tous les ans et je ne l’ai jamais attrapée. La grippe tue des personnes faibles tous les ans et on ne confine pas le pays tous les ans, alors pourquoi toutes ces mesures délirantes. La mort est une chose naturelle, si on peut l’éviter tant mieux, mais là cela devient philosophique, on préfère se priver de vivre et mettre en danger notre civilisation, plutôt que d’accepter quelques morts (ce virus peut être certes mortel, mais ce n’est pas la peste, loin s’en faut). Si je comprends la situation, on ne voulait pas engorger nos hôpitaux, ca je le comprend, mais aujourd’hui, la situation est différente d’il y a un an, le variant est soit plus contagieux, mais moins (ou au pire aussi) létal, la population la plus fragile est en grande partie vaccinée, une autre partie a déjà contracté le COVID, et une grande partie dispose d’un système immunitaire à même de faire face, quel est vraiment le risque en terme de réanimations et de décès de cette 4ème vague ?
    Même les personnes qui prennent la parole pour dire que ces mesures sont exagérées et malvenues, semblent poser a priori que ce serait bien que tout le monde se fasse vacciner. C’est ancré dans nos gènes que la médecine doit aboutir à des opérations ou à des prises de produits de synthèse. C’est bien d’avoir ces options, mais pourquoi se prive t’on des plantes, de la nutrition, de l’études du corps comme un tout. Les phytothérapeutes, homéopathe,… devrait être remboursés par la sécu au même titre que les médecins qui sont bien souvent impuissant quand on en trouve un qui ne serait-ce qu’essaye de comprendre votre problème dès lors qu’on n’est pas sur une grippe, une angine ou une gastro. Bref, monde très étrange dans lequel nous vivons désormais.

    Il faudra quand même qu’on éclaircisse la montée des maladie auto-immune (3ème cause de mortalité en France après le cancer et les maladie cardio-vasculaire, on n’en parle, pour ainsi dire, pas.), d’Alzheimer, de Parkinson,… cela peut être lié au vieillissement de la population, à ce que nous mangeons, à la pollution, mais pourquoi pas aux médecines dont on se gave. Au cours de ma vie, on m’a prescrit des anti-dépresseurs et des statines, alors que la situation ne l’imposait pas, docile, je les ai pris un temps, et vous savez quoi dans un cas cela a empiré, dans l’autre absolument rien changé, et j’ai assez vite arrêté.

    Bon, pour revenir à notre sujet, ce qui est proposé c’est une vaccination obligatoire déguisé et il ne s’en est pas caché, c’est probablement le meilleur moyen pour assurer une situation sécurisée à court terme afin d’en faire une arme électorale. (Personnellement, j’ai voté pour Emmanuel Macron, je ne le regrette pas dans le sens où c’était le vide intersidéral autour (et que ce n’est pas dans ma nature d’avoir des regrets), mais j’ai été déçu et je suis fort sceptique sur le choix qui va s’offrir à moi aux prochaines élections.) Cela lui permet, probablement aussi, d’éviter d’être légalement responsable en cas de scandale à venir.

    En revanche, je comprends bien qu’il y a des lobby importants et du traffic d’influence mais j’ai du mal à comprendre que cela touche la plupart des pays et qu’on n’ait pas plus d’exemple factuels et chiffrés pour démontrer qu’une autre voie est possible, en particulier en utilisant la prévention par renforcement du système immunitaire et traitements (+ un peu de vaccins pour certaines populations très à risque pour lesquels l’équilibre benefice/risque serait à l’avantage d’un vaccins (lequel?)). Si vous pouvez m’apporter des éléments concrets sur ce point, je vous en serais fort reconnaissant.

    Merci pour votre travail.

    Antoine

  5. monsieur bazin, je suis d’accord avec tout ce que vous dites, c’est vraiment nous forcer et nous manipuler en prenant des voies pas correctes et enfreindre à notre liberté, quelle mentalité notre gouvernement, c’est pas croyable, faire peur aux français pour arriver à leurs fins et favoriser le grand capital, c’est honteux, comment ces gens-là peuvent-ils se regarder dans la glace, cordialementn mme martins

  6. merci, cela est plus clair.. cependant toutes les portes se ferment peu à peu et nous acculent vers l’exécution !

    1. Bonjour, c’est bien joli tout cela, et je partage tout à fait votre avis Monsieur Bazin, en France on ne va pas vers la prévention parce que Big Pharma etc… Il faut bien administrer les vaccins et faire payer toutes ces recherches…
      Tout à fait d’accord, il faut… Blablabla… Yaka…. Citoyenne d’abord, soignante ensuite, j’ai beau être confiante et favorable envers les traitements préventifs, est-ce que beaucoup d’entre vous vont chez leur médecin avec leur liste de courses (Ivermectine par exemple, car la vitamine D, on peut se la procurer sans ordonnance) ? Est-ce que vous avez un médecin qui acceptera de vous prescrire ce qui n’est pas dans la revue Prescrire ???
      Le jour où mon médecin me dira : « Je vous propose la prise d’Ivermectine et de Vitamine D en prévention de ce coronavirus, plutôt que la vaccination dont les effets secondaires ne sont pas encore maîtrisés, là, nous toucherons à la médecine respectueuse du patient et de ses souhaits…
      Mon médecin, et je pense que c’est le cas de beaucoup de médecins, ne veulent pas sortir des sentiers battus, et suivent à la lettre les recommandations, y compris lorsque celles-ci sont exemptes de bon sens.
      Les soignants non vaccinés sont au mieux montrés du doigt, au pire sommés de se plier à l’ordre régalien, sous peine de chercher un autre travail. Alors que faire ?
      J’ai des enfants jeunes adultes, plus rien n’est accessible pour eux s’ils ne se plient pas eux-aussi à cette vaccination (études, stages, sorties…)
      Résister, c’est bien, mais ce n’est pas une fin en soi.
      J’ai honte actuellement de cette politique qui contraint.
      Honte de nos gouvernants et de ces soi-disant sommités du show-biz médical qui n’en savent pas davantage que la plupart d’entre nous, mais nous traitent comme les moutons que nous sommes, en pratiquant la méthode du « c’est le dernier qui a parlé qui a raison. »
      Et ce qui fait encore plus de mal, c’est qu’en tant que parent, on ne sait même pas quel avis donner à nos enfants qui nous questionnent sur le bien-fondé de la vaccination. Est-ce qu’on protège nos enfants ou est-ce qu’on les empoisonne ?
      Une citoyenne, mère et soignante dépitée.

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