Blâme pour le Pr Raoult !
Oui, l’Ordre des médecins a infligé un « blâme » au meilleur infectiologue de France, dont le protocole anti-Covid a sauvé des milliers de vies dans le monde.
Pendant ce temps, les médecins « Big Pharma », eux, ont reçu la Légion d’honneur !
C’est le cas notamment de Karine Lacombe, qui a promu le médicament toxique de Gilead et répandu d’innombrables « fake news »[1].
Tout est comme ça, dans cette crise du Covid : la réalité et les valeurs sont inversées.
Ceux qui disent la vérité sont accusés de « complotisme ».
Et ceux qui répandent des mensonges sont récompensés (et choyés par les médias).
Ainsi, presque personne ne s’insurge quand le gouvernement cherche à tout prix à vacciner des enfants en pleine santé et qui ne risquent rien, avec un vaccin expérimental dangereux…
…mais les médecins qui soignent les malades, comme le Pr Raoult, sont accusés de « charlatanisme » !
Les psychologues appellent cela la « projection » : les manipulateurs ont tendance à projeter sur les autres leurs propres turpitudes.
C’est ainsi que les autorités de santé ont diabolisé l’hydroxychloroquine en l’accusant faussement d’être « cardiotoxique » (dangereuse pour le cœur)….
…alors que ce sont les deux « produits » qu’elles ont autorisé qui sont dangereux pour le cœur : le remdésivir de Gilead et les vaccins anti-Covid !
C’est un bel exemple d’inversion accusatoire : on accuse l’autre de ce dont on est soi-même coupable.
Et des exemples, dans cette affaire, il y en a d’autres :
Une « épidémie de non-vaccinés » ? Tu parles !!
Depuis le début, le gouvernement nous manipule et nous infantilise : si le virus recule, c’est que le gouvernement a pris les bonnes mesures.
Mais si au contraire les cas positifs explosent, c’est de notre faute : pas assez masqués, pas assez « distanciés »… et, dernièrement, pas assez vaccinés.
Cet été, avec la vague « delta », ils ont donc essayé de faire porter le chapeau aux « non vaccinés ».
Fin août, le Pr Pialoux a osé parler d’une « épidémie de non-vaccinés ».
De même, le Pr Megarbane avait déclaré (sans rire), à la télévision :
« Le variant delta cherche les personnes non-immunisées pour les infecter.
À l’inverse, dès qu’il voit une personne qui a un système immunitaire qui le reconnaît, il dévie sa route »
Même Laurence Ferrari, journaliste pourtant très conformiste, s’est esclaffée : « ah bon, il a un radar ? »
Tout cela était de la poudre aux yeux, un mensonge pour reporter la culpabilité sur les non-vaccinés.
En réalité, on savait depuis le début que ces vaccins ne pouvaient pas stopper l’épidémie.
Car les vaccins anti-Covid ne sont pas stérilisants : ils ne peuvent pas empêcher de porter le virus et de le transmettre (ils étaient seulement conçus pour éviter les formes graves).
Dès le début de l’été, les autorités américaines ont reconnu que les vaccinés et non-vaccinés infectés avaient autant de virus dans le nez.
Puis, au début de l’automne, plusieurs études sont venues enfoncer le clou : comme on pouvait s’y attendre, les vaccinés contaminent autant de monde que les non-vaccinés[2].
Mais en réalité, au mois novembre, il n’y avait plus besoin d’études.
Il suffisait d’avoir les yeux ouverts, sur des pays comme l’Allemagne :
La plus haute vague de cas, impressionnante, a eu lieu à l’automne 2021…
…avec près de 80 % de la population adulte vaccinée !
C’est la preuve évidente que le vaccin n’empêche pas la transmission du virus et ne freine en rien l’épidémie.
Et on a vu la même chose un peu partout.
Il n’y a jamais eu autant de cas en Autriche, en Suisse ou en Belgique… que depuis que la population est vaccinée !
Bref, on peut discuter de la capacité du vaccin à éviter les « formes graves » (en réalité moins qu’on ne le prétend, seulement quelques mois, et au prix d’effets indésirables graves)…
…mais on ne peut pas faire porter le chapeau de la vague épidémique aux « non-vaccinés ».
Sauf bien sûr si on cherche un « bouc émissaire » pour éviter de reconnaître qu’on s’est trompé.
