Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.

Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.

En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge (1) : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.

Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.

Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.

Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.

Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.

Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.

Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 

La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]

Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 

Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.

Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]

C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.

J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».

C’est de la désinformation pure et simple.

Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge (2) : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.

On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.

Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.

Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.

Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.

Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).

En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).

Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 

Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.

C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.

Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.

C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.

C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.

De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.

Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.

Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

A propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge (3) : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.

Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.

C’est faux.

Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.

Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.

Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.

Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.

Alors que cela ne sert à rien.

Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.

Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.

Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.

Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).

L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 

Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.

C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.

Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.

Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge (4) : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.

D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.

Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale

Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 

Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.

Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 

La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 

Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.

Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 

Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?

Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.

Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 

Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 

Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !

Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !

Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.

Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 

Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.

Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.

Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

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  1. Merci pour votre lettre cher Xavier, toujours aussi pertinente, mais je vous rejoint, car je doute de l’efficacité d’un vaccin qui a mis si peu de temps à être sur le marché, alors qu’il faut plusieurs années dans d’autres temps pour valider les vaccins. Mais si je me rappelle Mme BACHELOT n’était pas pharmacienne avant d’être ministre de la santé ? et puis je rajoute tous ces ministres ont-ils vraiment été vaccinés ou est-ce un simulacre? Les mensonges et la propagandes ambiante me fait douter de tout actuellement.Car tout ce tintouin autour du covid 19 manque de bon sens et d »objectivité.

  2. Je ne vois pas à quoi servent les numéros de renvoi puisqu’ils ne renvoient plus à rien !

  3. Merci pour toutes ces informations, toujours très intéressantes.
    Et GRAND MERCI pour le flacon de vitamine D que je viens de recevoir. ( je n’ai pas d’autre adresse mail pour remercier !
    Bonne continuation

  4. Les tests PCR sont totalement bidons. Il ne font que détecter un matériel génétique quelconque. Aucune spécificité. Ils sont par contre très utiles pour fabriquer des faux positifs, des cas, et continuer la manipulation par la peur, prétexte au fascisme actuel et justification des faux vaccins génocidaires. Ils servent également à introduire des morgellons, des nanoparticules, dans votre cerveau, dont personne ne connaît encore les conséquences.

  5. Bonjour, merci pour ces renseignements. Pourriez-vous nous dire comment c’est en Israel, le pays où il y a eu le plus de vaccinations, les vaccins semblent avoir fait effet? ou une partie est cachée?

  6. Le site mercola.com pointait il y a peu les manœuvres de l’OMS et le changement de normes concernant la définition de « l’immunité collective ». Vous allez voir les grandes manœuvres – et on nous accuse de complotisme après cela !!!

    1 – En juin 2020, la définition de l’OMS de l’immunité collective, publiée sur l’une de leurs pages de questions-réponses sur le COVID-19, était conforme au concept largement accepté qui est la norme pour les maladies infectieuses depuis des décennies. Voici ce qu’il disait à l’origine :
    « L’immunité collective est la protection indirecte contre une maladie infectieuse qui survient lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par l’immunité développée par une infection antérieure. »

    2 – La définition mise à jour de l’immunité collective, parue en octobre 2020, a été pendant un temps :
    « « L’immunité collective», également appelée « immunité de la population », est un concept utilisé pour la vaccination, dans lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint. L’immunité collective est obtenue en protégeant les personnes contre un virus, et non en les exposant à celui-ci.
    Les vaccins entraînent notre système immunitaire à créer des protéines qui combattent la maladie, appelées «anticorps», tout comme cela se produirait lorsque nous sommes exposés à une maladie mais – surtout – les vaccins fonctionnent sans nous rendre malades.
    Les personnes vaccinées sont protégées contre la maladie en question et sa transmission, brisant toute chaîne de transmission. Grâce à l’immunité collective, la grande majorité d’une population est vaccinée, ce qui réduit la quantité globale de virus capable de se propager dans l’ensemble de la population. »

    3 – Après une réaction publique – et sans doute embarrassante -, l’OMS a à nouveau ré-visé sa définition le 31 décembre 2020, pour inclure à nouveau la mention d’infection naturelle, tout en mettant toujours l’accent sur l’immunité acquise par le vaccin. Il lit maintenant :
    « L ‘« immunité collective », également connue sous le nom d’« immunité de la population », est la protection indirecte contre une maladie infectieuse qui survient lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par l’immunité développée par une infection antérieure.
    L’OMS soutient la réalisation d’une «immunité collective» par la vaccination, et non en permettant à une maladie de se propager à n’importe quel segment de la population, car cela entraînerait des cas et des décès inutiles.
    L’immunité collective contre le COVID-19 devrait être obtenue en protégeant les personnes par la vaccination, et non en les exposant à l’agent pathogène qui cause la maladie. »
    WHO, Coronavirus disease (COVID-19): Herd immunity, lockdowns and COVID-19, December 31, 2020

    Et voilà le bidouillage pour passer l’écuelle aux labos…
    Et il faudrait continuer à faire confiance à ces australopithèques ?
    Merci pour votre travail et bravo pour votre courage.
    Persévérez !!!

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