Nos décideurs politiques sont-ils impliqués dans les dérives vaccinalistes

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Sur les vaccins, les responsables politiques se contentent-ils de suivre l’avis des « experts » (souvent liés à l’industrie pharmaceutique) ?

Ou bien sont-ils, eux aussi, des acteurs à part entière des politiques vaccinales ?

Ce qui s’est passé en 2017 sur les vaccins infantiles nous donne un début de réponse.

Juste après l’élection d’Emmanuel Macron, le gouvernement a décidé d’imposer aux nourrissons 8 vaccins obligatoires supplémentaires (en plus du DT Polio).

C’était une décision « politique » : elle a été annoncée en grande pompe par le Premier ministre Édouard Philippe, dans son discours de politique générale, normalement consacré aux grandes orientations pour le pays.

Cette obligation vaccinale était-elle demandée par des experts unanimes ?

Pas tout à fait.

Le gouvernement précédent avait organisé en 2016 une « concertation citoyenne », qui avait notamment réuni un « jury de professionnels de santé » comprenant des médecins généralistes, des pédiatres et des infirmiers.

Or, ce jury de professionnels n’avait pas demandé de rendre obligatoires 8 vaccins supplémentaires. Il recommandait au contraire la liberté et la pédagogie[1] :

« Sortir de l’obligation vaccinale permettrait une plus grande responsabilisation des parents, des citoyens, mais aussi des adolescents et des jeunes adultes. Comprendre pourquoi tel ou tel vaccin est indispensable est différent que d’imposer l’obligation de certains vaccins », avaient-ils conclu.

Mais ces sages paroles n’ont pas été entendues, au contraire.

Malgré l’avis des jurys citoyens et professionnels, le Pr Alain Fischer, président de cette « concertation citoyenne », a conclu dans son rapport qu’il était nécessaire d’étendre l’obligation vaccinale.

Et les responsables politiques se sont appuyés sur son rapport pour faire voter les 11 vaccins obligatoires.

Mais qui a nommé ce « grand expert », Alain Fischer, si ce n’est le gouvernement ? (à l’époque, la ministre Marisol Touraine).

Donc le pouvoir politique a bien un pouvoir d’influence énorme : celui de nommer les experts clés, ceux qui pèsent le plus sur la décision finale.

Ce n’est pas un hasard si, fin 2020, c’est le même Pr Alain Fischer qui sera nommé par le gouvernement d’Emmanuel Macron le « Monsieur Vaccin anti-Covid ».

Et bien sûr, ce Pr Fischer soutiendra, tout au long de l’année 2021, toutes les mesures d’incitation et d’obligation, comme le pass sanitaire puis vaccinal.

Sans doute, ce Pr Fischer présente-t-il l’avantage de ne pas présenter de conflit d’intérêts évident avec Big Pharma (parmi ses liens d’intérêts officiels, on ne trouve que des financements de la Fondation Rotschild).

Mais pour mesurer son esprit critique vis-à-vis du dieu Vaccin, il suffit de lire les propos qu’il a tenus tout au long de la crise Covid, avec notamment ces deux « perles » :

  • « Les vaccins ARN sont une fantastique avancée scientifique grâce à laquelle on va sortir de la pandémie. »[2] (6 juin 2021) ;
  • « Ouvrir la vaccination aux adolescents est un impératif arithmétique : pour parvenir à l’immunité de groupe, il faut vacciner 90 % des 12 à 100 ans »[3] (13 juin 2021). Or, il était évident depuis le début que l’immunité de groupe vaccinale était impossible, sachant que les coronavirus sont connus pour muter énormément.

Tout ceci pose la question : comment les responsables politiques font-ils pour choisir les « experts » qui pèsent le plus sur les politiques vaccinales ?

Et pourquoi n’y a-t-il jamais, dans les comités de réflexion, d’experts indépendants et critiques sur la vaccination ?

Il y a dans ce domaine beaucoup de liens troubles ou secrets avec Big Pharma, qu’il n’est pas toujours aisé de déceler.

Mais l’itinéraire d’un homme politique, ancien médecin, est particulièrement éclairant :

Jérôme Cahuzac, Big Pharma et le milieu politique

Vous vous souvenez de Jérôme Cahuzac ?

