Vaccin anti-corona : êtes-vous PARTANT ?

La France et trois autres pays se sont engagés à acheter 400 millions de doses du vaccin préparé par Astrazeneca[1], un grand laboratoire pharmaceutique.

Cela représente environ 1 milliard d’euros.

C’est énorme, pour un vaccin :

  • qui n’a pas encore été testé sur des êtres humains ;
  • dont on ne sait rien de l’efficacité ;
  • et dont on ne connaît pas les risques et effet indésirables.

Pour Astrazeneca, cela paraît plutôt bien joué. 

D’autant qu’on parle ici d’un vaccin :

  • Contre une maladie qui pourrait disparaître à la faveur de l’été ;
  • Et dont le virus (Sars-Cov-2) pourrait muter, ce qui rendrait le vaccin en préparation totalement inefficace.

Je ne sais pas si le contribuable français est gagnant dans cette histoire.

Mais le plus important, c’est ce que vous ferez vous, en tant que patient (ou cobaye) :

Seriez-vous prêt à vous faire injecter un tel vaccin ?

Le PDG d’Astrazeneca a déclaré ceci : « On sera prêt à livrer à partir du mois d’octobre si tout va bien »[2].

Vous avez bien lu : un vaccin contre une maladie découverte en janvier dernier sera « prêt à être livré au mois d’octobre ».

Personnellement, je trouve ça très inquiétant.

Troublant ! Ce qu’on dit ces grands spécialistes de la vaccination

Et je ne suis pas le seul, loin de là.

Aux États-Unis, le « pape » des maladies infectieuses, le Dr Anthony Fauci a été auditionné par le Sénat américain au mois d’avril à ce sujet.

Et voici ce qu’il a déclaré : 

« Une source de préoccupation, qu’il faut lever en faisant des tests correctement, est de savoir si on a un effet « d’augmentation ».

On sait qu’il y a de nombreux vaccins pour lesquels le vaccin induit une réponse « sub-optimale », et quand une personne vaccinée est exposée au virus, elle subit une aggravation de la maladie, ce qui est toujours inquiétant. 

Donc il faut faire en sorte d’être certain que cela ne se produira pas. »[3]

Écoutez aussi ce qu’a déclaré le Dr Paul Offit, spécialiste des vaccins reconnu internationalement et inventeur lui-même du vaccin contre le rotavirus :

« Quand le Dr Fauci a parlé de 12 à 18 mois pour créer un vaccin, j’ai trouvé que c’était d’un optimisme ridicule – et je suis sûr qu’il le pense aussi.

Gardez bien en tête que vous donnerez ce vaccin majoritairement à des personnes en bonne santé – pas des personnes qui risquent de mourir de l’infection.

Donc vous avez intérêt à faire en sorte de le placer à un haut niveau de sécurité »[4].

Il faut savoir qu’un vaccin met en général 8 à 10 ans pour être développé correctement, avant d’être mis sur le marché.

Il y a plusieurs phases à respecter.

Pour être sûr de sa sécurité et de son efficacité, « vous devez suivre la réponse immunitaire pendant au moins 12 mois », selon le Dr. Emily Erbelding, de l’Institut national de la santé aux États-Unis[5]. 

Même son de cloche du côté de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Son directeur exécutif, le Dr Mike Ryan, a déclaré ceci :

« Beaucoup de gens se demandent : pourquoi ne pas juste faire le vaccin et le donner aux gens ?

Eh bien le monde a appris beaucoup de choses sur la vaccination de masse, et s’il y a bien une chose plus dangereuse qu’un mauvais virus, c’est un mauvais vaccin.

Nous devons être très très prudents dans le développement d’un produit qu’on va injecter potentiellement à la majorité de la population mondiale »[6].

Mais, vous l’avez compris, la France et Astrazeneca en ont décidé autrement.

Avec un vaccin promis dans 4 mois, il est certain, à présent, qu’il ne sera pas correctement testé.

Pourquoi il y a des raisons d’être inquiet

Comme l’a dit le Dr Fauci, la grande inquiétude, c’est que le vaccin conduise à aggraver la maladie, plutôt qu’à nous en protéger.

Ce n’est pas une simple hypothèse.