Comme pour le naufrage de l’hôpital :
Ils détruisent l’hôpital… et veulent ensuite nous faire culpabiliser !
Regardez le nombre de patients hospitalisés pour Covid, en ce moment en France :
Nous sommes au pic des hospitalisations (les admissions commencent à refluer)…
….et nous avons eu affaire à une vaguelette !
Et surtout, cela représente une toute petite proportion du total des hospitalisations (Covid et non-Covid) !
En 2020, malgré les deux grosses vagues au printemps et à l’automne, le séjour des patients hospitalisés Covid n’a pas dépassé les 4 % du total des séjours hospitaliers !
Cela veut dire que, sur toute l’année, 1 patient sur 25 était hospitalisé pour Covid[3] !
Certes, il y a eu des pics à gérer. Certes, cette proportion était supérieure en réanimation (1 sur 5).
Mais globalement, le Covid n’a pas déclenché un tsunami d’hospitalisations par rapport à d’habitude.
Simplement, à la moindre « surcharge », c’est toujours la panique à l’hôpital.
Regardez ce grand titre de 2015 :
Ou celui-ci, de 2017 :
Ou encore celui-là, de 2019 :
Bref, chaque hiver, les hôpitaux étaient déjà surchargés.
Et pourtant, savez-vous ce qu’a décidé le gouvernement, en pleine pandémie Covid ?
Fermer encore davantage de lits !
Oui, en 2020, ils ont encore fermé 5 700 lits d’hôpitaux[4] :
Et en 2021, le gouvernement a fait encore pire.
Avec l’obligation vaccinale des soignants, le ministre Olivier Véran a réalisé un grand « plan social » à l’hôpital !
Mi-octobre, on comptait 130 000 soignants encore non-vaccinés, au total.
Ce ne sont pas tous des personnels hospitaliers, bien sûr, mais vous pouvez imaginer que l’hôpital aussi a été impacté sévèrement.
Et comme par hasard, en octobre, le Conseil scientifique a découvert que 20 % des lits d’hôpitaux théoriquement disponibles étaient fermés, faute de soignants[5] !
Rendez-vous compte.
Ce gouvernement a suspendu et stigmatisé des soignants non-vaccinés sans la moindre justification valable (un soignant testé régulièrement risque beaucoup moins de contaminer ses patients qu’un soignant vacciné)…
…et avec comme effet de saborder encore un peu plus l’hôpital, de fermer encore plus de lits !
Encore plus fou : on vient d’apprendre que les soignants ont désormais le droit de travailler même s’ils sont testés positifs[6] !
C’est extraordinaire : un soignant non-vacciné testé négatif (et non contaminant) n’a plus le droit de travailler… mais un soignant vacciné testé positif (et contaminant) peut venir à l’hôpital !
Tout ça, alors qu’il y a un moyen simple de réduire drastiquement le nombre de patients Covid à l’hôpital : faire de la prévention et des traitements précoces, comme celui du Pr Raoult.
Mais on ne veut pas en parler.
On préfère rejeter la faute sur les non-vaccinés.
Ce qui m’amène à une autre inversion accusatoire, très grave elle aussi :
On a accusé les non-vaccinés d’être des « usines à variants »… alors que ce sont les vaccins qui augmentent le risque d’apparition de variants !
Là aussi, il était évident depuis le début que les vaccins Covid risquaient de créer des variants échappant à l’immunité vaccinale, et donc prolongeant l’épidémie.
Il peut arriver même que ce genre de vaccins favorise un variant plus dangereux !
Cela a été démontré scientifiquement chez des volailles en 2015[7].
Une campagne de vaccination massive a eu lieu chez des volailles contre la maladie de Marek, relativement peu dangereuse.
Les volailles vaccinées ont eu une protection contre les formes graves… mais ont continué à être infectées et à transmettre le virus autour d’eux.
Et le résultat, c’est qu’une souche plus virulente a émergé !
« Notre étude démontre que l’utilisation de vaccins imparfaits peut promouvoir l’évolution de souches virales agressives », a résumé le Pr Neir, l’un des auteurs de l’étude[8].
Or les vaccins Covid sont exactement de la même nature, des « vaccins imparfaits », qui n’empêchent pas la circulation du virus et risquent donc de pousser à l’émergence de nouveaux variants.
Et c’est ce qu’on commence à observer.