C’est ce ministre du budget qui avait juré, « les yeux dans les yeux », qu’il n’avait pas de compte en Suisse… et qui a finalement été condamné pour fraude fiscale en 2018.

Mais savez-vous d’où venaient les centaines de milliers d’euros qu’il cachait en Suisse ?

De l’industrie pharmaceutique ! Et notamment des versements de Pfizer en 1993 !

C’est une affaire passionnante — et que l’on n’aurait jamais su s’il n’était pas devenu ministre vingt ans plus tard… et si Médiapart n’avait pas enquêté sur cet homme pendant plusieurs mois.

Alors, quels services Jérôme Cahuzac a-t-il pu bien rendre à Big Pharma, dans les années 1990, pour recevoir autant d’argent ?

Ce que l’on sait, c’est que Jérôme Cahuzac était au cabinet du ministre de la Santé Claude Évin de 1988 à 1991.

Il était alors le « conseiller technique pour le médicament ». Donc, il était l’un des hommes qui avaient le plus d’influence sur le secteur pharmaceutique en France, via la fixation des prix des médicaments et leur taux de remboursement.

Or, c’est peu après avoir quitté cette position au ministère de la Santé qu’il a ouvert son fameux compte caché en Suisse, à la banque UBS[4]. Était-ce un cadeau de remerciement de l’industrie pharmaceutique ? C’est vraisemblable.

Il faut savoir qu’en 1989, au moment où Jérôme Cahuzac était au Ministère, les laboratoires Pierre Fabre ont obtenu un avantage étonnant : l’un de leurs médicaments a bénéficié d’un prix de vente trois fois supérieur à ses concurrents… et il se trouve — un hasard, sans doute ! — que les mêmes laboratoires Fabre avaient promis d’implanter une usine dans la circonscription du ministre de la Santé de l’époque, Claude Évin (selon des révélations du Canard Enchaîné)[5] !

Dans le même genre d’idées, voici ce que rapporte le journal Le Parisien sur cette fameuse époque où Jérôme Cahuzac était « conseiller technique pour le médicament » :

« Même si les liens troubles entre ministres de la Santé et laboratoires ont toujours existé, certains industriels trouvent cette fois Cahuzac “trop gourmand” au regard de ce que demandaient les équipes précédentes ». (…) Jérôme Cahuzac a dit à certains d’un ton provocateur : “Vous payiez avec la droite ? Eh bien, avec nous, ce sera pareil”, témoigne un ancien du Snip, le syndicat de l’industrie pharma. »[6] (il faut rappeler qu’à l’époque, les entreprises avaient le droit de financer les partis politiques).

Et ce n’est pas tout. Savez-vous ce qu’a fait Jérôme Cahuzac, à peine sorti du ministère ?

En 1993, il crée une entreprise de lobbying en faveur de l’industrie pharmaceutique, qui réalise dès l’année suivante un chiffre d’affaires énorme, supérieur à 300 000 euros ![7].

Mais ça, c’est l’argent gagné « officiellement », légalement.

Car vingt ans plus tard, traduit en Justice pour fraude fiscale, Cahuzac a reconnu que son compte caché en Suisse avait reçu en 1993 plus d’un million de francs du laboratoire… Pfizer[8].

Pourquoi ? Jérôme Cahuzac en a donné une explication très précise, lors de son procès pour fraude fiscale en 2016 :

« En novembre 1992, jusqu’en mai 1993, des fonds émanant de l’industrie pharmaceutique seront versés pour financer les activités politiques de Michel Rocard »[9].

Il s’agissait, selon M. Cahuzac, de préparer le financement de la campagne des législatives en 1993, puis les présidentielles de 1995. Mais ce plan se serait arrêté net lorsque Michel Rocard a subi une déroute aux élections européennes de 1994. Et Jérôme Cahuzac aurait gardé l’argent.

« À l’époque, c’était banal. Tout le monde l’a fait », a déclaré Cahuzac lors de son procès. « L’industrie pharmaceutique a financé tous les partis politiques ».

Ainsi, que cette explication des versements de Pfizer sur son compte en Suisse soit vraie ou fausse, elle est très révélatrice de l’ampleur de la corruption systémique de Big Pharma.

Jérôme Cahuzac, malgré ses liens évidents avec Big Pharma, a d’ailleurs continué d’exercer une influence importante dans le monde politique : c’est lui qui a élaboré le programme électoral du candidat socialiste Lionel Jospin, en 1995, sur les questions de santé !

