À peine croyable : ces « tests » ont suffi pour autoriser la vaccination de 30 millions de Français contre l’hépatite B

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le sujet du vaccin hépatite B vous semble un peu anecdotique ?

Détrompez-vous !!

Ce vaccin-là, c’est le premier coup d’État de l’industrie du vaccin contre la science et le bon sens médical.

Les abus que nous avons subis avec la vaccination anti-Covid ne viennent pas de nulle part.

Si plus de 300 vaccins sont en phase de test, en ce moment, dans les tuyaux de l’industrie pharmaceutique[1]

…ce n’est PAS parce que nous aurions besoin de 300 vaccins de plus pour être en bonne santé.

C’est parce que la vaccination est devenue une manne financière pour Big Pharma[2].

Et tout remonte au fameux vaccin contre l’hépatite B, au début des années 1980.

On a vu, dans les épisodes précédents :

  • Que 30 millions de Français ont été vaccinés contre l’hépatite B dans les années 1990, alors que la plupart d’entre eux n’en avaient pas besoin (ici) ;
  • Que ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui ont créé de toute pièce la peur contre l’hépatite B, afin de favoriser une campagne vaccinale en Occident (ici).

Il n’y avait aucune raison de vacciner massivement la population contre l’hépatite B.

Et il y avait encore moins de raisons de vacciner les nouveau-nés en bonne santé, contre cette maladie d’adultes qui se transmet principalement par seringue contaminée.

Même avec un bon vaccin, il était inutile et coûteux de vacciner massivement – c’était d’ailleurs la conclusion d’un rapport de l’INSERM publié en 1995[3].

Mais avait-on réellement un « bon vaccin », sans danger ?

Avait-on réalisé toutes les études nécessaires pour vacciner massivement avec sérénité ?

Absolument pas.

Je vous ai parlé dans ma dernière lettre du syndrome des « tortues jusqu’en bas » (vous pouvez la lire (ici), elle éclaire l’ampleur du problème en cours depuis 40 ans sur la vaccination)

Pour résumer : si vous voulez être sûr qu’un vaccin est efficace et sans danger, il FAUT ABSOLUMENT mener de grands essais cliniques contre placebo.

Problème : cela n’est (presque) jamais fait avec les vaccins.

La plupart des vaccins n’ont jamais été correctement testés.

Et l’hépatite B en est un exemple sidérant.

Choquant : comment le vaccin hépatite B a été testé

Figurez-vous qu’on a vacciné massivement les adolescents, puis rendu obligatoire le vaccin hépatite B pour tous les bébés…

… essentiellement sur la base de deux essais cliniques (randomisés avec groupe de contrôle) datant de la fin des années 1970[4]

…qui ont été réalisés, croyez-le ou non :

  • Avec un vaccin qui a disparu entre-temps : il était basé sur une technologie totalement différente des vaccins utilisés par la suite pour vacciner massivement la population…
  • Testé sur des adultes homosexuels américains, donc peu représentatifs de la population générale (et a fortiori des adolescents et des bébés)…
  • Avec un groupe de contrôle qui n’a pas reçu de vrai placebo, mais une seringue contenant de l’aluminium, pour masquer les potentiels effets indésirables…
  • Effets indésirables qui n’ont d’ailleurs été étudiés que pendant quelques jours, ce qui empêche de pouvoir diagnostiquer des maladies graves (sclérose en plaques, etc.)

Et pour couronner le tout, dans ces essais cliniques, l’efficacité réelle du vaccin n’apparaît même pas de façon éclatante, comme on le verra.

Et pourtant, c’est essentiellement sur la base de ces deux essais cliniques là qu’on a vacciné des centaines de millions de personnes dans le monde !

Pour les enfants et nourrissons en bonne santé[5], on n’a tout simplement jamais testé le vaccin hépatite B avec le moindre groupe de contrôle !

Et dans les quelques essais cliniques réalisés sur des enfants (donc sans groupe de contrôle), les effets indésirables n’ont été étudiés que pendant les 4 ou 5 jours seulement suivant l’injection[6].

C’est le cas par exemple d’une étude réalisée sur 79 enfants vaccinés contre l’hépatite B[7].

Cette étude observe que :

  • Près d’un enfant sur cinq a souffert, dans les jours suivant l’injection, de divers symptômes post-vaccinaux (fatigue, faiblesse, diarrhée ou irritabilité) ;
  • Et environ un enfant sur dix a eu une fièvre de plus de 38,3 degrés.

Ce n’est pas rien d’infliger cela à des nourrissons. Mais disons que cela reste encore acceptable, si le vaccin est utile et s’il ne cause pas de séquelles plus graves.

Mais justement, on ne pouvait pas savoir si ces nourrissons ne risquaient pas de subir des séquelles vaccinales plus graves.

Car cela n’a pas été étudié ! On s’est arrêté à 5 jours de suivi tout au plus ![8]

Donc, les risques du vaccin hépatite B injecté à 30 millions de Français n’avaient pas été étudiés au-delà des 5 jours suivant l’injection.

C’est très problématique, quand on sait que ce vaccin sera accusé, après sa mise sur le marché, de causer des maladies graves qui ne se diagnostiquent jamais en 5 jours, comme :

  • Des maladies démyélinisantes, comme la sclérose en plaques ;
  • Des diabètes de type I (une maladie auto-immune) ;
  • Des myofasciites à macrophage ;
  • Des maladies du sang (aplasie médullaire),
  • Et même des leucémies (cancer du sang)

Cela veut dire qu’aucun des tests réalisés avant la mise sur le marché de ce vaccin n’a pu nous donner la moindre indication sur ses véritables risques.