Des chercheurs de l’Université du Michigan ont montré qu’on trouve le plus de mutations résistantes au vaccin… là où la couverture vaccinale est la plus élevée[9].
C’est exactement ce qu’avait prédit un excellent généticien, le Pr Vélot, sur CNews :
« Si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans les conditions d’émergence et de sélection de variants ».
Dans cette logique, il ne faut surtout pas vacciner tout le monde.
Au contraire, il est de la responsabilité des personnes non vulnérables de ne pas se faire vacciner, pour éviter cette pression sélective sur les variants.
Donc c’est la vaccination de masse avec un vaccin « imparfait » qui cause des variants !
Et les non-vaccinés ne sont pas coupables, bien au contraire !
S’ils sont assez nombreux, ce sont les non-vaccinés qui protègent les vaccinés du risque d’émergence de variants !
Vous voyez que tout est inversé.
Ne vous faites pas avoir par les manipulateurs.
Il faut continuer à les dévoiler pour ce qu’ils sont.
Courage, tenez bon,
La réalité est en train de nous donner raison à vitesse grand V.
248 réponses
Merci. merci de nous informer comme vous le faites même si je pense que vos newsletter sont trop longues et lassent peut-être certains de prendre connaissance de tout.
Mais oui, Catherine : le titre de la newsletter est déjà amplement suffisant…
Bonjour,
Tout à fait d’accord avec vous (même si beaucoup de mes proches pensent le contraire disant que ce sont vos sources qui sont manipulées)…… Mais d’après vous, pourquoi nous manipule-t’on ainsi ? Pourquoi tout ça ? Je n’arrive pas à croire que ce soit simplement pour des raisons économiques, pour faire marcher le commerce des laboratoires. Je pense que la raison est bien plus grave. Je n’ose même pas l’imaginer.
Ce matin, j’ai entendu le propos macronien comme quoi la vaccination obligatoire nous pendait au nez. Dans ce cas, faudra-t-il devenir hors la loi ?
Je me sens très seule. Ce n’est pas le variant Omicron que je redoute mais bien l’invariant Omacron !
Bonjour Lau.
Très bon, votre humour. Votre désarroi a quelque chose de touchant. Vous hésitez à imaginer que le monde n’est plus constitué (mis à part Bazin et quelques autres) que d’inconscients et de ripoux. Je pense que vous posez les questions qui vous permettrons un jour prochain de comprendre qui tente vraiment de vous manipuler.
Bonjour
je partage complètement votre analyse
merci
Véridique et bien sourcé! Merci bcp. Dieu vous bénisse et vous grade!
Depuis l’apparition de la vie sur terre, toute forme de vie attaquée n’a survécu qu’en s’adaptant, autrement dit en mutant, celles n’ayant pas réussies ont disparues.
Donc pour le covid, la solution n’est pas de détruire sa couronne… par des moyens thérapeutique qui ne sont pas un vaccin. Résultat, il n’est pas mort, donc il mute pour survivre.
(Mais en quoi risque t’il de muter…) Les seules autos vaccinés (selon Jenner) sont ceux guéris du covid. Car ils ont fabriqués des anticorps
Moralité un bon virus est un virus mort.
Noyant. Ce charabia vous aide-t-il à mieux vivre ?
Mr Bazin :
Votre déclaration liminaire :
« Les manipulateurs sont aux commandes ! »
Commentaire :
Inutile d’aller pas plus loin ! Vos lecteurs préférés sont déjà aux anges. Ils sont convaincus. Ils ne cherchent pas à en savoir davantage.
Votre déclaration :
« les manipulateurs ont tendance à projeter sur les autres leurs propres turpitudes. »
Commentaire :
Vos capacités d’introspection sont admirables !
Vos déclarations :
– « Dès le début de l’été, les autorités américaines ont reconnu que les vaccinés et non-vaccinés infectés avaient autant de virus dans le nez. »
– « les vaccins anti-Covid ne peuvent pas empêcher de porter le virus et de le transmettre »
– « les vaccinés contaminent autant de monde que les non-vaccinés. »
Commentaire :
1/ Certes, les études montrent que tous les infectés (vaccinés ou non) peuvent transmettre le virus (oui, les gestes barrière sont toujours nécessaires).
