Chantons en chœur, sur l’air du fameux « ne me quitte pas » de Jacques Brel :
Ne me pique pas
Il faut arrêter
Tout peut s’arrêter
Et puis Big Pharma
Corrompt les médias
Les médecins vendus
Le bon sens perdu
Devant la télé
Lobotomisés
(…)
Je commence avec un peu de légèreté (ne manquez pas les paroles complètes à la fin de cette lettre)…
…mais je suis sous le choc des annonces du Président Macron.
Je vais prendre le temps de réfléchir aux actions à mettre en place (dites-moi en commentaire ce que vous en pensez).
Mais ce matin, je veux répondre à M. Macron sur le plan des IDÉES.
Ce sera un peu technique, mais cela me paraît nécessaire.
Il y a tellement de propagande, contre-vérités et mensonges sur ces vaccins, qu’il est temps de faire une analyse bénéfice-risque détaillée.
Je vous donne immédiatement ma conclusion finale, et je vous explique en détail mon raisonnement après :
- De mon point de vue, vous n’avez JAMAIS intérêt à vous vacciner, quel que soit votre âge ou votre état de santé, si vous prenez de la vitamine D et que votre médecin est prêt à vous prescrire de l’ivermectine ou le protocole Raoult dès les premiers symptômes ;
- Il n’y a qu’une seule catégorie de personnes pour lesquelles le vaccin me semble avoir plus de bénéfices que de risques : les personnes vulnérables (avec comorbidités) de plus de 70 ans qui n’ont pas accès aux traitements préventifs et précoces ;
- Pour les autres personnes vulnérables, comme les personnes de 50 à 70 ans avec lourdes comorbidités ou les personnes de plus de 85 ans sans comorbidité, le bénéfice-risque n’est pas clair, y compris en l’absence de traitement précoce et préventif – il me paraît alors préférable de s’abstenir de se vacciner au nom du précepte hippocratique « d’abord ne pas nuire » ;
- Pour le reste de la population, le bénéfice-risque des vaccins me paraît négatif : même les personnes en bonne santé de 70 à 85 ans me paraissent prendre plus de risques à se vacciner qu’à ne pas le faire, y compris sans traitement préventif/précoce ; et c’est la même chose avec les moins de 50 ans souffrant de comorbidités ;
- Et bien sûr, cela veut dire que si vous avez moins de 50 ans, que vous êtes en bonne santé et qu’en plus vous avez accès aux traitements précoces/préventifs, se vacciner revient à prendre un risque considérable, pour un bénéfice quasiment nul.
Pour savoir si se vacciner comporte plus de risques que de ne pas le faire, il faut d’abord savoir quel risque vous prenez réellement si vous ne vaccinez pas…
…ce qui veut dire qu’il faut dire un mot des traitements alternatifs !
Rappel : une des épidémies les plus faciles à prévenir et à soigner
Je suis conscient que je nage totalement à « contre-courant », mais il paraît évident aujourd’hui que le Pr Raoult avait vu juste quand il disait que ce coronavirus pourrait être « l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».
En fait, ce n’est pas seulement la plus facile à soigner, c’est surtout la plus facile à prévenir :
- En prévention, je rappelle qu’une dizaine d’études randomisées ont montré qu’un simple spray nasal (à base de solution saline ou de substances antivirales) peut réduire considérablement le risque d’être infecté[1] (et a fortiori d’avoir une forme grave) pour une raison simple : le coronavirus se multiplie dans le nez et la gorge (nasopharynx) avant de faire des dégâts dans votre corps – donc si vous le stoppez à ce niveau, vous avez tout gagné ! Une des substances les mieux étudiées est la bétadine verte, en spray nasal + bain de bouche, et ce simple geste préventif pourrait suffire déjà à atténuer l’épidémie partout dans le monde[2] !
- Surtout, l’ivermectine a obtenu des résultats spectaculaires en prévention de la Covid-19 dans plusieurs études randomisées : environ 80 % de risques en moins d’être infecté, en moyenne[3]. Ainsi, quand on associe l’ivermectine à un spray nasal, l’efficacité semble totale : dans une étude majeure, cette efficacité était de 100 % chez des centaines de soignants pourtant en première ligne[4] (0 infection dans le groupe traité, contre 58 % d’infections dans le groupe témoin !). Il est manifeste qu’une simple association ivermectine/spray nasal pourrait suffire à écraser la courbe épidémique en peu de temps ;
- Et n’oublions pas, en prévention toujours, que de nombreuses substances naturelles ont prouvé leur intérêt pour réduire le risque d’infections et de formes graves : la vitamine D bien sûr, mais aussi la vitamine C, le zinc, le sélénium, la mélatonine, la N-acetyl-cystéine, la quercétine, la mélatonine etc. Les effets de chacune de ces substances 100 % naturelles et inoffensives sont peut-être moins spectaculaires que l’ivermectine ou les sprays nasaux, mais le cocktail de toutes ces substances est certainement TRÈS efficace, et si on avait conseillé à tout le monde de renforcer ses défenses immunitaires avec ces compléments alimentaires inoffensifs, l’épidémie aurait fait infiniment moins de dégâts.
Donc, en prévention, on dispose d’excellentes substances, sans risques, et pour la plupart naturelles, pour éviter les infections et en réduire la gravité.
Mais on a aussi tout ce qu’il faut pour soigner les malades !
- Même quand on n’a rien fait en prévention, il reste énormément de solutions extrêmement efficaces quand on est testé positif : c’est le cas en particulier de l’ivermectine, qui réduit drastiquement le risque d’hospitalisations et de décès (d’au moins 65 %[5]), ainsi que du protocole Raoult, capable de diviser la mortalité par 2 ou 3 quand il est appliqué précocement[6] ;
- Et il y a d’autres molécules efficaces, comme la fluvoxamine : cet antidépresseur a montré une capacité à réduire de 100 % le risque d’hospitalisation (oui, 100 %) dans une étude publiée dans un des journaux médicaux les plus prestigieux au monde[7] (et cela a été confirmé par une étude française montrant que les patients traités par ce type d’antidépresseurs avaient beaucoup moins d’infections et de formes graves que les autres[8]) ;
- Certes, tout le monde n’a pas la chance d’être soigné dès les premiers symptômes, mais il reste des substances très efficaces à l’arrivée à l’hôpital : toujours l’ivermectine et la fluvoxamine, bien sûr, mais figurez-vous qu’un autre médicament, le proxalutamide, a permis de réduire la mortalité des patients hospitalisés de 84 % dans une étude randomisée contre placebo menée sur plus de 600 patients[9] ! Par ailleurs, la simple vitamine D donnée sous une forme rapidement assimilable a également obtenu des résultats spectaculaires , avec des risques de passage en réanimation et de décès drastiquement réduits[10] ;
- Et même si vous avez le malheur d’arriver en soins intensifs/réanimation, il y a encore des substances encore trop peu utilisées qui augmentent fortement vos chances de survie : l’ivermectine toujours, la vitamine D[11], les injections de vitamine C[12] ainsi que de fortes doses de méthylprednisolone[13] (un corticostéroïde plus efficace que la dexamethasone).
(Si vous vous demandez encore pourquoi on ne généralise pas ces traitements à l’efficacité démontrée scientifiquement, c’est parce que Big Pharma a pris le contrôle des systèmes de santé occidentaux, comme je l’explique en détail dans mon livre).
Donc, si on utilisait tous ces traitements, il n’y aurait plus d’épidémie, peu de formes graves et quasiment pas de décès.
Il faudrait alors que le vaccin soit extrêmement efficace et sans le moindre risque pour qu’il puisse être avantageux de se vacciner !
Je précise cela car on a tendance à comparer le vaccin à l’absence de traitement et de prévention… ce qui le rend beaucoup plus avantageux qu’il ne l’est vraiment !
Et puis il y a un autre problème dans les analyses « bénéfice-risque » habituelles du vaccin.
On fait comme si toute la population non vaccinée risquait encore d’être infectée, ce qui augmente artificiellement l’intérêt du vaccin…
… alors qu’on ne sait pas du tout comment l’épidémie va évoluer !
4ème vague ? Pas sûr du tout : personne ne peut prédire votre risque à venir d’être infecté !
L’évolution habituelle d’un nouveau virus est d’être de plus en plus contagieux… et de moins en moins mortel.
Cela semble le cas du variant Delta, à la fois plus contagieux et peut-être dix fois moins mortel, selon les premiers chiffres venus de Grande-Bretagne[14].
Il est donc possible que le virus évolue vers une forme très peu grave, ce qui diminuerait l’intérêt des vaccins.
Dans ce cas, on aura peut-être une « 4ème vague », mais ce sera plutôt une vague de « rhumes », ce qui n’est pas très grave.
Mais de toute façon, la 4ème vague n’est pas certaine, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire.
Car il est possible qu’on ait déjà atteint un début d’immunité collective, qui rend très improbables des pics épidémiques graves.
Rappelons qu’au moins 25 % de la population française a déjà été infectée, selon les analyses pourtant pessimistes de l’Institut pasteur[15] (ce pourrait être plus de 40 % en réalité).
Toutes les études montrent que ces 25 à 40 % de la population ont désormais une immunité solide et durable[16][17], donc une probabilité très faible d’être réinfectés[18]… et quasiment aucun risque d’avoir une forme grave.
Vous me direz que 25 à 40 % de la population naturellement immunisée, cela ne suffit pas à éradiquer le virus, et c’est vrai.
Mais cela permet déjà de réduire fortement la vitesse de propagation du virus, de lisser le nombre d’hospitalisations dans le temps – et donc de protéger notre système de soins, ce qui, je le rappelle, était l’objectif initial principal des confinements et de la vaccination.
Et il faut ajouter à cela qu’une bonne proportion de la population est déjà protégée du coronavirus, sans avoir été infectée, grâce à une immunité croisée avec d’autres coronavirus.
Cette hypothèse avait été soulevée par le Pr Raoult dès le printemps dernier, mais elle vient d’être prouvée de façon certaine[19][20] : oui, de nombreuses personnes sont protégées du nouveau coronavirus grâce à des infections antérieures à d’autres coronavirus… ou même grâce à une infection légère au Sars-Cov-2 !
Cela a été démontré chez des soignants qui n’ont jamais été testés positifs au coronavirus et qui n’avaient pas d’anticorps… mais qui avaient développé une immunité solide grâce à des lymphocytes T spécifiquement actifs contre ce virus[21].
Cela veut bien dire qu’il y a toute une frange de la population qui est immunisée sans avoir été testée positif ni avoir développé d’anticorps !
On ne sait pas encore s’il s’agit de 5, 10 ou 20 % de la population, mais c’est un bouclier supplémentaire contre le risque de nouvelle vague épidémique grave !
Tout cela pour vous dire qu’on ne peut absolument pas prédire la suite de l’épidémie.
Cette incertitude sur la réalité d’une « 4ème vague » rend l’intérêt du vaccin très incertain, car :
- rien ne dit que vous serez infecté à l’avenir ;
- et rien ne dit que le virus ne va pas muter vers une forme moins grave.
Et dans ces deux cas de figure, le bénéfice du vaccin serait quasi-nul.
Et il y a un autre problème avec ces vaccins, dont on ne parle pas assez.
Ces vaccins ont proportionnellement le moins d’efficacité chez les plus vulnérables (les plus âgés), et le plus d’effets indésirables chez les personnes les moins à risque du coronavirus (les plus jeunes).
Mais je m’aperçois que j’ai déjà été long, donc je vous expliquerai tout ça dans ma prochaine lettre.
Restez connecté, je vous révélerai mon calcul « bénéfice-risque » du vaccin, et vous verrez que ce que vous entendez à la télé est de la pure propagande, sans fondement scientifique.
PS : comme promis, la version complète des paroles sur l’air de « ne me quitte pas » – ce n’est pas de moi, je l’ai trouvé sur Internet, mais c’est brillant !
Ne me pique pas
Il faut arrêter
Tout peut s’arrêter
Et puis Big Pharma
Corrompt les médias
Les médecins vendus
Le bon sens perdu
Devant la télé
Lobotomisés
C’est n’importe quoi
C’que disent ces gens là
Alors on fait quoi ?
Moi je t’offrirai
De l’Ivermectine
Venue d’un pays
Où il y a le droit
Ils creuseront nos tombes
Pour qu’il y ait moins de monde
Pour prendre nos corps
Et faire de l’or
Ils créent un système
Où l’argent est roi
Où l’argent est loi
Où nous serons en peine
(Ne me pique pas… Ne me pique pas *2)
Ne te pique pas
Ils t’imposeront
Des choses insensées
Que tu appliqueras
Même à tes enfants
Ces cœurs innocents
Sans t’imaginer
Les mettre en danger
Je te raconterai
Un autre monde
Triste de n’avoir pas
Pu te rencontrer
(Ne te pique pas…ne te pique pas *2)
On est souverain
Libres de penser
Maîtres de nos corps
Pas envie de jouer
Avec un vaccin
Qui va nous brûler
Qu’en est-il alors
De nos destinées
Et quand vient le choix
De jouer ta vie
Mais dis-moi pourquoi
Tout ça tu l’oublies ?
(Ne nous quitte pas… Ne nous quitte pas *2)
1 018 Responses
Bonjour Mr Bazin, merci pour votre lettre mais je fais partie de ces catégories de professionnels pour qui le vaccin devient obligatoire et je n’ai pas les moyens de m’arrêter de travailler. Quel est le vaccin à privilégier et comment atténuer les effets indésirables. Cordialement. Florence Gaiatto
Non au vaccin obligatoire…Chacun à le droit de choisir …
C’est peut-être le moment de tester l’ivermectine en Tunisie qui manque de vaccin et on verra les résultats .
Bonjour, je lis régulièrement toutes vos publications (depuis le début) mais j’interviens rarement !
Là, j’ai aussi lu tous les commentaires et j’ai une question : »est-ce que vous ne laissez passer que les commentaires positifs ? comme le font ces gants du Net quand une appréciation négative est donnée hop ! il ne publient pas ! je me doute que ce n’est pas e cas mais…
J’ai lu que quelqu’un avait été ennuyé par des autorités pour des divergences, j’ espère qu’on ne va pas m’en faire autant après ce petit mot ? Tant pis !
J’ai 79 ans et je n’ai jamais été vaccinée, parents antivaccins, des « faux » doivent bien exister quelque part mais bon, c’est dépassé, je n’ai jamais eu un rhume ou la grippe ou quoi que ce soit, je passe toujours au travers et je asse pour un alien très souvent, en général je me tais pour ne contrarier personne, mais là je suis déçue de ces méthodes d’un autre âge pour nous vacciner de force, au nom de quoi ? en vertu de quoi ? C’est de l’abus de pouvoir, notre corps nous appartient et c’est à nous de l’entretenir, de le surveiller , de l’écouter….
Aujourd’hui, je suis très peinée parce que ma meilleure amie a voulu se faire vacciner et avec une seule et première injection elle a eu un déclenchement du syndrome de Guillain Barré, juste parce qu’elle voulait revenir dans son club pour continuer de dispenser ses cours d’anglais, je suis complètement dévastée par cette nouvelle et je maudis son entêtement à l’appel des sirènes du pouvoir !
Me vacciner ? Pour quelles raisons ? Si je suis contaminée je mettrai cela sur le dos du destin puisque pour moi notre vie est sur un rail et déjà tout est tracé et… une fois de plus on me prendra pour une illuminée ! tant pis !
Je vous remercie pour vos publications
Je remercie tous les commentateurs qui ont souvent des raisonnements très justes, encore plus porteurs aujourd’hui 14 juillet journée qui nous a donné des libertés qu’on a re-perdu petit à petit… Dommage
Bonsoir,
Comme beaucoup, je suis dépité par les annonces de Macron.
La cohérence des décisions gouvernementales et des informations médicales ne me semblent pas cohérentes.
On nous donne que des chiffres seulement favorables à la vaccination mais pas sur les effets secondaires des vaccins (normal, car c’est un test à l’échelle mondiale?)
Mon souci est de savoir comment vivre cette contrainte de restriction en se privant de liens sociaux, de pouvoir aller dans certains secteurs familiaux, religieux, alimentaires, Santé « Hôpitaux notamment », vestimentaires, Bricolage…
Quels conseils pouvez vous nous conseiller pour vivre pratiquement cette période si notre souhait est de ne pas se faire vacciner.
Merci d’avance Docteur Xavier BAZIN
M. Michel MARTEAUD.
Bonjour Xavier,
Merci, Merci et Bravo ! Quel courage !
Depuis l’ouverture d’UNAE, je me protège préventivement : ‘D3, Oméga3, Essentiel, Omnimag et heureusement car bien que personne à risque (diabète 2°et âgée) je ne suis pas allée à l’hosto.
Quand j’ai réalisé que j’avais le Covid long, il était trop tard pour le traitement du Dr Raoult (j’ai pris pendant 9 ans de la Nivaquine à Madagascar sans complication).
J’ai eu plusieurs variants avec des symptômes douloureux et différents à chaque crise mais une fatigue incommensurable, une toux sèche les yeux larmoyants, perte du goût et de l’équilibre, constants.
Je viens juste d’en sortir avec 1 seule prise de 12 mg d’Ivermectine, ma vue revient doucement (sensation d’avoir encore la cataracte).
Il est inadmissible que les médecins ne puissent pas soigner leurs patients et que le seul recours soit de prendre un poison invendu et interdit aux USA. Où est le Principe de précaution que j’ai appris pendant mes études d’IDE ? Que leur seule option soit de faire les injections de «Vaccins sans agrément » et peut-être seront-ils les seuls à être responsables en cas de catastrophe car les labos et le gouvernement ne le seront pas ?
Il y a déjà eu des vaccinations obligatoires arbitraires : j’ai été vaccinée en janvier 1955 (9 ans½) du B.C.G., à l’école et à l’insu de mes parents, aussi de l’Hépatite B alors que je travaillais en crèche (les enfants non pas l’hépatite, 1er pas pour les vacciner : 11 vaccins en 1 seule injection) avec le vaccin français, sans sérologie vérificatrice, pour la 1ère injection qui a provoqué une Sclérose en plaque à une collègue et qui m’a rendu très malade (même lot). Les vaccins français ont été alors aux étudiants pour des vaccinations gratuites. La Médecine du Travail nous a alors fait les 2 autres injections avec le vaccin américain.
La vaccination de l’Hépatite B fait suite à la venue des rapatriés asiatiques qui étaient presque tous porteurs de celle-ci.
Quand je travaillais à l’ESDP de St-Cyr aux Monts d’Or, en 1977/1978, les élèves Commissaires et moi-même avons participé à une étude pour le vaccin de la Grippe (vaccin obligatoire en tant qu’IDE).
De nos jours, aucune prévention pour la Tuberculose excepté le B.C.G. (plus de Rx ni de cuti) alors qu’elle est en recrudescence et manque de traitement efficace suite à l’afflux des émigrés et des sans-papiers souvent pas vaccinés. Autrefois pour émigrer dans un pays en plus du visa il fallait être en bonne santé, parfois vivre une quarantaine…
Que sont devenus les sans-papiers et les migrants pendant le confinement ? Ont-ils été atteints ? Ont-ils été vaccinés ? Est-ce obligatoires pour eux ?
Je ne me ferai pas vacciner de mon plein gré, peut-être allons-nous être raflés car nous ne sommes plus en démocratie mais dans une société de PN ? Pourrons-nous un jour obtenir réparation de tous les abus et actions anti- démocratiques ? « Liberté, égalité, fraternité » et laïcité, ces valeurs sont-elles toujours les nôtres ?
Merci encore, je suis avec vous.
Janine
Bonjour
Je lis régulièrement avec attention vos commentaires auxquels j adhère largement.
Je résiste mais jusqu’à quand ?
Je me sens complètement prisonnière je n’ai aucune prise . Si je refuse je me condamne à vivre a l l’écart de la vie la plus basique. Aux risque de perdre mon emploi. Je ne vis pas d amour et d’eau fraîche. Je suis trop jeune pour vivre en ermite.
C est très triste mais c’est ainsi. A moins que vous me fabriquez un faux pass, ce qui je pense est extrêmement risqué. Cela dit je pense que les plus rusés le feront.
Merci beaucoup pour toutes ces belles vérités !!
Entièrement d’accord avec vous !
Tenons bon !!
Cordialement.
Bonjour, le virus ne me faisait pas peur, cela n’a jamais été anxiogène pour moi, mais depuis 2 jours cela le devient. Je ne veux pas me faire vacciner je n’ai rien contre les vaccins mais ceux là oui, ils me font peur, de plus il nous menace de perdre notre travail, de ne plus avoir accès à certains lieux si on peut dire indisponibles et de la vie quotidienne. Alors que tout se passait bien au travail, l’atmosphère a changé , où l’on « tape » sur les non vaccinés…. C’est pesant de devoir se justifier, de se sentir rabaisser, et sincèrement je ne sais plus quoi faire, bien avant ce virus je prenais régulièrement des compléments alimentaires pour soutenir mon immunité spiruline, moringa et autres, l’hiver je bois ma boisson chaude citron, miel, cannelle, curcuma gingembre, je n’ai même pas eu de rhume cette année alors que je travaille au froid. Je mange sainement, et actuellement je fais attention aux gestes barrières. Et que se passera t il quand un serveur, vigil ou autre demandera un pass et qu’en face on refuse et qu’un gars réponde par la violence ou avec une arme? Si on nous demande un pass alors demandons qu’eux nous montre le leur, ainsi que des autres serveurs ou cuisiniers ou clients… quel beau foutoir.
Les labo ne pensent qu’à s’enrichir et les scandales s’entassent les uns après les autres. J’ai déjà subi celui du levothyrox marre de ses dirigeants qui travaillent avec les labo et non pour le peuple.
Surtout que faites vous vacciner pour protéger les autres