Et c’est un énorme problème quand on connaît la difficulté à prouver, après coup, la survenue d’un effet indésirable vaccinal.

Alors, comment ce vaccin a-t-il pu être autorisé ?

C’est une histoire assez abracadabrante, que je vous raconterai la semaine prochaine.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Ça y est, mon livre paraît ce mois-ci ! Et on peut déjà le commander !

En voici le sommaire :

Partie 1 : Vaccins anti-Covid, la grande désillusion

Chapitre1 • De la « baguette magique » à la déconfiture

Chapitre 2 • La vaccination anti-Covid a-t-elle aussi échoué à empêcher les formes graves ?

Chapitre 3 • Des vaccins sans danger, vraiment ?

Partie 2 Les trois grands mythes vaccinaux

Mythe n°1 • L’éradication des maladies infectieuses par les vaccins

Mythe n°2 • Les vaccins sont fondés sur la science

Mythe n°3 • Les vaccins sont « sûrs et sans danger »

Partie 3 Experts et autorités : aveuglément « provax »

Chapitre 4 • L’aveuglement volontaire des médecins et scientifiques

Chapitre 5 • Les autorités de santé ont un problème avec la vérité

Chapitre 6 • L’OMS sous influence : le rôle de Bill Gates

Chapitre 7 • Les États face à la menace des armes biologiques

Partie 4 Big Pharma et la science des vaccins : la grande manipulation

Chapitre 8 • Pourquoi le marché des vaccins est stratégique pour Big Pharma

Chapitre 9 • Comment Big Pharma manipule les essais cliniques vaccinaux

Chapitre 10 • Des experts sous influence

Partie 5 Revues médicales, médias et politiques : ni débat ni contre-pouvoir

Chapitre 11 • Les revues médicales écartent les travaux qui dérangent

Chapitre 12 • La partialité de nombreux médias sur la vaccination

Chapitre 13 • Les politiques face aux vaccins : responsables ou irresponsables ?

Le site de la Fnac : https://livre.fnac.com/a17162398/Xavier-Bazin-Antivax-toi-meme-Retrouvons-un-esprit-critique-face-a-la-vaccination

Amazon : https://www.amazon.fr/Antivax-toi-m%C3%AAme-Retrouvons-critique-vaccination/dp/2813228052/

(Je connais – et partage – les critiques au sujet d’Amazon, mais qu’on le veuille ou non, c’est un outil majeur pour faire connaître le livre, et donc participer à la diffusion de son contenu qui me paraît capital pour la santé de tous).

Sources

[1] https://www.biopharmadive.com/news/spotlight-vaccine-manufacturing-business-development-decisions/526150/

[2] https://www.xavier-bazin.fr/pourquoi-les-geants-de-lindustrie-pharmaceutique-sont-prets-a-tout-pour-defendre-et-etendre-le-marche-vaccinal/

[3] https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/2333/MS_1995_10_1474.pdf?sequence=1&isAllowed=y

[4]https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJM198010093031501, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/0003-4819-97-3-362

[5] Qui ne sont donc pas porteurs du virus de l’hépatite B à la naissance.

[6] Pour l’Engerix B https://www.fda.gov/media/119403/download

[7] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2943814/

[8] Il faut savoir aussi que les deuxièmes et troisièmes doses n’ont été données qu’à 75 enfants, alors que 79 enfants ont reçu la première. Il n’est pas précisé ce qui est advenu des 4 enfants restant : si par malheur ils sont morts ou devenus très malades après leur première dose, il ne faut pas attendre du fabricant, qui a conduit cette étude, qu’il vous le révèle. Ce n’est pas de la paranoïa mal placée : c’est exactement ce qui s’est passé récemment avec Briane Dressen, qui a participé avec enthousiasme à l’essai clinique du vaccin anti-Covid AstraZeneca, qui a souffert d’une grave maladie neurologique après la 1ère dose, ce qui a conduit à l’exclure de l’essai clinique, en faisant croire qu’elle s’en était retiré volontairement. https://davidhealy.org/new-england-journal-of-misinformation/?. Voir aussi son témoignage ici : https://twitter.com/Saintete_pepe/status/1587860440712822784

33 Commentaires

Sources

Partager

S'abonner

33 réponses

  1. Vos informations et le travail de recherche que cela nécessite ont toute mon admiration et ma reconnaissance.
    Je n’ai pas fait vacciner mes 4 enfants alors qu’il s’agissait vraiment de vaccins selon la définition de l’institut Pasteur.
    J’ai également pu me soustraire au  » Vaccin contre le Covid 19  » et ceux qui ont suivi , mais une étude aussi poussée que
    la votre, je ne l’ai pas rencontrée.
    Merci de contribuer à faire surgir la Vérité , merci de dénoncer sans crainte cette comédie juteuse pour les Pharmas,
    c’est courageux étant donnée les appuis dont ils bénéficient ( Black Rock entre autre )

  2. si la majorité des « moutons » pouvez s’apercevoir que l’herbe qu’ils ingèrent est très polluée. ET QUE SEUL LE FRIC MENE LE MONDE DANS LEQUEL ILS VIVENT …. ils devraient savoir aussi que les moutons sont tués sans état d’âme.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *