Malgré la flambée du virus, l’Inde reste la preuve que les traitements précoces sont efficaces !

Si vous écoutez les médias, l’Inde vit une « tragédie ».

Il y aurait là-bas un « record mondial » d’infections.

Ce serait le « nouvel épicentre de l’épidémie ».

Mais c’est de la propagande.

On veut continuer à nous mettre sous pression, à maintenir la psychose autour du virus. 

Cela sert les médias : plus les gens ont peur, plus ils regardent la télé !

Cela sert bien sûr Big Pharma, qui a des stocks de vaccins à écouler – plus on a peur, plus on va se vacciner, même si on a moins de 60 ans et aucun facteur de risque.

Et cela sert aussi à discréditer les « traitements précoces », car l’Inde était un des rares pays à utiliser l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. 

Alors, que se passe-t-il vraiment en Inde ?

Une flambée, OUI, mais à relativiser !

Il est vrai qu’il y a en ce moment une « flambée » du virus, probablement liée à un nouveau variant.

Et il est exact que certains hôpitaux du pays ont été en rupture d’oxygène médical, ce qui est tragique pour les malades.

Mais les images déchirantes ne doivent pas masquer la situation globale.

L’Inde est un continent à elle seule, avec plus d’1,3 milliard d’habitants, soit 20 fois plus qu’en France !

Il faut donc toujours rapporter les chiffres qu’on vous donne à la taille de la population !Regardez la courbe du nombre de morts par million d’habitants, en Inde et en France, depuis le début de l’épidémie :

Vous voyez qu’il y a eu proportionnellement beaucoup plus de morts de la Covid-19 en France qu’en Inde !

Au total, par rapport à l’Inde, la France a connu 10 fois plus de morts par habitant.

Dit autrement, si la France avait eu autant de morts par habitants que l’Inde, elle aurait eu seulement 10 000 morts, et non pas 100 000 morts.

En ce moment même, en pleine flambée indienne, vous voyez qu’il y a encore moins de morts en Inde qu’en France, proportionnellement à la population !

Bien sûr, il faut reconnaître que l’Inde ne fait pas autant de tests PCR qu’en France, ce qui fait qu’elle ne compte peut-être pas tous les morts de la Covid-19.

Il est vrai aussi que la population de l’Inde est plus jeune, donc moins vulnérable au virus.

Mais le nombre de personnes de plus de 60 ans est « seulement » deux fois plus élevé en France qu’en Inde. [1]

De plus, l’Inde a beaucoup moins de lits d’hôpitaux et de réanimation qu’en France ! 

Au total, l’Inde s’en est donc globalement bien mieux sortie que la France, jusqu’à présent.

Et si on regarde la flambée actuelle, elle est très différente selon les régions :

L’État indien qui traite à l’ivermectine s’en sort TRÈS BIEN, merci pour lui !

Il y a quelques semaines, j’ai loué le modèle « indien » et son utilisation des traitements précoces, notamment à base d’hydroxychloroquine et d’ivermectine.

La flambée récente serait-elle le signe que ces traitements ne marchent pas si bien que cela ?

NON ! Au contraire !

Il faut savoir que l’Inde est partagée en plusieurs États autonomes en matière de santé.

Or beaucoup d’États restent sous l’influence délétère de Big Pharma.

La preuve avec ce qui se passe en ce moment avec le remdésivir du laboratoire Gilead.

Je rappelle que le remdésivir est un médicament hors de prix, dont l’Organisation mondiale de la Santé elle-même a reconnu qu’il ne marchait pas contre la Covid-19.

Et bien aussi incroyable que cela puisse paraître, l’Inde a vécu récemment un emballement autour de ce médicament inefficace et toxique.

Il y a quelques jours, les autorités indiennes ont même annoncé l’importation de 450 000 doses de remdésivir ! [2]

C’est d’autant plus absurde que c’est un médicament qui s’injecte en intraveineuse à l’hôpital… alors que l’Inde souffre cruellement d’un manque de lits d’hôpitaux !

« Réussir à fourguer un médicament dont on ne veut plus et qui dans le meilleur des cas réduirait l’hospitalisation de 2 jours dans un pays où on ne peut pas hospitaliser, bravo », a commenté ironiquement le Dr Gérard Maudrux. [3]

Donc, vous voyez que l’État fédéral et certaines régions sont très influencés par Big Pharma.

