Un gâchis : ces remèdes contre le Covid-19 qu’on ignore

On saura bientôt si la chloroquine est efficace, oui ou non, contre le Covid-19.

Le scandale, c’est qu’on devrait déjà le savoir, aujourd’hui jeudi 26 mars !

Cela fait deux mois qu’on sait que la chloroquine est efficace contre le coronavirus in vitro, dans une éprouvette.

Cela fait plus d’un mois que la Chine a annoncé au monde entier qu’elle utilise ce médicament, avec quelque succès, contre l’épidémie.

Et nous avons la chance d’avoir, en France, un des plus grands spécialistes de ce médicament, le Pr Didier Raoult !

Alors pourquoi ce retard insensé pour tester ce médicament correctement ?

Le Dr Olivier Soulier a parfaitement résumé le problème[1] :

« Beaucoup ne veulent pas laisser un provincial qui plus est barbu, chevelu et anticonformiste avoir la primauté de la découverte. Beaucoup lui tirent dessus. Il y a aussi sûrement l’égo de certains parisiens vexés.

Mais aussi tous ceux qui, de mèche avec des laboratoires, espéraient pouvoir placer le produit antiviral de leurs sponsors. C’est vrai qu’un traitement reconnu, et surtout pas cher, c’est l’effondrement de Perrette et le pot au lait, « Adieu veaux vaches cochons » pour de nombreux laboratoires qui voyaient déjà les milliards tomber dans leur escarcelle.

Et ce petit prof de Marseille qui trouve un traitement simple et pas cher…Alors ça vaut bien pour certains de traîner un peu les pieds en mettant en avant des notions techniques pendant que les malades meurent.

Ici, bien au-delà de l’obscurantisme et des peurs, il y a les gros sous. »

Prenez le cas du Pr Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat.

C’est en partie à cause de lui que la France a refusé de tester la chloroquine il y a un mois.

Ce Pr Yazdanpanah voulait privilégier deux autres médicaments :

  • Le remdesivir, un anti-viral qui n’est même pas encore commercialisé, du laboratoire Gilead ;
  • Et le Kelatra (seul ou avec de l’interferon bêta), un anti-VIH du laboratoire AbbVie.

Ce sont deux médicaments hors de prix, et ce sont des médicaments récents, dont on n’a aucun recul sur la dangerosité.

Par contraste, la chloroquine est un médicament très bon marché, sur lequel on a des dizaines d’années de recul sur ses effets indésirables.

Alors pourquoi ce choix étrange fait par le Pr Yazdanpanah et des autres « grands pontes » parisiens ?

Ce qu’on sait, c’est que le Pr Yazdanpanah a été rémunéré par les laboratoires Gilead et AbbVie… ainsi que par 7 autres compagnies pharmaceutiques, dont il a été au « board »[2].

Je vous laisse méditer cette information.

Mais aujourd’hui, je voudrais vous parler d’un autre scandale.

Avec la chloroquine, nous avons vu à quel point le « système » est hostile aux médicaments bon marché.

Mais le système médical est encore 10 fois plus hostile vis à vis des traitements naturels !

Il n’y a pas que la chloroquine qui aurait dû être testée dès février dernier, en urgence.

Il y a aussi des remèdes naturels très prometteurs, qui pourraient sauver des vies !

A commencer par les injections de vitamine C en intraveineuse :

Des médecins de Shanghai disent SAUVER DES VIES avec cette vitamine

Quand les patients arrivent dans un état critique, en détresse respiratoire, il est généralement trop tard pour leur administrer un traitement anti-viral.

Les malades en soins intensifs ne souffrent plus tellement du virus, mais plutôt des lésions graves causées par le virus.

Et c’est là que la vitamine C en intraveineuse pourrait jouer un rôle intéressant.

D’abord parce que les injections de vitamine C ne présentent pas de danger.

Ensuite parce qu’il est possible que ces injections sauvent des vies !