Par la suite, il s’est spécialisé sur les questions de finances publiques et de fiscalité (sic), mais n’a jamais oublié totalement sa spécialité médicale.

Et son parcours, comme par hasard, nous ramène à notre sujet des vaccins.

Car en 2009, en tant que député, Jérôme Cahuzac interpelle la ministre de la Santé au sujet du vaccin rotavirus, contre la gastro infantile.

Ce vaccin avait fait l’objet d’un avis défavorable des autorités sanitaires françaises quelques années plus tôt. Mais Jérôme Cahuzac, lui, estime que le vaccin est « disponible, efficace et sûr » et explique à la ministre qu’il est grand temps de le recommander à tous les nourrissons.

Un laboratoire pharmaceutique lui aurait-il soufflé cette « question au gouvernement » ?

L’idée, en tout cas, a fait son chemin. En 2013, quelques mois après l’entrée de Cahuzac au gouvernement (en tant que ministre du Budget), le Haut Conseil à la santé publique recommande le vaccin contre le rotavirus à tous les nourrissons.

C’est peut-être un hasard du calendrier. Mais on voit bien, à travers l’exemple de Jérôme Cahuzac, à quel point l’industrie pharmaceutique dispose de « relais influents » dans les milieux politiques.

Et comme souvent, les conséquences de cette influence sont délétères pour la santé publique, avec la mort de plusieurs nourrissons suite à cette recommandation officielle.

2015 : le vaccin rotavirus recommandé par Cahuzac cause des morts de bébés

C’est la très officielle Agence Nationale du Médicament (ANSM) qui l’a reconnu dans un rapport publié en février 2015[10].

Après avoir analysé tous les « accidents » survenus à la suite des vaccins Rotateq et Rotarix contre le rotavirus, elle conclut :

  • Pour le Rotarix: 161 évènements « graves », dont 35 cas d’invaginations intestinales aiguës, trois d’entre elles étant particulièrement graves : « 2 hospitalisations en réanimation et 1 décès » ;
  • Pour le Rotateq: 40 évènements graves ont été rapportés, avec 12 cas d’invaginations intestinales aiguës, « dont un ayant évolué vers le décès ».

Devant cet aveu « officiel », les titres de presse furent sans ambiguïté : « Des vaccins contre la gastro-entérite ont bien causé la mort de deux bébés » (le Figaro, avec AFP, 31 mars 2015).

Dans la foulée, le Haut Conseil à la Santé publique a « suspendu sa recommandation »[11] : ce vaccin n’était donc plus proposé aux nourrissons.

Mais le bon sens médical aurait voulu qu’il ne soit jamais recommandé, pour une raison simple : la gastro-entérite en elle-même ne tue jamais les nourrissons !

C’est la déshydratation causée par la gastro qui peut causer des complications graves. Et pour éviter ce risque de déshydratation, il existe une solution très simple et peu coûteuse : il s’agit de « solutés de réhydratation orale » (SRO), vendues 6,2 euros en pharmacie, et qu’il suffirait de prescrire à tous les parents sortant de la maternité, en plus de la vitamine D.

Mais cette solution n’est « pas assez chère » pour GSK et Merck, qui facturent leurs vaccins Rotarix et Rotateq à hauteur de 131 et 150 euros pièce.

Et c’est probablement grâce à leurs « experts » ayant des liens d’intérêts et à leurs relais d’influence chez les responsables politiques (comme Cahuzac) que ces deux géants de la pharma ont fini par réussir à le faire recommander en France, avec deux bébés morts à la clé.

Le plus choquant, c’est que ces morts étaient parfaitement prévisibles pour toute personne qui avait examiné honnêtement les résultats des essais cliniques sur ces vaccins !

Car dans tous les essais cliniques de grande taille, on avait trouvé un peuplus de morts de nourrissons dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo (non-vacciné) !

Cela peut paraître étonnant, mais c’est bien le cas.

Pour le Rotarix de GSK, un essai clinique géant mené sur 63 000 nourrissons (dont la moitié a reçu le placebo), trouve 56 morts dans le groupe vacciné, contre 43 dans le groupe placebo.

Les auteurs de l’étude, tous en liens d’intérêts avec le laboratoire GSK, ont écarté ces chiffres inquiétants d’un revers de main en déclarant que la différence n’est pas « significative statistiquement » … alors que le risque possible est énorme, avec 13 morts sur 30 000 potentiellement liées au vaccin, soit potentiellement 1 mort pour 2 300 bébés vaccinés !

Même la FDA, dans son rapport sur ce vaccin, s’est étonnée que les nourrissons du groupe vacciné avec le Rotarix décèdent davantage de pneumonie que les non-vaccinés (et cette fois la différence était significative statistiquement)[12].

Mais comme personne n’a pu prouver de lien biologique direct entre ce vaccin et des pneumonies, cette agence sanitaire a laissé couler (alors qu’il n’est pas difficile de comprendre qu’un vaccin oral affectant le microbiote intestinal peut interférer avec le système immunitaire).

S’agissant de l’autre vaccin, le Rotateq de Merck, les chiffres n’étaient pas beaucoup plus rassurants.

Là encore, un grand essai clinique réalisé sur 68 000 nourrissons constate un peu plus de décès chez les vaccinés que les non-vaccinés (24 morts contre 20)[13].

Comme l’explique noir sur blanc un rapport de la Fondation Cochrane, cela correspond à un risque possible de 13 morts supplémentaires pour 100 000 nourrissons (avec un intervalle statistique très large, allant de 17 morts de moins à 68 morts de plus)[14].

Certes, ce ne sont pas des preuves scientifiques définitives que ces vaccins tuent. Il aurait fallu un essai clinique réalisé sur 500 000 bébés pour en avoir le cœur net.

Mais le doute ne doit-il pas profiter aux bébés en bonne santé ?

Sachant que la gastro ne tue aucun nourrisson en elle-même, peut-on demander à des parents de prendre le risque que leur nourrisson puisse mourir des conséquences de ce vaccin ?

Pour moi, il est évident que c’est « non ».

Mais nos « experts » vaccinaux ne raisonnent pas comme cela, allez savoir pourquoi.

Et depuis quelques années, ils reviennent à la charge sur ces vaccins.

En 2020, l’Académie de Médecine a demandé qu’on les recommande à nouveau aux nourrissons, au motif qu’ils permettraient d’éviter un grand nombre d’hospitalisations infantiles (pour gastro)[15].

En 2021, la HAS a été saisie par le laboratoire GSK pour revoir ses recommandations officielles. Un avis est attendu dans le courant de l’année 2022, et je vous fiche mon billet qu’il sera positif, hélas[16].

Cette fois, les « politiques » n’y seront peut-être pour rien — ce sont les experts et les autorités sanitaires qui semblent mener le bal.

Et c’est souvent le cas, dans les affaires vaccinales : les experts en situation de conflit d’intérêts restent la « clé de voûte » du système de corruption systémique organisé par Big Pharma, car les responsables politiques s’en remettent toujours, in fine, à des experts, au moins pour avaliser et légitimer leurs décisions.

Mais cela ne veut pas dire que les politiques ne jouent pas un rôle actif.

Big Pharma et les politiques : que se passe-t-il dans les coulisses ?

Il faut dire que l’industrie pharmaceutique a des arguments auxquels les responsables politiques sont très sensibles.

Il y a d’abord le chantage à l’emploi : des fleurons comme Sanofi peuvent menacer de délocaliser des usines entières s’ils n’obtiennent pas satisfaction.

C’est ce qu’expliquait benoîtement Jérôme Cahuzac, dans un excellent article sur le « poids des industries pharmaceutiques », publié en 1999 par la revue Pouvoirs.

Il y explique tranquillement que l’industrie exige de l’État des prix plus élevés pour ses médicaments, en échange de l’engagement de les produire en France.

« Dans cette relation complexe avec l’État, l’industrie pharmaceutique est passée maîtresse dans l’art de souffler le froid et le chaud. Aux menaces collectives de délocalisation industrielle succèdent les promesses individuelles d’investissement », écrit Cahuzac, qui pose la question : « La Sécurité sociale existe-t-elle pour faire de l’aménagement du territoire ? ».

Outre le chantage à l’emploi, il faut bien sûr mentionner le lobbying « classique » de Big Pharma : il est plus facile de faire valoir son point de vue (même biaisé) quand on a les moyens de « travailler au corps » les responsables politiques, à coup de rencontres, d’invitations dans des cadres agréables, de notes persuasives et de propositions d’amendements tout rédigés.

Évidemment, les experts indépendants n’ont pas les mêmes moyens d’influence auprès des responsables politiques.

Et l’influence la plus forte s’exerce toujours au plus haut niveau, par les rencontres directes avec les ministres et chefs d’État.

C’est ainsi que Mediapart a révélé l’existence d’un dîner à l’Élysée, le 8 juillet 2019, entre le président de la République Emmanuel Macron, la ministre Agnès Buzyn et le gratin de l’industrie pharma[17].

Ce ne sera ni la première ni la dernière rencontre à huis clos entre Big Pharma et les plus hauts décideurs. Et Dieu seul sait ce qu’il s’y passe, sachant que ces réunions ne donnent pas lieu à des comptes-rendus officiels.

Mais il est manifeste que l’influence directe des géants pharmaceutiques sur les politiques est majeure.

Et le plus beau, pour Big Pharma, c’est qu’une fois que les politiques ont pris certaines décisions, il n’y a plus aucun besoin de lobbying ou d’influence directe.

Car les responsables politiques ont naturellement tendance à vouloir masquer les conséquences négatives de leurs décisions !

Prenez l’obligation vaccinale de 2017. Dans les années qui ont suivi, croyez-vous que cette loi a pu être évaluée correctement par le gouvernement qui l’a initiée et la majorité parlementaire qui l’a votée ?

Croyez-vous qu’ils vont s’efforcer de détecter les signaux d’effets indésirables graves de ces vaccins (ou de leur inefficacité) ?

Non, bien sûr ! Et c’est encore plus évident avec les vaccins anti-Covid.

Croyez-vous que les responsables politiques qui ont initié ou approuvé les pass sanitaires et vaccinaux (y compris pour des adolescents !) seront les premiers à promouvoir des enquêtes transparentes sur les drames sanitaires causés par ces vaccins ?

Ne pensez-vous pas, au contraire, qu’ils vont peser de tout leur poids pour que l’ampleur du désastre sanitaire ne soit jamais connue du grand public ?

De même, croyez-vous vraiment qu’Olivier Véran, le ministre qui a interdit aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine en pleine épidémie, s’est abstenu d’influer sur l’évaluation de ce médicament, après coup ?

Pensez-vous qu’il n’est pour rien dans la décision étrange de l’Agence du médicament d’arrêter brutalement les essais cliniques en France sur l’hydroxychloroquine, alors que les patients enrôlés avaient une mortalité réduite de de 30 à 50 % par rapport au placebo[18] ?

Ce n’est pas seulement la carrière des hommes politiques qui est en jeu, mais leur destin judiciaire.

Voilà pourquoi les décideurs politiques ne reculeront certainement devant rien pour couvrir leurs traces, et nier les dégâts qu’ils ont causés, en particulier aux enfants et adolescents vaccinés inutilement contre le Covid.

Pour cela, ils n’auront pas besoin d’être aiguillonnés par Big Pharma, car c’est leur réputation et leur survie politique qui est en jeu. 

Sources

[1] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/164000753.pdf

[2] https://www.20minutes.fr/sante/3053503-20210606-coronavirus-vaccination-devient-norme-explique-alain-fischer-interroge-lecteurs

[3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/06/13/vacciner-les-adolescents-est-un-imperatif-arithmetique-pour-le-pr-alain-fischer_6083919_3244.html

[4] https://reporterre.net/Cahuzac-sa-fortune-vient-elle-des

[5] https://www.lefigaro.fr/politique/2013/04/03/01002-20130403ARTFIG00600-cahuzac-a-entretenu-d-etroites-relations-avec-les-laboratoires-pharmaceutiques.php

[6] https://www.leparisien.fr/politique/le-jour-ou-les-laboratoires-se-sont-plaints-a-matignon-10-04-2013-2713521.php

[7] https://www.challenges.fr/revue-de-presse/les-dessous-des-relations-de-cahuzac-avec-l-industrie-pharmaceutique_7454

[8] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/mais-que-vient-faire-michel-rocard-dans-l-affaire-cahuzac_1827621.html

[9] https://www.lepoint.fr/politique/a-son-proces-en-appel-cahuzac-maintient-la-these-du-financement-politique-13-02-2018-2194621_20.php

