Récit de ma rencontre avec Didier Raoult, dans son bureau de l’IHU de Marseille

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a quelques jours, j’ai eu le privilège d’interviewer pendant une heure entière le Pr Raoult.

Cela s’est passé dans son bureau, au 4ème étage de l’IHU de Marseille.

C’est Clémence, la rédactrice en chef de la revue Santé Libre, qui a obtenu cet entretien et m’a proposé de l’accompagner.

Il faut dire que je connais presque par cœur ce que dit le Pr Raoult, depuis le début de l’épidémie.

Sur beaucoup de sujets liés au Covid, il a été une lumière dans la nuit.

(Je précise que je ne suis pas du genre à avoir un esprit « fan club » et encore moins un cerveau de « groupie » : je conserve toujours mon esprit critique, y compris à l’égard des experts que j’admire le plus. J’ai donc, et c’est bien normal, un certain nombre de désaccords avec ce grand professeur, par exemple sur l’origine du coronavirus, ou encore sur la vaccination des enfants contre la grippe ou la varicelle).

Mais ces divergences ne comptent pour presque rien devant l’importance capitale des propos du Pr Raoult tout au long de la crise Covid.

C’est lui qui, dès le début, a compris l’utilité de l’hydroxychloroquine, donnée très tôt, pour soigner la Covid-19.

C’est lui qui a ajouté un antibiotique à son protocole, l’azithromycine, ce qui était une excellente idée quand on sait à quel point les co-infections bactériennes peuvent aggraver des infections virales (si ce sujet vous intéresse, le Dr Escarguel a réalisé une conférence exceptionnelle pour le Conseil Scientifique indépendant, à voir ici).

C’est lui qui est resté à l’écoute des remontées de terrain pour adapter son protocole, auquel il a ainsi très vite ajouté le zinc (pour tous), puis l’ivermectine (chez les patients qui ne pouvaient ou ne voulaient pas prendre l’hydroxychloroquine).

C’est lui qui a été le premier à souligner que le coronavirus était en train de muter, et qui a compris très tôt que les vagues successives de Covid n’étaient pas des « rebonds », mais bien de nouvelles épidémies causées par de nouveaux variants.

C’est lui qui a averti, dès le début, que le vaccin ne serait jamais une « baguette magique » contre cette épidémie – et de fait, il n’y a jamais eu autant de cas Covid qu’après la vaccination de masse.

C’est lui qui a dénoncé sans relâche le poids des conflits d’intérêts et la puissance de l’industrie pharmaceutique, qui conduisent notre « système de santé » à nier l’utilité des molécules anciennes et peu coûteuses, comme l’hydroxychloroquine.

C’est lui qui a rappelé qu’il était contraire aux principes fondamentaux de la médecine de laisser les patients Covid vulnérables sans soin médical, avec un simple Doliprane, alors que le suivi d’un médecin est vital, ne serait-ce que pour rassurer.

C’est lui qui a exprimé très tôt des doutes (confirmés par la suite) sur l’utilité des confinements, du port du masque généralisé et autres « restrictions » sans précédent dans l’histoire de la lutte contre les virus respiratoires.

C’est lui, aussi, qui a tiré la sonnette d’alarme sur un énorme défaut des vaccins anti-Covid : ils augmentent le risque d’infection dans les premières semaines après l’injection… ce qui est caché par les chiffres officiels qui mesurent leur efficacité 14 jours après !

Bref, pendant que les médecins de plateau télé soutenaient ou recommandaient des mesures inefficaces et délétères (confinements, masques partout et vaccination généralisée), le Pr Raoult était cette voix sage et décisive qui avait compris qu’il suffisait, dès le début :

  • De prendre soin des malades – et notamment mesurer leur taux d’oxygène dans le sang, pour éviter qu’ils n’arrivent à l’hôpital dans un état déjà trop dégradé ;
  • De les traiter avec de vieilles molécules efficaces et prometteuses : hydroxychloroquine, azithromycine, zinc, ivermectine – dont l’efficacité a été prouvée par la suite.

Voilà qui aurait suffi à gérer l’épidémie, en évitant de surcroît les dégâts des mesures radicales inspirées par l’affolement et la puissance des lobbys.

Et le Pr Raoult n’a pas fini de nous inspirer, pour l’avenir.

En cette fin de mois de mai 2022, pendant une heure d’interview, il avait encore beaucoup de choses passionnantes à partager avec nous.

Voici des extraits CHOCS de cette interview, pour vous !

Je voudrais partager avec vous certains moments clés de cette interview !

J’ai placé plusieurs extraits « chocs » sur cette page Internet.

Vous y trouverez ce moment fort où le Pr Raoult rend hommage au Pr Montagnier, à propos de sa dernière publication, qu’il juge « magnifique ».

Les virus, explique-t-il, ont tendance à perdre de la virulence avec le temps : ils deviennent plus contagieux, mais moins dangereux.

Le Pr Raoult juge ainsi cette conclusion du Pr Montagnier tout à fait « plausible » : si on n’avait rien fait (ni confinement ni vaccination), l’épidémie serait partie plus vite !

Et le Pr Raoult d’enfoncer le clou : il aurait probablement fallu « se contenter de soigner les personnes vulnérables ». En tout cas, « cela ne servait à rien de s’exciter pour vacciner des jeunes de 20 ans qui ne risquent rien », dit-il.

Pire, la vaccination de masse a peut-être aggravé l’épidémie en favorisant de nouveaux variants ! Comme le déclare le Pr Raoult, « Le vaccin se focalisant sur une petite partie du virus, il n’est pas sûr que cela n’ait pas joué un rôle de sélection de variants résistants ».

Autre extrait choc (à retrouver ici), sur « l’utilité des nouveaux médicaments » :

« Honnêtement, 90 ou 99 % des médicaments qui sont mis sur le marché depuis vingt ans ne servent strictement à rien ».

« Ce sont les États-Unis qui commercialisent le plus de molécules, et il est frappant de voir que leur espérance de vie n’arrête pas de diminuer. Actuellement, leur espérance de vie est plus basse que Cuba, et du même niveau que celle de l’Algérie, de la Chine, qui n’ont aucune de ces nouvelles molécules, car elles coûtent trop cher ».

Et puis, un peu plus tard dans l’interview, j’ai posé au professeur la « question qui fâche » sur les dégâts causés par les vaccins anti-Covid :

Est-il normal que ce soient les mêmes – les politiques qui achètent les vaccins, et les autorités de santé qui les approuvent – qui soient chargés d’évaluer après coup les effets indésirables de ces vaccins ? N’ont-ils pas intérêt à les dissimuler ?

Rendez-vous ici pour voir la réponse étonnante du Pr Raoult.

Lui qui s’est montré depuis le début très prudent sur la question des effets indésirables a tout de même lâché cette petite bombe :

« Je connais beaucoup de gens qui travaillent dans des EHPAD, ils me disent, le nombre d’AVC qu’on a vus chez les vaccinés… »

J’ajoute pour ma part que cela ne s’est pas vu que dans les EHPAD : les AVC causés par les vaccins anti-Covid sont une réalité dramatique, largement taboue.

Et au fait, le Pr Raoult fume-t-il des « pétards » ?

Et pour finir avec un peu plus de légèreté, le Pr Raoult nous a aussi parlé des promesses du cannabis thérapeutique.

« C’est un médicament assez étonnant : c’est à la fois un anxiolytique, un antalgique, un euphorisant, cela a des activités multiples, ce n’est pas addictif ».

Mais il nous a précisé, dans un éclat de rire :

« Je ne fume pas de pétards hein ! »

Rendez-vous ici pour regarder ces extraits inédits.

J’ai vraiment apprécié ce moment privilégié passé dans le bureau du Pr Raoult : on sent qu’il adore partager son savoir, sans compter son temps, en toute simplicité.

Vu son emploi du temps, j’aurais compris qu’il ne nous accorde qu’une demi-heure (nous n’avons pas l’audience du 20h de TF1…).

Mais même après une heure d’entretien, il n’a montré aucun signe d’impatience – c’est moi qui ai préféré éviter de le déranger plus longtemps.

Il a même parlé de choses qu’il n’avait jamais mentionnées dans ses vidéos, notamment sur la « religion du progrès technologique », ou encore sur « l’effondrement » de la médecine en Occident.

Il nous a aussi parlé du « monkeypox », et de la campagne de vaccination contre la variole au début des années 2000 aux États-Unis, qui a causé une « centaine de morts liées à des myocardites ».

C’est un homme passionnant. Un immense chercheur, un grand médecin, et un homme simple, accessible, qui aime transmettre son savoir.

Cher Pr Raoult, je vous remercie encore pour cette interview, et vous exprime notre gratitude infinie pour votre courage, votre indépendance et votre compétence.

Continuez à dire votre vérité, haut et fort. Nous en avons tous besoin.

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  1. Maintenant il serait normal qu’on lui fasse des excuses pour cette diffamation dont il a été l’objet.

  2. J’ai trouvé cette lettre très intéressante même si je ne connais pas vraiment la médecine tout ce qu’il dit il y a beaucoup de verite moi je crois en la chloroquine d’ailleurs je suis allé récemment au Sénégal il se soigne beaucoup comme ça et avec l’armésia ils n’ont pas plus de maladie que chez nous. Au contraire là-bas personne n’avait de masque ou quoi que ce soit et moi-même je n’ai rien eu pendant tout le temps que j’étais là-bas

  3. Concernant l’Ivermectine, les effets secondaires étaient horribles pour moi ! Vomissements, diarrhées, ouïe “bourdonnante”, impression de brouillard dans la tête. Les 2 derniers symptômes sont toujours présents ! Alors non, je ne cautionne pas le traitement de Raoul.

  4. les grands hommes ou femmes sont oubliés durant leur vie ont s en souvient une fois qu ils ne sont plus de ce monde

  5. Bonjour
    Excusez moi votre lettre est très intéressante, mais vous employez les mêmes arguments que le gouvernement :
    Si vous ne vous vaccinez pas , vous ne travaillez pas

    Si vous ne vous abonnez pas , vous ne pouvez pas accéder à l’interwew du professeur RAOULT

    Cela me dérange

  6. Bonjour Monsieur,
    Je vous remercie pour votre offre à laquelle je suis en train de réfléchir…
    Si je m’adresse à vous, c’est parce que je ne comprends pas pourquoi vous publiez une photo de vous (?) aux côtés du Pr Raoult, le visage flouté. Je trouve que cela vous dessert. J’ai l’impression de voir l’illustration d’un conte qui pourrait s’intituler « le vaillant et le pleutre ». À mon sens, il eût mieux valu ne pas faire paraître cette photographie qui ne signifie rien, et qui contredit d’une certaine façon le courage dont vous faites preuve en informant les personnes qui vous lisent sur internet… Mais ce n’est que mon humble avis.
    Portez-vous bien,
    Anna Supéry

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