On sait que des grands médecins, dans le passé, ont utilisé ce traitement avec succès contre des infections virales, comme des pneumonies[3].

Une étude a montré que des personnes âgées, atteintes d’une infection respiratoire aiguë, ont connu une amélioration de leur état, avec de la simple vitamine C par voie orale[4].

Et on sait que des injections de vitamine C peuvent sauver la vie de patients victimes de septicémie[5] [6].

Donc, comme je vous le dis depuis début mars, on aurait dû tester immédiatement les injections de vitamine C sur les patients hospitalisés !

C’est ce qu’on fait les Chinois, dès le début de l’épidémie[7] – il faut dire que les Chinois sont moins inféodés à Big Pharma et davantage ouverts aux traitements naturels.

Et les résultats préliminaires sont très encourageants !

Voici ce que vient de rapporter publiquement le Dr Mao, chef du service de médecine d’urgence d’un grand hôpital de Shanghai[8] :

« Le Dr Mao a déclaré que son groupe a traité environ 50 cas, de modérés à sévères, d’infection à Covid-19 à l’aide d’injections de vitamine C (CIV) à forte dose.

La dose de CIV était comprise entre 10 000 mg et 20 000 mg par jour pendant 7 à 10 jours, avec 10 000 mg pour les cas modérés et 20 000 pour les cas plus graves, en fonction de l’état pulmonaire et de l’état de la coagulation.

Tous les patients qui ont reçu un traitement par CIV ont vu leur état s’améliorer et il n’y a pas eu de mortalité.

Par rapport à la moyenne du séjour hospitalier de 30 jours de tous les patients Covid-19 positifs, les patients ayant reçu une dose élevée en CIV ont eu un séjour hospitalier raccourci d’environ 3 à 5 jours, par rapport à l’ensemble des patients.

Le Dr Mao a parlé d’un cas grave en particulier qui se détériorait rapidement. Il a administré un bolus de 50 000 mg en CIV en une période de 4 heures. L’état pulmonaire du patient s’est stabilisé et amélioré, en temps réel, sous l’œil attentif de l’équipe de soins intensifs.

Aucun effet secondaire n’a été signalé dans les cas traités avec de fortes doses de CIV. »

Bien sûr, ce rapport est très imparfait scientifiquement, un peu comme l’étude préliminaire du Pr Raoult sur la chloroquine, car faite avec les moyens du bord.

Mais ces premiers résultats justifient amplement qu’on se dépêche de tester ce traitement dans nos hôpitaux !!

Mais je peux déjà vous l’affirmer : on ne le fera pas.

Je répète que nos grands pontes ont 10 fois plus de préjugés contre ce traitement naturel que contre la chloroquine.

Et ils ne veulent surtout pas donner raison à ceux qui militent pour des alternatives naturelles aux médicaments !

Et c’est la raison pour laquelle on ne testera pas non plus cet autre grand remède naturel, pourtant très prometteur également :

Omerta sur la quercétine, qui a pourtant tout pour plaire !

Il s’agit de la quercétine, une substance naturelle et sans danger.

On a de bonnes raisons de penser que ce traitement naturel pourrait agir en prévention du Covid-19, et même dès les premiers symptômes !

Je rappelle qu’un des chercheurs médicaux les plus respectés au monde, le Dr Michel Chrétien, a déclaré qu’il croyait fortement à l’intérêt de la quercétine contre le coronavirus.

Il sait de quoi il parle, car il a étudié de près l’efficacité de la quercétine sur d’autres virus, notamment Zika et Ebola.

Je vous ai relayé cette information il y a déjà un mois, car en dehors de son coût financier, vous n’avez strictement rien à perdre à essayer ce remède prometteur, en prévention et en traitement, à raison de 500 à 1 000 milligrammes par jour.

Il y a deux semaines, j’ai été heureux de voir que j’étais rejoint par le grand Dr Mercola (numéro 1 de la santé naturelle aux Etats-Unis).

