Dangers du paracétamol : le Pr Raoult aggrave son cas !

Décidément, le Pr Raoult n’a pas fini de dynamiter le système médical.

En un coup d’œil, il a vu que l’étude du Lancet sur les dangers de l’hydroxychloroquine était « foireuse ».

Dix jours plus tard, le 4 juin, la fraude était révélée au grand jour, et l’étude retirée du journal The Lancet – un fait très rare.

Non seulement les chiffres ont été manipulés, mais ils ont même peut-être été fabriqués…

…tout ça pour faire croire aux gens que l’hydroxychloroquine est un médicament qui tue !

Le Pr Raoult a tout de suite vu que les chiffres ne « collaient » pas.

De mon côté, je vous ai écrit dès le 27 mai que c’était une étude « poubelle »[1].

Et pourtant, au même moment, des Professeurs de Médecine se sont relayés sur les plateaux télé pour dire que l’étude du Lancet était « impeccable ».

« Cette étude est en fait de très bonne qualité », a déclaré sur CNews Philippe Juvin, chef des urgences à l’hôpital Georges-Pompidou.

« L’article n’est pas foireux, il est tout à fait bien écrit », a dit sur BFM TV lePr Christian Funck-Brentano, pharmacologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Sans oublier le Ministre de la Santé lui-même, Olivier Véran, qui a immédiatement interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine, sur la base de cette étude trafiquée !

Sidérant, non ?

La réalité, c’est que nos « grands pontes » n’acceptent pas qu’un médicament ancien et peu coûteux comme la chloroquine puisse concurrencer les nouveaux vaccins ou anti-viraux hors de prix.

Comme je vous l’ai expliqué dans ma dernière lettre, notre système médical repose entièrement sur la recherche permanente de molécules nouvelles, brevetables et rentables pour les labos.

Si la chloroquine s’avérait être efficace, ce serait dramatique pour le système, car ce serait la preuve qu’il y a beaucoup de molécules anciennes ou naturelles, non brevetables, qui sont intéressantes…

…et qu’il faudrait donc arrêter de tout miser sur des nouvelles molécules ou de nouveaux vaccins et s’ouvrir aux médecines alternatives, traditionnelles et naturelles.

En bref, derrière l’affaire de la chloroquine, ce sont les profits exorbitants de Big Pharma qui sont menacés… et par ricochet, les contrats juteux dont profitent les professeurs de médecine liés à l’industrie pharmaceutique.

Il fallait un homme indépendant comme le Pr Raoult pour avoir le courage de briser ce tabou.

Et le plus beau, c’est qu’il ne s’arrête pas en si bon chemin !

Depuis quelques semaines, il brise un autre tabou sur les dangers du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, etc.) !

Cela me fait très plaisir, là aussi, car c’est une position que je défends depuis des années :

Le paracétamol, un poison ? Petit retour en arrière

Il y a plus de 3 ans, début 2017, je vous avertissais des dangers méconnus de ce médicament dans une lettre intitulée « Paracétamol : lisez ceci avant d’en avaler le moindre gramme »[2].

Je citais l’un des toxicologues les plus respectés au monde, le Dr David Juurlink, qui avait lâché une bombe en disant : « Si le paracétamol était mis sur le marché aujourd’hui, il ne serait pas autorisé à la vente ».

Et en effet, déjà en 2017, on avait des études accablantes sur certains dangers du paracétamol.

Mais le problème est que le paracétamol est devenu un tabou intouchable !

Pas seulement parce que le paracétamol est NUMERO 1 des pharmacies en France.

Pas seulement parce que les multinationales pharmaceutiques gagnent plus de 6 milliards de dollars avec ce produit.

Mais surtout parce que reconnaître ses dangers serait un aveu catastrophique pour le système médical !

Comme je vous l’écrivais en février 2017 :

« Pour l’industrie pharmaceutique, le paracétamol est comme un domino : s’il s’effondre, il entraînera beaucoup d’autres médicaments dans sa chute. Car le paracétamol a longtemps joui d’une « bonne réputation » – si même lui est inefficace et dangereux, que penser des autres médicaments ?

Pour nos autorités de santé, c’est leur crédibilité qui est en jeu : comment ont-elles pu recommander son utilisation massive pendant si longtemps, et l’autoriser en vente libre ?

Quant aux médecins qui ont prescrit ce médicament de bonne foi pendant des années, ont-ils vraiment envie qu’on leur dise qu’ils ont mis leurs patients en danger ? »

A l’époque, évidemment, ma lettre n’a pas plu à tout le monde.

L’industrie pharmaceutique avait même répliqué avec un article hallucinant de mauvaise foi publié dans le journal 20 Minutes[3] (un article, toute proportion gardée, aussi « bidon » que l’étude frauduleuse du Lancet contre l’hydroxychloroquine du Pr Raoult).

Mais depuis, les études défavorables au paracétamol ont continué de s’accumuler.

L’État de Californie s’apprête à classer ce médicament parmi les produits « cancérigènes »[4].

Alors les autorités de santé françaises ont bien été obligées de se réveiller :

Petit à petit, l’Agence du médicament a dû agir contre le paracétamol

Comme souvent, ce sont des « faits divers » qui font avancer les choses.

Vous vous souvenez peut-être de Naomi Musenga, cette femme de 22 ans qui a téléphoné aux urgences, et qui est morte quelques heures plus tard, parce que le SAMU n’a pas pris son appel au sérieux.

Eh bien le Procureur de Strasbourg a reconnu en juillet 2018 que la cause de sa mort était « une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours » [5].

Un an plus tard, en juillet 2019, l’Agence du Médicament a exigé que toutes les boîtes de paracétamol comportent cette mention obligatoire :

            SURDOSAGE = DANGER – Dépasser la dose peut détruire le foie 

C’était un petit progrès.

Medicament Paracetamol

Puis, en janvier 2020, l’Agence du Médicament a mis fin au « libre service » du paracétamol.

Depuis le début de l’année, les pharmacies doivent placer les boîtes de paracétamol « derrière le comptoir », ce qui oblige les clients à le demander au pharmacien pour l’obtenir.

Medicament Doliprane

Là encore, c’est un pas dans la bonne direction, mais trop timide.

Pr Raoult : « le paracétamol devrait être uniquement prescrit SUR ORDONNANCE »

Depuis le début, je pense qu’il faut aller plus loin dans la restriction de ce médicament.

C’est triste à dire, mais on ne peut pas faire confiance aux pharmaciens pour limiter les dégâts.

Selon une enquête du journal UFC-Que Choisir, une pharmacie sur quatre (24 %) conseille des doses dangereuses, supérieures à 4 grammes par jour[6].

C’est très grave, car certaines personnes au foie fragile peuvent finir à l’hôpital avec seulement 2 à 3 grammes par jour.

Voilà pourquoi je demande que le paracétamol ne soit accessible que sur ordonnance.

Mais depuis le début, je me sens très seul dans ce combat.

Alors vous imaginez à quel point j’ai été heureux de voir que le Pr Raoult partageait mon point de vue !

Il l’a dit plusieurs fois, dans la presse et à la télévision :

« Les effets secondaires du Doliprane sont bien pires que ceux de la chloroquine »[7].

« Le Doliprane est plus dangereux que l’hydroxychloroquine (…). C’est la première cause d’intoxication dans les pays modernes au monde. C’est dangereux le Doliprane. Ça tue beaucoup »[8].

Et le 26 mai, sur LCI, il est allé un cran plus loin, expliquant que le paracétamol devrait être prescrit par des médecins, sur ordonnance[9] !

C’est du bon sens… mais là aussi, presque personne ne le dit publiquement, à part le Pr Raoult !

Là encore, Ce Professeur de Marseille fait preuve d’un immense courage contre la pensée unique.

Il y a juste une dernière chose qu’il ne dit pas (ou pas encore ?) sur le paracétamol.

C’est que ce médicament a probablement aggravé l’état des malades du Covid-19 :

Donner du paracétamol au malade du Covid-19 : une décision CRIMINELLE

Vous le savez, je pense qu’il était particulièrement dangereux de prendre du paracétamol en cas d’infection au Covid-19.

Donner du paracétamol à des malades du Covid-19 est doublement dangereux, car :

  • Ce médicament supprime la fièvre, qui aide à lutter contre le virus ;
  • Et il vide vos réserves de glutathion, votre autre grand allié pour guérir de l’infection !

Sur l’intérêt de la fièvre pour guérir les infections, je vous invite à regarder l’explication du Dr Ménat, dans cette vidéo qui a fait près de 200 000 vues sur Youtube.

Je rappelle que la fièvre sert précisément à tuer les virus et les empêcher de se multiplier, car ils supportent mal les hautes températures.

Et on sait que notre système immunitaire fonctionne mieux lorsque la température du corps est élevée, donc pendant la fièvre !

La fièvre est un de nos premiers systèmes de défense, et il est donc dangereux de la « casser »…

…surtout face au coronavirus chinois qui peut faire de gros dégâts lorsqu’il envahit les poumons et d’autres organes !

Mais ce n’est pas tout.

Il se trouve que le paracétamol nous prive d’une autre défense naturelle capitale : le glutathion !

Écoutez bien ce que dit le Dr Jean-Paul Curtay : « pour fonctionner, les globules blancs ont besoin d’un « allumeur », qu’on appelle le glutathion »[10].