[10]Réunion du Comité technique de Pharmacovigilance, T. Vial et al., Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, 2014

[11]Infections à rotavirus : suspension des recommandations de vaccination des nourrissons, Haut Conseil de la Santé Publique, 2015

[12] Summary Basis for Regulatory Action – Rotarix, L. Henchal, US Food & Drug administration, 2007

[13] Ce même essai a trouvé aussi plus de dermatites chez les vaccinés que les non-vaccinés, ce qui montre qu’il peut avoir une influence néfaste perturbatrice du système immunitaire, via le microbiote intestinal. https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa052664

[14] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8597890/

[15]https://www.egora.fr/actus-medicales/infectiologie/60671-covid-l-academie-en-faveur-de-la-vaccination-contre-le-rotavirus

[16] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-02/note_de_cadrage_recommandation_vaccinale_contre_les_infections_a_rotavirus_revision_de_la_strategie_vaccinale_-_place_du_rot.pdf

[17] https://blogs.mediapart.fr/edition/transparence-dans-les-politiques-du-medicament/article/050719/7-questions-sur-le-diner-entre-macron-et-lindustrie-p

[18] https://www.xavier-bazin.fr/ma-bombe-sur-letude-discovery-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-voici-ma-reponse/

58 Commentaires

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58 réponses

  1. Merci pour cet article. C’est très bien expliqué et très clair. Ça met en lumière tout ce que l’on entend autour de nous. Alors merci

  2. Merci vivement les différentes informations que vous nous transmettez, elles sont catastrophiques et scandaleuse mais il est préférable tout de même de les connaître.
    Bien cordialement
    Message dicté

  3. Bonjour,
    Quand vous faîtes allusion à Marisolle Touraine vous touchez l’origine de cette horreur. A l’époque, elle était Ministre de la Santé sous les ordres de Laurent Fabius, lui même président de la COP 21 (il n’y a pas de hasard).
    J’avais vu à l’époque un document gouvernemental disant à peu près ceci  » La médecine Française de pointe doit être mieux exploitée afin de faire rentrer des devises. »…c’est à dire pour l’élite étrangère.
    On peut l’interpréter comme on veut, suivant ce que l’on sait de la suite.
    Je n’ai jamais pu retrouver ce document officiel.
    Amicalement

  4. Merci pour votre franc parler et vos informations précieuses que la liberté d expression soit toujours avec vous, votre livre sur le Covid était déjà très intéressant … merci de nous garder la tête froide et l’esprit critique
    Belle journée

  5. Mais pourquoi personne ne peut rien faire??? Depuis la pandémie beaucoup de médecins s’insurgent et rien ne change. Les politiques sont pour moi tous des menteurs et ne pensent qu’a leur place bien protégée et à leur compte bancaire. Nous sommes des pions qu’ils manipulent. Je ne cède pas encore mais bientôt leur plan de nous éliminer sera mis à e exécution. Nous aurons nos yeux pour pleurer. Je plains mes petits enfants moi ce n’est pas grave…..

  6. votre lettre est passionnante et je vous rejoint sur tout les points qu est ce l on peut faire pour les mettre tous en PRISON

  7. Merci pour ce beau travail d’investigation. Tout ce que l’on peut espérer, c’est qu’il permette, avec d’autres, de convaincre certains juges plus intègres de faire le travail qui est attendu de leur part.

  8. Vous faites un travail de recherche formidable. Malheureusement, quand je parle de vos lettres à mon entourage, je me heurte presque toujours , au mieux à un scepticisme, au pire à me faire traiter « complotiste » pour toujours mettre en doute les recommandations officielles. Franchement, l’ouverture d’esprit de la grande majorité, je n’y crois pas ! Le pouvoir des médias prime sur le sens critique.
    Je souhaite néanmoins que vous ayez beaucoup de lecteurs, et, qu’à force, le doute s’insinue. Merci pour vos lettres !

  9. le loukoum fabius lui n était que responsable pas coupable mais la secte qui nous gouvernent depuis quarante ans est mafieuse
    michel audiard a dit les cons ça ose tout mais là ce ne sont pas des cons c’est des ordures

  10. Merci pour votre éclairage,puissions-nous tous ensemble faire revivre une belle exigence de vérité.

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