Mi-mars, le Dr Mercola a publié sur son site un article intitulé « Quercétine et vitamine D : des alliés contre le coronavirus ? »[9].

La vitamine D, je vous en parle de longue date : c’est LA vitamine qu’il vous faut en prévention du coronavirus (et dans un système médical normal, le gouvernement aurait fait une distribution gratuite de vitamine D à tous les plus de 65 ans, en prévention).

Mais la quercétine est aussi une molécule extrêmement intéressante !

Dans son article, le Dr Mercola rappelle que la quercétine est un « puissant stimulant immunitaire et un antiviral à large spectre ».

Le Dr Mercola cite de nombreux travaux scientifiques, et notamment une étude de 2014 qui conclut à l’intérêt de la quercétine contre le virus du rhume, en précisant qu’elle « réduit l’internalisation et la réplication virales in vitro, ainsi que la charge virale, l’inflammation pulmonaire et l’hyperréactivité des voies aériennes in vivo ».

Il précise aussi que la quercétine, « en atténuant les dommages oxydatifs, réduit également le risque d’infections bactériennes secondaires »!

Là encore, c’est très intéressant car une mort sur sept liée au coronavirus serait causée par une infection bactérienne qui vient s’ajouter à l’infection virale.

Et puis deux études de 2004[10] et de 2012[11] ont conclu à l’intérêt de la quercétine pour bloquer l’entrée dans les cellules d’un coronavirus de la famille du SRAS… et éviter de souffrir du fameux « syndrome respiratoire aigu » !

Et ce n’est pas tout :

La conclusion SURPRISE de l’ordinateur le plus puissant au monde !

L’ordinateur le plus puissant au monde a été mis à contribution dans cette crise.

Ce super-ordinateur s’appelle Summit, il a été créé par IBM et est capable de faire 200 millions de milliards (200 000 000 000 000 000) d’opérations à la seconde.

Et il est équipé d’un « cerveau » d’intelligence artificielle, pour mieux opérer.

On lui a demandé d’analyser 8 000 molécules déjà étudiées dans les études scientifiques.

Résultat : le super-ordinateur a identifié 77 molécules potentiellement intéressantes pour bloquer l’entrée du coronavirus dans nos cellules.

Et figurez-vous que la molécule numéro 5 est la… quercétine !

Pour mémoire, la quercétine est un flavonoïde, une famille de molécules connues de longue date pour leurs effets anti-viraux[12].

Je le précise, car deux autres flavonoïdes ont été identifiés par l’ordinateur IBM comme très prometteurs (dans le top 13) :

  • La lutéoline-monoarabinoside, un composé que l’on trouve dans les baies noires ou foncées ;
  • Et l’ériodictyol, une molécule produite par certaines plantes comme l’Herba Santa.

Notez que l’ériodictyol est déjà connu pour son effet anti-oxydant et anti-inflammatoire, protecteur sur les neurones, les reins et les poumons[13].

Je n’ai rien trouvé de probant sur la lutéoline-monoarabinoside, mais la lutéoline seule, elle, a déjà été très étudiée.

On trouve la lutéoline dans l’artichaut, le thym, le céleri ou la propolis.

Et figurez-vous que de nombreuses études montrent qu’elle a des effets particulièrement intéressants quand elle est associée à… la quercétine[14] !

Ce « mélange » lutéoline-quercétine a notamment été étudié pour ses effets sur le cancer, le foie, le cerveau et l’inflammation en général.

Une étude montre que ces deux molécules pourraient booster l’efficacité d’un antibiotique contre une bactérie très résistante, le staphylocoque doré[15].

Une autre étude réalisée sur des souris a montré que la quercétine et la lutéoline pourrait réduire l’impact toxique de la cigarette sur le foie et les poumons[16].

Bref, tout ceci renforce mon sentiment que la quercétine pourrait vraiment être prometteur, seule ou en association avec la lutéoline.

Elle devrait donc être testée immédiatement !

Mais cela ne se fera pas, hélas.