Le « modèle indien » dont je parlais dans ma lettre est surtout incarné par l’État Uttar Pradesh, qui compte 200 millions d’habitants.

Depuis l’été dernier, cet État distribue à tous les cas positifs, dès les premiers symptômes, un « kit » de soins contenant notamment de l’ivermectine.

Or, si on regarde les chiffres en détail, on voit que cet État-là s’en sort beaucoup mieux que ses voisins ! [4]

En Uttar Pradesh, il n’y a pas de « tragédie », grâce aux soins précoces ! 

Il y a certes une petite reprise de l’épidémie, mais cet État subit beaucoup moins de morts et de cas que les régions voisines qui ne soignent pas ou peu !

Et devant ces excellents résultats, les autres régions pourraient bientôt changer de politique !

D’autant que le Ministère de la Santé indien vient tout juste de placer l’ivermectine dans ses recommandations ! [5]

Si les États et médecins indiens se mettent à suivre massivement cette recommandation, on peut être sûr que le nombre de morts et de cas va vite diminuer dans ce pays !

Je dis bien « on peut être sûr », car c’est ce qui a été observé PARTOUT où l’ivermectine a été massivement utilisée !

La preuve en quelques images :

REGARDEZ ce qui se passe quand on traite les malades tout de suite, avec l’ivermectine

Commençons par la Slovaquie et la République tchèque, les deux seuls pays de l’Union européenne à avoir recommandé l’ivermectine.

Depuis que l’ivermectine a été largement prescrite, la Slovaquie a connu une chute impressionnante du nombre de morts [6] :

Mêmes résultats spectaculaires en République tchèque, qui a prévu un retour à la vie normale cette semaine [7] :

Et on observe la même chose en Amérique latine, dans les rares pays ou régions qui utilisent l’ivermectine.

Au Panama, qui a recommandé l’ivermectine à la mi-janvier dernier, l’épidémie a chuté immédiatement :

Au Mexique aussi, où l’ivermectine a été adoptée au début de l’année, les résultats sont spectaculaires [8], que ce soit sur le nombre de morts (à gauche) ou d’hospitalisations (à droite) :

Si vous avez encore un doute, regardez ce qui s’est passé au Paraguay.

Là-bas, une seule région a massivement utilisé l’ivermectine.

C’est la région Alto Parana, en bleu dans le graphique ci-dessous [9] :

Vous voyez que cette région s’en est bien mieux sortie que les autres, à la fois en nombre de morts (à gauche) ou de cas (à droite) !

Et ces résultats exceptionnels s’ajoutent bien sûr aux plus de 20 essais cliniques randomisés qui ont prouvé, au-delà de tout doute raisonnable, l’extrême efficacité de l’ivermectine contre la Covid-19. [10]

Alors, pourquoi n’utilise-t-on pas l’ivermectine PARTOUT DANS LE MONDE ?

Parce que l’industrie pharmaceutique a pris le pouvoir sur nos systèmes de santé.

Il est temps d’ouvrir les yeux et d’ouvrir les yeux de nos proches.

Le vrai « problème » de l’ivermectine, c’est que ce médicament inoffensif et peu coûteux rend la vaccination généralisée inutile.

Si tous les États du monde se mettaient à utiliser massivement l’ivermectine, il n’y aurait plus besoin de vacciner massivement… et ce serait des dizaines de milliards d’euros de perdus pour Big Pharma !

Juridiquement, si l’ivermectine était reconnue comme traitement efficace, les États n’auraient même plus le droit de vacciner leur population !

Car les vaccins actuels sont des vaccins « expérimentaux », qui bénéficient d’une autorisation « conditionnelle », c’est-à-dire conditionnée à l’absence de traitement efficace !

Donc, si l’ivermectine était recommandée, l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché des vaccins devrait être retirée, et il faudrait du jour au lendemain arrêter les campagnes de vaccination.

Et nos autorités devraient alors reconnaître publiquement qu’il était inutile et imprudent de vacciner massivement les gens avec des technologies totalement nouvelles (ARN messager et adénovirus recombinés) !

Comme vous l’imaginez, aucun gouvernement ne voudra reconnaître une erreur aussi massive.

Voilà pourquoi l’ivermectine ne sera pas reconnue de sitôt pour ce qu’elle est : un traitement précoce extrêmement efficace, qui suffit à contrer l’épidémie et permettre le retour à une vie normale. 

Et voilà pourquoi je compte sur vous pour propager la vérité autour de vous.

Transmettez cette lettre à vos proches.

Et si vous ne l’avez pas encore fait, je vous invite à vous procurer mon nouveau livre sur Big Pharma et la Covid-19.

Il s’appelle BIG PHARMA DÉMASQUÉ – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Je ne touche pas un centime sur ce livre (droits d’auteurs reversés à la Fondation Hippocrate), et c’est pourquoi j’ose vous demander de vous le procurer dès que possible, pour vous ou pour l’un de vos proches.

Pour ceux qui n’ont pas de librairie indépendante à côté de chez eux, commandez-le sur Fnac ou Amazon dès maintenant et écrivez un commentaire sur le site après l’avoir reçu !

Je ne suis pas un fan de ces entreprises, mais si nous réussissons à placer le livre dans les meilleures ventes de leurs sites Internet, cela permettra de diffuser ces idées très largement ! 

Car il n’y a pas que l’ivermectine qui fonctionne ! Dans mon livre, il y a une partie entière du livre sur les solutions naturelles (vitamine D, zinc, quercétine…) que tout le monde devrait prendre en prévention des formes graves de la Covid-19. 

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  1. Merci de vos précieuses recommandations.
    Depuis le début de cette pseudo pandémie j’ai appris à me méfier des recommandations diffusées par les médias dominants, qui ne sont qu’à la botte de ce gouvernement de menteurs.
    Pour ma part, je ne me ferai jamais vacciner, et j’invite à toute personne qui projette de se faire injecter de se renseigner; il existe actuellement de nombreux sites sur le net qui partagent largement votre avis.
    Il est clair que la vaccination rapporte énormément d’argent aux industries pharmaceutiques, qui en contrepartie financent les campagnes électorales d’individus peu scrupuleux. Il faudrait aussi que les gens se renseignent sur le monument des nouvelles tables de la loi situé à Georgia Guidestone; cela permettra d’ouvrir l’esprit à bon nombre.

  2. En partageant sur Facebook la promotion de l’hyper médecine, j’ai été censuré pendant deux semaines à mon accès sur Facebook. Il m’était reproché d’être un danger public de mort pour notre territoire. Big Pharma a tous les pouvoirs sur la production de vaccins qui n’ont fait aucune preuve jusqu’à maintenant. C’est désolant.

  3. Merci pour toutes ces précisions . Pensons que nous avons un système immunitaire, que les plus fragiles laissent passer les microbes, virus….
    Pas besoin de pass ou de vaccin c’est juste un bon business, bien juteux qui se propage en faisant peur et en passant en boucle des infos délétères.

  4. Votre lettre est intéressante mais si on ne peut pas se procurer de l’ivermectine on n’est pas plus avancé.
    Depuis le début de la pandémie je prends vitamines C, D et zinc en prévention et je vais très bien .
    A 68 ans je ne sais pas si me faire vacciner ou non , les avis étant tellement partagés et contradictoires…..

  5. J’ai acheté votre livre… Je suis très contente de ce que vous avez publié, et je le recommande vivement… Il faut réagir défendons nous
    Merci pour votre travail et le fait que votre livre ne vous apporte pas de bénéfices personnels…
    Bien cordialement

  6. Bravo pour votre livre « big pharma démasqué »
    Et merci
    Comment bousculer la population coincée restant dans un déni affolant ?

  7. Vous devriez avoir honte de propager de telles informations !!! Certes l’Inde est l’inde Est beaucoup plus peuplée et le nombre de morts est à relativiser mais c’est mépriser l’immense majorité des indiens pauvres qui n’ont pas accès aux soins de santé que de propager de telles fakes . Le chiffre annoncé par les autorités indiennes est bien en deçà de la réalité mais les bûchers funéraires sont bien la . Merci de me désabonner

  8. Merci pour toutes ces infos. Il serait peut-être utile de rappeler comment l’ivermectine doit être prise dans le cadre du Covid. Cela diffère de l’usage en cas de parasitose.

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