2/ MAIS, s’il vous plaît, soyez plus complet : ces études montrent AUSSI que les vaccinés ont beaucoup moins de chance d’être infectés en cas de contact. Les vaccinés sont donc moins contaminant dans l’exacte mesure où ils sont eux-mêmes moins contaminés. La vaccination, entre autres choses, freine globalement la transmission du virus. Votre troisième affirmation ci-dessus est d’une trompeuse imprécision.
Vos déclarations :
« La plus haute vague de cas, impressionnante, a eu lieu à l’automne 2021… »
« ….et nous avons eu affaire à une vaguelette ! »
Commentaire :
Ne percevez-vous pas une légère contradiction entre ces deux affirmations ? Votre « vaguelette » de décembre, vous le savez fort bien, est encore à venir, compte tenu du décalage temporel entre contaminations et cas graves. Et si par bonheur la vague restait finalement une vaguelette, auriez-vous des raisons de vous en plaindre ? Peut-être que oui après tout, puisqu’elle risquerait d’être portée au crédit de ceux que vous fustigez sans ménagement…
Votre déclaration :
« cette proportion était supérieure en réanimation (1 sur 5). »
Commentaire :
Votre 1/5 est une erreur (volontaire ?) : vous donnez ici la MOYENNE sur l’année, et non la valeur pendant les pics.
Votre déclaration :
« on ne peut pas faire porter le chapeau de la vague épidémique aux « non-vaccinés ». »
Commentaire :
Pourtant, bien que maintenant minoritaires, les non-vaccinés sont beaucoup plus facilement contaminés et contribuent donc grandement à la dissémination du virus. Ne voyez-vous pas l’explosion du nombre de cas chez ces non-vaccinés que sont les enfants ? Donc, oui, les (adultes) non-vaccinés endossent une responsabilité importante.
Sans parler de l’explosion prévisible du nombre de faux pass sanitaires, qui va considérablement aggraver la transmission du virus, dans des lieux où on ne l’attendrait pas. Ces tricheurs non-vaccinés (ou mal vaccinés), qui agitent de soi-disant droits, rendent peu à peu le pass inopérant, puis, sans vergogne, ils argumenteront que le pass ne fonctionne pas…
Ne vous déplaise, les études sérieuses concluent que les formes graves de Covid-19 sont au moins dix fois plus courantes chez les non-vaccinés, qui ont donc une responsabilité considérable dans l’engorgement des services de réanimation et pénalisent de nombreux autres malades en attente de chirurgie. Ces non-vaccinés seraient peut-être moins enclin à brandir le drapeau de leur soi-disant « liberté » ou de leur soi-disant lutte contre « Big Pharma », s’il était entendu que l’accès aux soins intensifs leur serait fermé en cas d’engorgement… Mais l’hôpital ne fonnctionne pas ainsi. Et ces adversaires de Big Pharma, une fois en difficulté, font-ils la fine bouche lorsqu’on leur administre des soins infiniment plus coûteux qu’un vaccin pour tenter de les sortir d’affaire ? Ces non-vaccinés, qui finissent plus que les autres aux soins intensifs, ne seraient-ils pas, in fine, ceux qui contribuent le plus à l’enrichissement de « Big Pharma » !?
Votre déclaration :
« un soignant testé régulièrement risque beaucoup moins de contaminer ses patients qu’un soignant vacciné »
Commentaire :
Vous m’étonnez. Ignoreriez-vous que l’efficacité de ces tests ne dépasse pas 60 % ? Et les vaccinés, dés les premiers symptômes, sont invités à se faire tester (l’efficacité des tests est bien plus élevée chez les symptomatiques) et à s’isoler.
Votre déclaration :
« Tout ça, alors qu’il y a un moyen simple de réduire drastiquement le nombre de patients Covid à l’hôpital : faire de la prévention et des traitements précoces, comme celui du Pr Raoult. »
Commentaire :
Mais qui s’oppose à la prévention ? Qui s’opposerait à la prise de vitamines ?
Vous prétendez vous appuyer sur des « résultats scientifiques » (bien souvent d’ailleurs plutôt des nouvelles piochées dans les journaux grand public ou des preprints sujets à caution), mais vous ignorez sans vergogne l’immense littérature véritablement scientifique, produite par les meilleurs cerveaux de la recherche, qui rejettent sans appel vos soi-disant traitements et beaucoup de vos points de vue.
Question : laissez-vous entendre par vos propos que les chercheurs compétents, les médecins, les responsables, les décideurs sont, dans leur immense majorité, des débiles, des pourris, des manipulateurs, des gens malintentionnés, des suppôts de Big Pharma ? Vous incitez en tout cas de pauvres gens mal informés à ce genre de pensées, ce qui les arrange car cela peut leur procurer un vain sentiment d’exister (eux, les éclairés, perçoivent ce que la « majorité moutonnière » est incapable de voir), et ce qui vous arrange vous et vos semblables, dont les intentions sont loin d’être désintéressées (« achetez ma solution miracle et vous serez sauvé »).
Vos déclarations :
« Des chercheurs de l’Université du Michigan ont montré qu’on trouve le plus de mutations résistantes au vaccin… là où la couverture vaccinale est la plus élevée[9]. »
« Donc c’est la vaccination de masse avec un vaccin « imparfait » qui cause des variants ! »
Commentaire : vous citez, comme bien souvent, un preprint libre (rien n’empêche quiconque d’en écrire), celui-ci mainte fois remanié et apparemment jamais avalisé par une revue scientifique reconnue. Et nous expliquerez-vous alors pourquoi le variant Omicron, parmi d’autres, est apparu dans un pays à faible taux de vaccination ?
Votre déclaration :
« Il peut arriver même que ce genre de vaccins favorise un variant plus dangereux !
Cela a été démontré scientifiquement chez des volailles en 2015[7]. »
Commentaire :
Votre allusion aux épidémies parmi les volailles souligne l’indigence de vos informations à propos du Covid-19. Concernant l’article que vous prétendez citer, sachez qu’il s’agit selon les auteurs eux-mêmes d’hypothèses controversées. Ils discutent des vaccins qui maintiennent les poulets en vie dans les élevages, mais n’empêchent pas la transmission du virus et pourraient, de ce fait, être contre-productifs : il serait hautement préférable de laisser mourir les animaux infectés pour prévenir une aggravation de la létalité. Est-ce bien cela que vous préconisez d’appliquer aux humains ? Et particulièrement, vous oubliez (opportunément ?) de noter ce point important : ces auteurs suggèrent (au conditionnel) que ces vaccins « qui fuient » pourraient effectivement devenir plus dangereux, MAIS SEULEMENT… POUR LES NON-VACCINÉS ! Si on endosse cette conclusion, certains ont du souci à se faire… Parlez-en à votre élevage d’humains non-vaccinés.
Votre déclaration :
« S’ils sont assez nombreux, ce sont les non-vaccinés qui protègent les vaccinés du risque d’émergence de variants ! »
Commentaire :
Peut-être, mais à condition qu’ils meurent…
Votre déclaration :
« un excellent généticien, le Pr Vélot, sur CNews : »
Commentaire :
CNews est l’équivalent français de la chaîne américaine Fox News, la préférée de Trump.
Vélot est totalement marginal dans les milieux médicaux et la génétique. Le professeur Alain Fischer a noté « les nombreuses insinuations et contrevérités grossières » contenues dans le document publié par Christian Vélot. Cela ne suffit-il pas à ébranler vos convictions ? (Ce Fisher, encore un pourri, n’est-ce pas ?)
Votre déclaration :
« Ne vous faites pas avoir par les manipulateurs. »
Commentaire :
Enfin un terrain d’entente : vous avez mon approbation PLEINE ET ENTIÈRE !
Votre déclaration :
« Il faut continuer à les dévoiler pour ce qu’ils sont. »
Commentaire :
ABSOLUMENT ! Le problème est que les professionnels sérieux n’ont guère le temps de dévoiler toute la vanité (souvent interessée) de cette ahurissante accumulation de contre-vérités et de distorsion des faits, toujours mieux orchestrée sur le net et dans des médias noyautés par de grands professionnels internationaux de la manipulation, du complotisme et des « fakenews » (en particulier ceux appréciés et soutenus par Donald Trump). Vous avez tort de vous mêler à des gens si peu recommandables. Voyez le reportage d’Arte (Oups ! J’oubliais que tous ces médias de chez nous et leurs journalistes sont bien entendu des inconscients, des manipulateurs ou des ripoux…).
À bon entendeur…
Désolé Doktor Goebbels,
La propagande nauséabonde ne passe plus et c’est ça qui vous pose un très sérieux problème. Le problème avec le Covid, c’est que tout va très vite et vos informations datent chaque jour un peu plus, les fausses certitudes d’hier se révélant chaque jour un peu plus fausses encore.
Allez consulter les chiffres de la DREES sur l’évolution du taux de positivité par statut vaccinal et vous y constaterez les faits suivants :
Depuis la semaine 40, un vacciné a plus de chance d’être testé positif qu’un non vacciné.
Normal me direz-vous car la France compte plus de 71,3% de doublement vaccinés.
Eh bien non.
Car on parle bien ici de taux de positivité.
Ce qui veut dire que sur 100 personnes qui viennent se faire tester, on a maintenant plus de vaccinés positifs que de non vaccinés positifs.
Si vous regardez les chiffres pour la semaine 47, le taux de positivité des personnes vaccinées va jusqu’à dépasser le pic de positivité des non vaccinés pendant la 4ème vague ( une aberration donc…).
Ceux-la même que l’on accusait d’être le moteur de l’épidémie en juillet-août dernier…
Reprenons ces chiffres par tranches d’âge pour y voir plus clair.
Prenons comme point de comparaison la semaine 31 (soit du 2 au 8 août) qui correspond au pic de la 4ème vague.
Si l’on prend les chiffres de cette semaine 31, on remarque que la population la plus représentée est celle des non-vaccinés.
Mais à la semaine 47, la tendance s’est carrément inversée. La population vaccinée est SUR-représentée.
Toutes tranches d’âges confondues, les personnes vaccinées sont donc maintenant plus susceptibles d’être infectées pendant cette 5ème vague que pendant la 4ème.
Volumes et taux d’hospitalisations
Au niveau des hospitalisations, la 5e vague se fait clairement ressentir et les infrastructures hospitalières se mettent à nouveau à saturer.
Pourquoi donc ?
Les vaccins ne sont-ils pas censés avoir aidé à réguler cette situation ?
Si l’on compare les volumes d’hospitalisations, nous sommes en train de revenir à des niveaux comparables à ceux de la 4ème vague.
En semaine 47 (21 au 28 novembre), il y a eu un peu plus de 2’000 hospitalisations de personnes vaccinées contre un peu plus de 1’000 en moyenne pendant la 4ème vague de l’été.
D’abord les vaccins ne semblent pas limiter les hospitalisations, mais pire encore, ils n’aident en aucun cas à dégorger les hôpitaux, comme cela était annoncé.
Bien au contraire…
Volumes et taux d’admission en soins critiques
Le taux d’admission en soins critiques qui inclut les réanimations, les soins intensifs et les soins continus, évolue lui aussi globalement en défaveur des vaccinés.
Il semble cependant plafonner à 45% des admissions depuis 7 semaines consécutives.
Pourtant, le nombre de décès chez les vaccinés, continue, lui, d’augmenter de semaine en semaine.
Il atteint même 60% des décès en semaine 47 !
Cette forte proportion de vaccinés décédés repose la question : à quoi servent réellement ces vaccins ?
Autre remarque, beaucoup plus grave : pourquoi les vaccinés sont moins nombreux à entrer à en soins critiques (en proportion) et plus nombreux à y mourir ?
Conclusion à ce stade : selon ces chiffres, les vaccins empêchent peu les hospitalisations, n’empêchent pas les décès, ils n’aident pas à désengorger les hôpitaux… et les vaccinés semblent même les même les plus concernés par la 5e vague…
J’imagine qu’un professionnel sérieux comme vous devrait pouvoir comprendre ces chiffres, non ?
Bravo!!
Un grand Merci
Votre article est surprenant …et évident …un grand merci d’éclairer les gens avec vos grandes compétences
Bonjour, merci pour votre lettre très éclairé,
J’ai eu la deuxième Dose pfezer le 2 juin et le 12 juin j’ai fait une pneumonie et j’ai été hospitalisé 7 à la pitié car l’amoxisiline ne fesait aucun effet on a du
utiliser des antibiotiques nouvelle génération par perfusion la fièvre à duré 12 jours à plus de 41,7jai failli mourir
Et aujourd’hui l’infectiologue de l’hôpital qui m’a soigné me demande de faire la 3 ème Doses ce que je refuse , Elle ne veut pas reconnaître que c’était dû à l’injection expérimentale
Cordialement Mme Oukid