C’est déjà arrivé à plusieurs reprises – tout récemment avec le vaccin de Sanofi contre la dengue.

Comme l’a expliqué le Pr Raoult :

« Le seul vaccin nouveau qui a été proposé ces dernières années est celui contre la dengue, qui a été partiellement un désastre, parce que l’immunité contre la dengue prédispose à avoir une deuxième forme de la dengue plus grave que la première.

Il y a un énorme procès aux Philippines actuellement contre ceux qui ont commercialisé ce vaccin contre la dengue. »

Ce qui s’est passé avec le vaccin contre la dengue, c’est un effet que les spécialistes appellent la « facilitation de l’infection par des anticorps ».

Un article très bien fait de Futura Science donne plusieurs exemples[7] :

« L’exemple le plus connu est celui d’un vaccin contre le virus respiratoire développé par Pfizer dans les années 1960, et qui avait entrainé plusieurs cas de grave pneumonie chez les enfants, aboutissant à la mort de deux d’entre eux.

Le même phénomène a été signalé avec un vaccin contre la dengue de Sanofi ou le virus du Nil occidental. On l’observe aussi chez l’animal pour la grippe, le virus Zika, et les coronavirus comme le Sras »

Et figurez-vous que ce phénomène très inquiétant s’est même produit avec le virus le plus proche du coronavirus, le SRAS de 2003 :

 « Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de Sras en 2003, a constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus, en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. »

Voilà pourquoi il est très dangereux d’essayer de faire un vaccin à la hâte contre ce nouveau coronavirus, sans l’avoir testé convenablement !

Surtout qu’on ne sait même pas s’il ne va pas muter d’ici quelques mois… auquel cas ce pourrait être dangereux !

En cas de mutation, le vaccin peut devenir inutile, voire dangereux !

Là encore, ce n’est pas une simple hypothèse : c’est ce qui s’est passé l’année dernière avec le vaccin contre la grippe.

Sur un sous-type mutant du virus H3N2, le vaccin anti-grippe n’a pas réduit mais au contraire augmenté le risque d’attraper la grippe !

Sur cette souche-là, l’agence américaine CDC a rapporté une augmentation des hospitalisations de 43 à 60 % chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés[8] !

Pourquoi ?

Parce que le virus contenu dans le vaccin n’était pas exactement le même que celui qui a circulé. Il était très proche, mais pas exactement le même.

Du coup, le système immunitaire a été trompé : il a été entraîné à se battre contre un type de virus précis… et cela l’a rendu moins efficace contre un virus qui lui ressemble fortement !

Et je ne parle pas ici d’autres problèmes de sécurité liés aux vaccins mal testés, comme celui des adjuvants.

Je rappelle quand même que le vaccin contre la grippe A H1N1 de 2009 a causé des graves cas de narcolepsie, à cause de l’adjuvant squalène. C’est une étude publiée dans le British Medical Journal en 2013 qui l’a révélé[9].

Est-il vraiment raisonnable de se précipiter sur un vaccin insuffisamment testé ?

Le risque est évident.

Mais pour quel bienfait ?

Et d’ailleurs, est-on sûr qu’il va servir à quelque chose ?

Sans même parler des dangers, la probabilité de réussir à créer un vaccin efficace est faible.

Il suffit de regarder celle du vaccin contre la grippe : malgré des dizaines d’années de recherches, on a toujours des millions d’infections grippales chaque hiver.

Pour le Pr Raoult, trouver un vaccin efficace en quelques mois est de la « science-fiction » :

« Si on regarde la liste des vaccins disponibles sur le site de l’OMS, on voit qu’on ne sait pas inventer de nouveaux vaccins utilisables depuis plus de 20 ans.

Le vaccin est une espèce de réponse automatique en cas de crise, mais la probabilité de faire un vaccin acceptable, utilisable et fonctionnel est extrêmement faible.

Je ne connais pas de maladie émergente pour laquelle on ait trouvé un vaccin, ce n’est pas arrivé pour l’instant. »

La semaine dernière, le Pr Christian Perronne a été encore plus direct :

« J’étais très pro-vaccinal, j’ai été vice-président du groupe d’experts de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Europe, sur les vaccins.

Je ne suis pas contre les vaccins. Les vaccins sont très utiles pour d’autres maladies.