Je rappelle que les globules blancs sont les cellules de notre système immunitaire qui luttent contre les virus.

Or, poursuit le Dr Curtay, « le paracétamol effondre nos taux de glutathion ».

C’est un fait bien connu des médecins, si bien qu’en cas d’intoxication au paracétamol, l’antidote est précisément de donner au malade un précurseur du glutathion.

Donc, en vidant nos réserves de glutathion, le paracétamol affaiblit notre système immunitaire et favorise la propagation du virus dans notre corps !

Pire : des médecins ont constaté aussi que notre glutathion est très utile pour nous protéger en cas de tempête inflammatoire[11] !

Donc, si on vide vos réserves de glutathion avec du paracétamol, on vous laisse encore plus vulnérable face aux chocs inflammatoires… et vous avez plus de risques de mourir !

Le Pr Raoult l’a dit et répété : ne pas traiter les malades et se contenter de leur donner du paracétamol était une forme de non-assistance à personne en danger.

Mais je pense que c’est encore pire que ça : donner du paracétamol aux malades du Covid-19 a probablement aggravé l’état de certains, et peut-être causé des morts !

Donc, nos « grands pontes » liés à l’industrie pharmaceutique s’acharnent depuis le début contre l’hydroxychloroquine, alors que c’est un des médicaments les plus sûrs au monde et qu’il avait une chance d’aider les patients à guérir…

…mais ces mêmes « sommités » de la médecine ne voient absolument aucun inconvénient à donner du paracétamol aux malades, alors que ce médicament qui n’a strictement aucun effet antiviral et qu’il risque au contraire d’aggraver la maladie !

Quand je vous dis que le système marche sur la tête…

Espérons qu’il y ait, à l’avenir, davantage de « Pr Raoult » qui osent briser les tabous !

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  1. Merci infiniment cher Dr,
    Vous avez de la chance de mettre vos connaissances et votre audace au profits des communs des gens. Depuis que le Pr. Didier Raoult a parlé de la combinaison hydroxychloroquine et l’azithromycine, j’ai publié un avis sur wathsaApp, pour:
    1- Approuvé le rationnel de procédé médicamenteux
    2- Dire que, peut peut-être, ça serait la pandémie la moins coûteuse dans l’histoire
    3- j’avais des craintes sur l’adoption des pays industrialisés de la proposition du Pr. Didier Raoult.
    Les géants du biopharma se sont acharnés sur le développement d’un vaccin au lieu d’approuver cette combinaison de médicament qui marche. Tout simplement pour un profit purement financier. Et pourtant tous les virologues savent qu’un vaccin contre un virus à ARN est presque une aventure perdue d’avance. Il faut savoir Monsieur que des pays comme le Maroc, utilisent l’hydroxychloroquine et ça marche. Nous somme, malheureusement, sous l’emprise d »un loubby qui a la bénédiction de tous les pays influents. Un loubby qui par son autoriété, nous oblige à céder. Il ne tient par le côté le plus sensible et le important pour notre bien-être, notre santé. Nous voulons que la santé soit un secteur sous la souveraineté de l’état et nous espérons avoir des chercheurs honnêtes difficile à intimider par des suceurs de sang.

    Dr. Chtarto Abdelwahed, PhD

  2. Vous l’avez dit: certains pontes médicaux marchent sur la tête. J’ai de façon abjecte été accusé de racisme antisémite par la direction de l’hôpital Bicêtre après qu’il m’a fallu intervenir in extremis pour sortir mon père d’un coma carus (prémortel) en lui administrant moi-même le traitement que les neurologues de cet hôpital lui avaient refusé. Mon père s’était ainsi rétabli en quelques semaines et avait pu récupérer à 30/30 au MMSE ses capacités intellectuelles. Il a avait été transféré depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd vers l’Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis à l’hôpital gériatrique Charles Foix, au fallacieux prétexte qu’à Bicêtre son état ne s’était pas amélioré malgré le traitement (qu’en réalité il n’avait pas reçu), qu’il occupait par conséquent inutilement un coûteux lit de spécialité. Les neurologues de l’hôpital Bicêtre avaient non seulement refusé de lui administrer le traitement spécifique, aussi simple que peu coûteux de la maladie de Biermer, mais avaient passé la consigne au docteur Beinis de ne faire que semblant devant moi, qui suis médecin, de le lui administrer alors que c’était sur le diagnostic de cette maladie que mon père avait été hospitalisé en neurologie. Cf. via Google les articles quelques 775 articles mis en ligne sur le « blog de leon » à partir de 2009, dont le premier, qui porte le n° 34640255 html est intitulé « Maltraitance des personnes âgées ». La direction de l’hôpital Bicêtre, c’est-à-dire en fait le professeur Gérard Saïd et la direction de l’AP -HP m’avaient accusé d’avoir moi-même « sciemment fabriqué » (sic) la maladie de mon père par « antinsémitisme ». Une accusation aussi ignoble que stupide qui aurait dû conduire l’hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd à en faire le signalement aux autorités judiciaires en vertu de l’article 40 du CPP, ce dont ils se sont gardés alors que le professeur Saïd m’en avait menacé après que je mesuis adressé à la CADA pour avoir accès à son dossier d’hospitalisation à Bicêtre, à faux déclaré perdu par la secrétaire du Service du professeur Saïd et la direction de l’hôpital Bicêtre.

  3. Merci Xavier,merci Pr Raoult,vous avez eu le courage de denoncer les mensonges,les profits et meme les crimes des grandes entreprises pharmaceutiques en etant seuls et sans arme face a ces armees d’empoisonneurs munis de missiles nucleaires.
    j’aimerais d’autre part la verite sur le danger evident des transfusions sanguines.

  4. Au début des années 1960, j’ai vu mon grand-Père paternel, paysan vivrier savoyard ayant auparavant élevé une flopée de garçons sur 10 ha « en haut de la montagne » entourés par la forêt et à près de 3 kms du village, se couper en aiguisant sa faux pour couper l’herbe pour les lapins, belle entaille entre pouce et index. Gnôle pour désinfecter + feuille de « sans-pareil », appelait il la salsepareille, parlant + le piémontais que son français limité et bande autour de la main. Le lendemain, j’ai, de mes yeux, vu une simple ligne rouge à la place de la plaie… Mon Père se soignait son hypertension avec le gui, le risque de problème de prostate futur avec l’épilobe à petites fleurs, etc, etc… Il est mort debout, à 91 ans, ne mettant ses lunettes que pour lire, marchant sans canne, etc, etc… et toute sa vie : pas d’alcool ni tabac, etc, etc…
    Mon message est refusé par votre bazar… décourageant…

    1. Guy Beart l’a chanté :  » celui qui dit la vérité, il doit être exécuté…. » C’est un peu la même chose. Le Pr Raoult dit la vérité, l’ ARS le cloue au pilori. C’est scandaleux. Alors que l’hydroxychloroquine peut et à sauvé des vies à Marseille . Où est le problème ? Les lobbies pharmaceutiques……

  5. Très bon article.
    Mais très mauvais titre, car les détracteurs vont tout simplement faire une lecture tronquée.
    Et cela risque de nuire au Pr Raoult.

  6. Bonjour ! Je voulais publier votre article sur FB ,mais le titre est équivoque ,il laisse à penser que c’est le cas du Professeur Raoult qui s’aggrave ,alors que c’est celui du Paracétamol ! Dommage !
    Bonne journée !

  7. De même qu’il était évident – pour beaucoup – que l’automédication imprudente est fort décommandée , que l’on ne devrait jamais dépasser le 1 mg /voire 2 mg. de paracetamol .

    Le traitement proposé par le Prof Raoult agit positivement au début des malaises , probablement pas en cours de maladie.Pouvez vs confirmer. MERCI !! Denise

  8. Aucune confiance au ministre de la santé et tous ces lobbies pharmaceutiques
    Vraiment une honte de JOUER avec la santé de la population pour du fric
    Nous sommes conscients de tout cela et chacun essaie de faire confiance à ses propres convictions merci pour messages

  9. Je suis allergique au paracétamol, mais toute la famille en prend pour sa plus grande satisfaction. Si c’était aussi dangereux que vous le proclamez, il y aurait encore plus de mort qu’avec leCovid 19
    Alors s’il vous plaît n’écrivez pas nimporte quoi.

    1. Bonjour

      Y’a + de morts à cause du doliprane mais il nr faut surtout pas en.parler

      Les cancers du foie, les hépatites fulminante, personne n’en parle. On va dire « mort d’un cancer »

      La toxicité du paracétamol est connue depuis bien avant 1983. Pourquoi je dis 1983 ? Car j’ai eu une hépatite fulminante due au paracétamol et pourtant je n’avais pris que 3 comprimés par jour de doliprane 100 pendant 5 jours. Je N avais pas de problème de foie avant.

      Le directeur du laboratoire m’a retrouvé le précis de médecine dans lequel était noté cette nocivité du paracétamol.
      Donc Raoult n’a rien trouvé. On le savait déjà bien avant que Raoult artive

      Je vous laisse imaginer les foies des personnes qui en prennent souvent

  10. bravo pour votre lettre,mais comment se fait-il qu’aucun média ne parle ou peu des malades et des morts du covid 19 a MADAGASCAR qui est pourtant plus pauvre que la france?

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