Aucun chercheur ne gagnera de prix Nobel avec une molécule contenue dans les oignons.

Et aucun laboratoire pharmaceutique ne gagnera de fortune avec une molécule naturelle.

Et les huiles essentielles, dans tout ça ?

Dans un monde idéal, il aurait fallu tester aussi certaines huiles essentielles.

Je rappelle que l’huile essentielle de laurier noble a montré, in vitro, une efficacité sur le coronavirus SRAS de 2003 (très proche du coronavirus de Wuhan).

Mais les huiles essentielles sont beaucoup trop éloignées de l’univers mental de la médecine moderne.

Pour un médecin lambda, appliquer des gouttes d’huile essentielle sur la voûte plantaire des patients relève de la science-fiction.

C’est pourquoi je me suis focalisé sur les injections de vitamine C et les gélules de quercétine.

Les injections et les pilules sont bien connues des médecins, et faciles à tester, contre placebo.

Au total, j’espère que vous comprenez que la situation actuelle est un GRAND RÉVÉLATEUR des problèmes qui minent notre système de santé en profondeur.

J’espère que cela vous éclaire sur les dessous de la polémique actuelle sur la chloroquine et le Pr Raoult (si ce sujet vous intéresse, lisez aussi cet article très détaillé de l’expert Jean-Dominique Michel)

Je le répète : même si l’efficacité de la chloroquine s’avère décevante (c’est possible !), le scandale est de ne pas l’avoir testée plus tôt.

Et maintenant, vous savez pourquoi : c’est « une histoire de gros sous ».

Pour la même raison, on ne testera certainement pas des remèdes naturels et sans danger.

Tel est le monde dans lequel nous vivons.

Et il est grand temps d’ouvrir les yeux.

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  1. La vit.C est également efficace à très hautes doses contre l’intoxication par l’amanite phaloïde

  2. Super je suis d accord il faut faire la guerre aux labos. Ou trouver et comment se procurer ce médicament ? Je suis dans le 91 cela pourra aider les Essonniens qui vous font confiance à 100%

  3. Les résultats d’un essai clinique contrôlé en Chine sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine comme traitement pour Covid-19 n’ont montré aucune différence significative dans les résultats de santé entre le groupe témoin et les patients qui ont reçu le médicament expérimental.

    Comme Tara Haelle l’a habilement résumé dans un article antérieur pour Forbes, trente patients hospitalisés pour Covid-19 ont participé à l’essai. Quinze ont été traités avec 400 mg de chloroquine pendant cinq jours et quinze ont reçu les soins de soutien standard. Au jour 7 de l’essai, les deux groupes ont été évalués

    Les resultats:

    Les tomodensitogrammes ont montré qu’il y avait peu de différence dans la progression de la maladie pour ceux recevant le traitement à l’hydroxychloroquine et ceux qui ont reçu des soins conventionnels.

    Sur les trente patients, un seul patient a évolué vers des stades sévères de la maladie – ce patient avait reçu de l’hydroxychloroquine dans le cadre de son traitement.

    Aujourd’hui dans: Santé

    93% des patients du groupe témoin se sont révélés négatifs pour Covid-19 après sept jours, contre 86,7% des patients du groupe traité par l’hydroxychloroquine.

    Il a fallu à ceux du groupe témoin entre 1 et 4 jours après le début du traitement avant de tester un résultat négatif pour la maladie. Il a fallu à ceux du groupe traité à l’hydroxychloroquine entre 1 et 9 jours après le début du traitement avant de donner un résultat négatif.

    Les résultats étaient statistiquement indiscernables, ce qui signifie qu’il n’y avait pas de différence mesurable dans les résultats entre les groupes qui ont reçu le traitement à l’hydroxychloroquine et ceux qui ne l’ont pas fait.

    Qu’est-ce-que tout cela veut dire?

    Les chercheurs qui ont mené l’étude, une équipe du Centre de santé publique de Shanghai en Chine, reconnaissent que leur essai clinique était de petite taille et qu’une étude plus large serait nécessaire pour confirmer les résultats. L’étude soulève également des questions qui restent sans réponse quant à savoir si différents dosages d’hydroxychloroquine pourraient apporter des résultats différents.

    Malgré ses limites, les résultats de l’étude sont importants – nous aidant à réduire les faux espoirs qui pourraient nous encourager à abandonner les actions les plus agressives que nous devons prendre pour arrêter la propagation de cette maladie. Ces résultats doivent également être considérés à la lumière des effets secondaires potentiellement nocifs réels de l’hydroxychloroquine.

    L’étude complète en chinois avec un court résumé en anglais est disponible ici: https: // subject.med.wanfangdata.com.cn/UpLoad/Files/202003/43f8625d4dc74e42bbcf24795de1c77c.pdf

  4. Bonjour,

    En quoi le site de la source [2] prouve que ce Pr est rémunéré par plusieurs laboratoire, ai-je lu trop vite ?

    Bonne journée

    Ce qu’on sait, c’est que le Pr Yazdanpanah a été rémunéré par les laboratoires Gilead et AbbVie… ainsi que par 7 autres compagnies pharmaceutiques, dont il a été au « board »[2].

  5. Bonjour , la quercétine étant un anti inflammatoire , faut-il la continuer si la maladie se déclare ?
    Merci

  6. Je n’ai pris aucun antibiotique depuis 30 ans, je me soigne par homéopathie, acupuncture ou phytothérapie et j’entretien ma santé par le yoga, mais je refuse l’idéologie et les amalgames. Le complotisme ne rend pas service aux médecines naturelles et alternatives, bien au contraire !

  7. J’ai 77 ans atteint de BPCO anévrisme de l’aorte, et j’ai été en contact plusieurs fois y compris ma compagne et pour l’instant je n’ai rien : traitement potion du père Zago pour mes allergies , gélules de propolis et vitamine C, pastille miel citron thym .
    J’attends la suite

  8. Pourquoi tout ce que vous écrivez sur cette page ne pourriez-vous pas la diffuser à la télévision où vous auriez une grande écoute et peut-être organiser un débat.M oi, je vous lis et ne sais quoi penser, qui croire? Quelles sont mes ressources pour ne pas être prise en otage par une équipe médicale qui croit en ce qu’elle fait si je contracte la maladie?

    1. Votre état d’esprit est comparable à une balance, remplir ce dernier largement plus un côté avec de la foi que l’autre côté pesant d’inquiétude et vous donnerez les directives essentiels et positif a vôtre être qui fais son job automatiquement avant même d’avoir la liberté de pensé, jusqu’au moment où un stresse survient et que l’on retire pilote auto…

      Même malade Ou même diagnostiqué irrécupérable ne pensez que positif pensé guérison et dite vous que c’est le destin si le pire devrait arrivé, cela vous permettra de vous concentré sur les essentiels. Et Voilà comment gagner en foi pour faire penché la balance du bon côté. Courage à toutes et à tous

  9. Bonjour Monsieur,
    Je réagis à votre lettre sur la partie du Dr Raoult. Personnellement, je ne sais pas si il a raison ou tord, mais une chose est sur c’est qu’en ayant lu son propre article sur ses résultats et sa présentation, je me suis interrogé car des trucs me chiffonaient.
    Dans mes recherches j’ai atteri sur plusieurs articles dont celui-là (http://curiologie.fr/2020/03/chloroquine/?fbclid=IwAR1PEk7Ss_T5eMpIbxkCKS3rL7ylW5MrcO1vD9yOBnB2oBR2-gWiXwJWIMY) qui a mis en exergue mes doutes, non pas sur le Dr lui-même mais sur les résultats avec ces biais scientifiques, biais qui ne peuvent être justifiés par l’urgence (2+2 font toujours 4 quelque soit l’urgence).
    Qu’en pensez-vous?
    Cordialement

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