Mais sur ce point précis du coronavirus, c’est une foutaise purement financière

L’épidémie est en train de disparaître. Et on peut parfaitement traiter les malades dès le début des symptômes.

C’est une histoire commerciale. »

Donc, je vous répète ma question.

L’hiver prochain, êtes-vous prêt à vous faire injecter le vaccin anti-coronavirus qu’on nous annonce ?

Je vous remercie de me répondre, en commentaire de cet article !

Sources

2 143 Commentaires

Sources

Partager

S'abonner

2 143 Responses

  1. Je refuserais tout vaccin insuffisamment testé, comme je refuse des multivaccins potentialisés aux sels d’alumine, dont on connait les effets d’autant plus délétères que les doses sont cumulables. Ah certes ils sont en vente, les vaccins uniques, mais … Rupture de stock … depuis 10 ans !!! Il faut vraiment dénoncer ce scandale de Big Pharma, comme vous le faites déja si clairement.

  2. NON pas de vaccins pour moi ni pour la grippe ni pour le coronavirus . Vous êtes mieux placé que moi pour savoir l’inutilité de nombreux vaccins et même leur dangerosité , donc je ne vais pas vous en faire la liste. le pompon c’est mon petit fils qui est allaité donc immunisé par la mère et que le médecin généraliste a vacciné contre un certain nombre de maladies infantiles que la mère a eues???Chercher l’erreur!!!en conclusion il y a trop de monde sur terre, les vieux coûtent cher ( retraite, soins, ect…)quelle bonne façon de les éliminer d’abord un bon virus bien virulant et ensuite un bon vaccin …létal . Et je ne vais pas vous parler de l’industrie pharmaceutique qui manipule les gouvernements -bien cordialement –

  3. Bien sûr, la dangerosité de ce vaccin nous est promise par la précipitation à nous le rendre obligatoire. Même des professeurs et médecins pro-vaccins tirent la sonnette d’alarme. Nous sommes en pleine inquisition (Professeurs RAOULT et PERRONE convoqués par l’ordre des médecins!…). Plus aucun doute sur la dérive sectaire et totalitaire de notre médecine conventionnelle et de notre gouvernement, relayée par les grands médias. Notre Humanité est en danger. Réveillons-nous ! Merci pour votre article, Monsieur BAZIN

  4. Me faire vacciner en automne ! Certainement pas, ni plus tard d’ailleurs.
    Je suis , et j’ai toujours été « hypo-vaccinée », en clair le moins de vaccins possibles, et j’ai adopté la même attitude pour mon fils.
    Il y a de nombreuses preuves des dangers des vaccinations, mais les gouvernements les tiennent sous silence. Tout ça n’est qu’une histoire de fric, les laboratoires veulent se remplir les poches, et ensuite arrosent les politiques au pouvoir. On se sert de la peur bien orchestrée par les médias pour nous balancer un vaccin de plus qui va soi-disant nous sauver !
    Des virus, il y en a toujours eu, et il y en aura toujours ; le vrai problème , c’est celui de l’immunité.
    Sommes nous des moutons … ou pas ?

  5. Dans les années 50 j’ai été vaccinée avec le BCG résultat = une tuberculose 3 mois après. En 93 vaccinée de façon obligatoire (IDE) contre l’hépatite B (mais pas la A, C,D,E….°) Réaction immunitaire = polyarthrite et pas de protection conte l’hépatite . ( reconnue en Accident du Travail comme des centaines de personnel soignant .
    Alors , NON , NON et NON CONTRE LE CORONA

  6. Bonjour
    Ne me parlez pas de me faire ce vaccin et on ne m’y obligera pas . Peut être que je suis déjà immunisée du fait que cette Covid fait partie de la sympathique famille des coronavirus et étant donné le nombre d’infections ORL que j’ai déjà attrapé …… Je suis pourtant infirmière mais pas d’accord avec les vaccinations systématiques ….. je me posais la question : comment se fait il qu’on nous fasse croire qu’il va y avoir un vaccin contre la covid alors qu’on ne l’a pas encore trouvé pour le HIV qui a fait de nombreuses victimes depuis plus de 35 ans …. ? Bonne journée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *