L’Occident est-il en train de se tirer une balle dans le pied avec les vaccins anti-covid ?

Comme prévu, l’Agence européenne du médicament a donné son feu vert au vaccin AstraZeneca, malgré les alertes sur ses effets indésirables graves.

Je dis « comme prévu », car cette agence est criblée de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.

Sa propre directrice, Emer Cooke, a travaillé dans les années 1990 comme lobbyiste de Big Pharma, au sein de l’Association européenne des groupes pharmaceutiques.

C’est sous sa direction que l’Agence européenne a autorisé le remdésivir à l’été 2020, un médicament inefficace et dangereux, mais porté par la puissance du laboratoire Gilead.

Avec AstraZeneca, l’Agence européenne est même allée jusqu’à affirmer faussement que les accidents de coagulation sanguine (qui ont causé des morts) n’étaient pas liés au vaccin…

…alors que les autorités scientifiques norvégiennes, elles, ont conclu exactement le contraire, avec une certitude totale [1] !

Décidément, je pense que l’Occident perd la raison avec les vaccins anti-Covid.

Dans l’Union européenne, le passeport vaccinal est déjà programmé pour le mois de juin [2].

Aux États-Unis, le « patron » de la réponse sanitaire parle maintenant de vacciner les enfants de 6 mois et plus [3]– et le laboratoire Moderna est déjà en train de tester son vaccin sur des bébés [4].

En Israël, le Premier Ministre Benjamin Netanyahu a reconnu qu’il se préparait à l’éventualité de « revacciner tous les 6 mois », contre les variants.

Est-ce bien raisonnable ? 

Faut-il rappeler à qu’on est encore au début de l’essai clinique de phase 3, avec ces vaccins expérimentaux (cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022) ? 

Faut-il rappeler qu’il s’agit de technologies nouvelles (ARN messager et adénovirus OGM) qui n’avaient encore jamais été expérimentées massivement sur des populations et qui n’ont rien à voir avec les vaccins traditionnels ?

Il faut savoir qu’à ce jour, nous n’avons toujours aucune preuve scientifique définitive : 

  • Que ces vaccins réduisent le risque de cas sévères et de morts de la Covid-19 ;
  • Et que ces vaccins réduisent le risque de transmission de la Covid-19.

Et bien sûr, on n’a aucune preuve qu’ils sont sûrs et sans effets indésirables graves.

C’est vrai pour AstraZeneca comme pour Pfizer ou Moderna.

Je rappelle que les essais cliniques réalisés sur ces trois vaccins étaient trop limités pour pouvoir détecter un effet indésirable très grave dans 1 cas sur 5 000 ou 10 000.

Si, par hypothèse, le vaccin tuait 1 patient sur 10 000 – par exemple d’embolie pulmonaire ou d’hémorragie cérébrale – on ne pourrait pas le savoir avec les essais cliniques réalisés !

Et le drame, c’est qu’après coup, une fois la vaccination lancée, c’est encore plus difficile à prouver.

Car on peut toujours discuter à l’infini de la relation de « cause à effet » entre le vaccin et l’effet indésirable.

Je rappelle que l’Agence du Médicament a nié tout lien avec le vaccin dans le cas d’un homme mort seulement 2 heures après son injection [5]

Un étudiant en médecine de 24 ans, jusqu’alors en pleine santé, vient de mourir d’une thrombose à peine 10 jours après avoir reçu le vaccin AstraZeneca, et les médias prétendent contre toute évidence que « rien ne permet de faire le lien entre le décès et le vaccin » [6] !

Donc, au moment où je vous écris, le bénéfice de ces vaccins est incertain… et leur risque mal connu.

Avec une telle incertitude sur le « bénéfice-risque », on devrait quand même avoir le droit de poser des questions !

Mais non. 

Plus aucune critique n’est admise, parce qu’on a fait croire aux gens que le vaccin était la seule solution pour le « retour à la vie normale ».

Résultat : ceux qui jettent le doute sur l’intérêt de la vaccination sont perçus comme de dangereux énergumènes, qui risquent de décourager les gens à se faire vacciner, et donc prolonger (soi-disant) le cauchemar du confinement et des restrictions !

C’est diabolique, et très efficace pour décourager la critique des vaccins.

Mais c’est faux, archi-faux.

Comme le dit le Pr Raoult depuis le début, les vaccins ne sont jamais une « baguette magique » pour stopper une épidémie.

Au mieux, les vaccins représentent un des « outils » qui pourraient permettre de limiter le nombre de morts.

Au pire, les vaccins sont peu efficaces, avec des effets indésirables graves.

Il y a même un scénario catastrophe où ces vaccins pourraient causer des virus « super-mutants » dévastateurs pour l’humanité (je vous en reparle à la fin de cette lettre) !

Quoi qu’il en soit, il est évident que nous n’avons pas besoin de vaccins contre la Covid-19 pour retrouver une vie normale.

La Suède a une « vie normale », sans masque, sans confinement et avec les restaurants ouverts, sans avoir eu besoin du vaccin.

En France, on pourrait revenir à une vie normale demain matin, sans le moindre risque pour nos hôpitaux, si seulement on faisait de la prévention (vitamine D) et du traitement précoce (ivermectine).

Bref, les vaccins ne sont pas la clé du « retour à la normale », et on doit avoir le droit de les critiquer.

Avant même le début de la vaccination de masse, on savait que ces vaccins seraient inefficaces sur les variants – donc très peu utiles.

Mais depuis quelques semaines, on en sait davantage sur leur impact réel.

Avec ces nouvelles informations, il est clair qu’il y a 4 gros problèmes avec ces vaccins :

Problème (1) : ces vaccins semblent augmenter la transmissibilité et la létalité du virus dans les premières semaines

Personne n’ose en parler dans les médias, à part la courageuse chercheuse Alexandra Henrion-Claude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM [7].

Mais le début de la vaccination de masse a coïncidé un peu partout avec un phénomène TRÈS troublant.

Figurez-vous que les pays qui ont vacciné le plus massivement et le plus rapidement ont tous connu un énorme pic d’infections et de mortalité.Regardez les courbes de décès dans les 3 pays qui ont le plus vite vacciné : 1) Israël, 2) Émirats Arabes Unis et 3) la Grande-Bretagne :

En Israël, la vaccination de masse a commencé le 19 décembre : un pic encore jamais atteint de mortalité a été observé fin janvier
Aux Emirats, la vaccination de masse a commencé le 5 janvier, à un moment de stabilité épidémique ; il s’en est suivi un pic jamais atteint de contaminations et de décès, à fin février
En Grande-Bretagne, la vaccination de masse a commencé début décembre, à un moment de stabilité épidémique ; il s’en est suivi un pic encore jamais atteint de mortalité, à mi-janvier

Au départ, j’ai pensé que c’était une coïncidence.

Mais le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale [8].

Même problématique, aussi, dans deux petites îles épargnées par la Covid… jusqu’à l’arrivée du vaccin (l’île de Man, dans la mer irlandaise et Bonaire, aux Antilles).

Et que dire de ce qui se passe en ce moment au Chili ? 

Cela fait un mois que je regarde ce pays avec attention, car le Chili a réalisé depuis février une vaccination massive de sa population, à une vitesse similaire à celle d’Israël.

Résultat : là-bas aussi, on observe soudainement une augmentation du nombre de contaminations et de décès (plus importante que chez son voisin argentin, qui n’a quasiment pas vacciné).

Avec tous ces éléments, j’estime qu’il est probable que les vaccins aggravent la situation, avant (peut-être) de l’améliorer.

Cela n’aurait rien d’étonnant scientifiquement : 

  • La logistique de la vaccination peut faciliter les contaminations, du fait des contacts avec les soignants (pensez à ce couvent de nonnes qui n’avait eu aucun cas positif, et qui a soudainement eu un cluster entier suite à la vaccination, peut-être parce que les vaccinateurs ont introduit le virus dans le couvent [9]) ;
  • Les vaccins qui se donnent en deux doses peuvent risquer de donner des anticorps facilitateurs après la première dose : ce sont des anticorps qui ne sont ni assez nombreux ni assez puissants, et qui pour cette raison risquent d’aggraver le problème plutôt que de le résoudre ;
  • Enfin, il est possible que les vaccins réduisent les symptômes sans diminuer la transmission, ce qui rend les personnes infectées plus à risque de transmettre le virus, car elles ne savent pas qu’elles sont contaminantes (on s’isole moins quand on n’a pas de symptômes et qu’on se sait vacciné).

Bref, on ne sait pas si, les premières semaines, ces vaccins ne feraient pas plus de mal que de bien sur l’épidémie et la mortalité liées à la Covid-19 – ce qui serait le comble.

Et même après la deuxième dose, on ne sait toujours pas à quel point ces vaccins sont efficaces contre les décès et hospitalisations :

Problème (2) : ces vaccins n’ont clairement pas l’efficacité promise de 90 %

Dès le départ, il était évident que l’efficacité de 90 % était une fable, un conte pour enfants.

D’abord parce que les essais cliniques ont été manifestement manipulés pour obtenir le meilleur résultat possible [10].

Et ensuite parce que les essais cliniques avaient inclus très peu de patients de plus de 75 ans… et aucun patient de plus de 85 ans.

Or on sait depuis toujours que les vaccins marchent peu ou pas sur les plus âgés, ceux qui ont un système immunitaire défaillant.

Donc même si les vaccins avaient vraiment une efficacité de 90 % sur les personnes jeunes et en bonne santé, il était clair que l’efficacité serait très inférieure chez les plus vulnérables.

Et en effet, on n’a toujours pas observé d’effet majeur du vaccin sur la mortalité.

Prenez la diminution du nombre de décès en Israël, après le grand pic du mois de janvier.

Cette baisse est-elle liée à l’efficacité du vaccin ? 

C’est ce que vous disent tous les médias, en chœur. 

Mais ce n’est pas évident du tout.Voici l’évolution des décès, sur la même période, en Israël et dans des pays qui n’ont pas ou peu vacciné :

Évolution du nombre de morts par habitant en Suède, Tunisie, Israël, Afrique du Sud et Suisse

Voyez-vous une diminution spectaculaire du nombre de morts en Israël, par rapport aux autres ? 

Non ? Eh bien c’est le signe que les vaccins marchent peu ou pas pour éviter la mortalité. 

Cela devrait être évident pour tout le monde : si les vaccins avaient 90 % d’efficacité, cela se verrait comme le nez au milieu de la figure.

Je rappelle que 90 % des Israéliens de plus de 70 ans sont vaccinés avec 2 doses depuis près de 2 mois… or 90 % des morts de la Covid-19 sont concentrés sur les plus de 70 ans.

Donc, si le vaccin avait 90 % d’efficacité, il ne devrait quasiment plus y avoir de morts en Israël ! 

Or non seulement la baisse du nombre de morts est similaire à celle de pays qui n’ont pas vacciné… mais au moment où je vous écris, Israël a toujours plus de morts qu’au début du mois de décembre !

Bref, l’exemple israélien est tout sauf probant quant à l’efficacité des vaccins.

Problème (3) : Au moins 50 fois plus d’effets indésirables graves que le vaccin contre la grippe

Sur tous les vaccins expérimentaux (Pfizer, Moderna et AstraZeneca), le nombre d’effets indésirables graves est élevé.

(A mon avis, la raison pour laquelle AstraZeneca a été pris pour cible est que ce vaccin n’a pas été autorisé pour les plus de 65 ans dans beaucoup de pays… ce qui a conduit à l’utiliser exclusivement sur des sujets jeunes, au système immunitaire plus vif et qui réagissent donc plus vigoureusement à la vaccination et ses effets indésirables).

Des bases de données recensent les effets indésirables de tous les vaccins, en Europe et aux Etats-Unis.

Elles ne sont pas parfaites, car ce sont des « signalements » spontanés, sans preuve de cause à effet.

Il n’empêche : ces données montrent globalement 50 fois plus d’effets indésirables graves après les vaccins Covid qu’après les vaccins contre la grippe [11] ! Et beaucoup plus de décès !

Il est donc évident que ces vaccins sont beaucoup plus risqués que ceux contre la grippe. 

Chez les jeunes de moins de 60 ans, qui n’ont pas grand-chose à craindre du coronavirus, le bénéfice-risque de ces vaccins est donc clairement défavorable.

Ce n’est pas un hasard si les soignants eux-mêmes refusent de se faire vacciner, en France (un tiers d’entre eux seulement a accepté la vaccination !).

Ils savent un peu mieux que les autres les risques du vaccin… et connaissent très bien le risque réel de la Covid-19 pour eux-mêmes.

Cette réticence des soignants est d’autant plus révélatrice qu’ils ont plus de risques que la moyenne d’être infectés ! 

Donc les personnels soignants, relativement jeunes et en bonne santé, ont clairement plus peur du vaccin que de l’infection, et ils ont raison !

Le dernier problème n’est qu’une hypothèse… mais une hypothèse glaçante.

Problème (4) : ces vaccins pourraient créer un ÉNORME risque pour l’humanité

Je dis depuis des mois que la vaccination massive accélère le risque d’apparition de nouveaux variants qui échappent aux vaccins.

Ce n’est contesté par personne.

Comme le vaccin ne porte que sur un tout petit élément du virus (la protéine Spike), il y a de forts risques que des mutations se produisent sur cette protéine-là, ce qui crée un variant qui échappe au vaccin.

Conséquence : même si ces vaccins étaient efficaces au départ, ils ne le seraient pas longtemps.

Personnellement, cela ne me faisait pas très peur, car : 

  • On peut prévenir et soigner la Covid-19, quel que soit le variant, avec la vitamine D et l’ivermectine notamment ;
  • L’infection naturelle crée une protection plus durable que celle de la vaccination, puisque les anticorps portent sur tous les éléments du virus, et pas seulement sa protéine Spike.  

Donc, en faisant de la prévention et du soin, l’épidémie devait de toute façon s’effacer au printemps, et ce coronavirus allait rejoindre tranquillement la liste des infections hivernales sérieuses mais gérables, comme la grippe.

Mais un scientifique de renommée mondiale vient de lancer un cri d’alarme très inquiétant.

Il s’agit du Dr Geert Vanden Bossche, un virologue belge qui ne peut pas être accusé d’être « anti-vaccin », puisqu’il a travaillé avec l’association GAVI (le regroupement des Big Pharma au sein de l’OMS) et la fondation de Bill Gates. 

Ce virologue a écrit une lettre ouverte à l’OMS publiée ce 12 mars 2021, intitulée : « Arrêtez immédiatement la vaccination de masse contre le Covid-19 » [12].

Je le cite : 

« Ce type de vaccins prophylactiques sont complètement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans des campagnes de vaccination de masse pendant une pandémie virale. 

Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme des brevets individuels, mais ne semblent pas s’inquiéter des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. »

Sa crainte est que la vaccination conduise « les variants circulants à se transformer en un monstre sauvage ».

D’après ses calculs, la vaccination massive produira un « mutant » très différent du virus d’origine, à tel point que même ceux qui ont été infectés naturellement ne seront plus protégés !

Si c’est le cas, ce serait en effet très problématique, car cela nous renverrait à la case départ de l’épidémie.

En France, environ 30 % de la population au moins a déjà été infectée, ce qui nous prémunit contre les grosses vagues épidémiques du printemps (Ile de France, Grand Est) ou de l’automne dernier (PACA, Rhône-Alpes, Hauts-de-France…) 

Mais si un nouveau variant, apparu sous la pression de la vaccination massive, parvenait à échapper à l’immunité naturelle, on se retrouverait à nouveau face à un risque de débordement des hôpitaux !

Ce n’est pas une théorie fantasque, et encore moins une théorie du complot.

C’est ce que prévoient de grands experts comme le Dr Geert Vanden Bossche.

Mais il y a aussi une autre « catastrophe », dont il ne parle pas, qui pourrait être causée par la vaccination de masse.

Il s’agit du risque de « recombinaison virale », donnant naissance (elle-aussi !) à un « super-mutant » extrêmement dangereux.

Je rappelle que les virus ont une capacité assez unique à se « recombiner » entre eux, de façon naturelle.

Un des virus les plus connus au monde s’est d’ailleurs créé de cette manière. Il s’agit du virus de la grippe H1N1 de 2009, constitué de trois souches différentes de la grippe : une souche porcine, une souche humaine et une souche aviaire.

Les recombinaisons sont peu fréquentes, car elles supposent qu’un organisme soit infecté par plusieurs virus en même temps, ce qui se produit rarement.

Mais quand vous vaccinez une personne déjà infectée par d’autres virus, vous pouvez avoir plusieurs virus ou éléments de virus dans la même cellule, en même temps.

D’où le problème des nouveaux vaccins ARN ou ADN : en insérant dans nos cellules le code génétique d’une partie du coronavirus, on prend le risque que ce fragment puisse se recombiner avec d’autres virus présents dans nos cellules au moment de la vaccination.

Jusqu’à présent, je pensais que ce risque était « théorique », à la probabilité faible.

Mais il y a un fait nouveau : des chercheurs britanniques viennent de détecter des virus recombinés [13] !

Du coup, même des médias classiques comme Midi-Libre tirent la sonnette d’alarme :

« Coronavirus : après les variants, faut-il s’alarmer de l’arrivée des recombinants ? » [14]

Il s’agit ici de recombinants apparus « naturellement », mais c’est la preuve que le risque de recombinaison virale avec ce nouveau coronavirus n’est pas théorique.

Au total, vous voyez que la vaccination massive n’est pas sans poser question !

Prendre de tels risques serait sans doute acceptable face à une épidémie aussi mortelle que la peste noire.

Mais face à la Covid-19, cela paraît absurde, parce que la létalité est faible et que nous avons des solutions simples et extrêmement efficaces en prévention et traitement.

Si vous en doutez encore, je vous invite à lire cet article signé du Dr Ménat et du Dr Reliquet, sur le site de l’excellente l’association AIMSIB : 

Un monde sous ivermectine, essai d’anticipation

Le cauchemar de la Covid-19 pourrait déjà être derrière nous.

Le problème est que l’Occident, sous la pression de Big Pharma, a choisi de vacciner plutôt que de soigner. 

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  1. L’acide l-ascorbique improprement nommée vitamine c alors qu’elle est un glucosite, est la meilleure réponse pour prévenir ou guérir de toute affection respiratoire virale, a condition de prendre des doses journalières importantes. La médecine orthomoleculaire préconise une dose journalière de 3x1000mg en prévention de toute affection respiratoire pendant la période hivernale soit beaucoup plus que ce que contiennent les fruits (orange,citron,kiwi,acerola). Il faut donc se supplémenter par voie orale par ailleurs. Cordialement

  2. Voici mon avis, je précise que je n’ai jamais reçu un vaccin de ma vie.

    C’est très grave, vos affirmations gratuites. C’est clair que la vitamine D est le remède miracle ! d’ailleurs, à partir d’aujourd’hui ce sera mon seul et unique médicament !
    Arrêter de jouer avec les mots, et de mettre des mystères ou il n’y en a pas : quel phénomène TRÈS troublant et étrange de voir les pays les plus touchés par le civid 19, vacciner en masse…… C’est pourtant une évidence !! quoi de plus logique de vacciner un max quand un virus circule ?…. je crois que c’est pourtant en utilisant cette méthode que l’on a réussi à éradiqué un certain nombre de maladies….
    Oui, tous les vaccins comportent un risque, comme tous médicaments, y compris la vitamine D.
    Arrêtez vous ramassis de conneries.
    Actuellement les seules solutions sont les gestes barrières et le vaccin, surtout à cause des gens qui ne respectent pas les gestes barrières.

    M.Viallard. Je n’attends surtout pas de réponse de votre part.

  3. Très intéressant, oui, mais surtout angoissant.
    Ce n’est pas Big Pharma qui a choisi de privilégier le vaccin au lieu du traitement précoce à base de nivaquine ou d’ivermectine, c’est Macron et son pseudo conseil scientifique, pour la simple raison que big Pharma ristournera aux décideurs des sommes vertigineuses, alors que la chloroquine ou l’ivermectine ne coûte que quelques euros par jours… L’ennui et cela donne l’occasion de s’inquiéter, c’est que le peuple a peur et que maintenant seul le vaccin est attendu par tous… sauf moi.
    En même temps, notre gouvernement a fait tout ce qu’il fallait pour cultiver la peur du Covid ( je ne peux pas féminiser cette saloperie) imposer des mesures liberticides et je ne vois qu’une révolution pour sortir de cette impasse.
    Le Covid n’est plus qu’un simple problème sanitaire, c’est une situation politique dramatique et ce ne sont ni Macron ni Véran qui nous en sortiront.

  4. A mon avis interprétation tronquée des faits: Le pic de décès en GB ne peut certainement pas être imputé à la vaccination!! Celle-ci a commence à un rythme assez faible début puis mi décembre, les décès sont dus à la coupure du lockdown pour Noël dans un pays où on enregistrait déjà une très sérieuse augmentation des contaminations. Et maintenant ou le rythme des vaccinations a énormément augmenté, chute des décès, évidemment aussi liée au confinement , mais certainement pas d’augmentation malgré les vaccinations.
    J’ai moi-même eu les 2 doses de Pfizer, et les réactions défavorablesdont des plus rates.cessez de vilipender les vaccins pensez à toutes les vies sauvées depuis le début de cette méthode et aux maladies disparues:variole,poliomyélite etc

  5. TRÈS édifiant, lamentable et effrayant. A 87 ans souhaitant que ma vie ne dure plus tôt, j’ai eu tort de refuser la vaccination!!!!!
    Je ne transfert pas cette lettre, mes connaissances, femmes et hommes âgés, se sont lancer allègrement dans cette « arnaque »
    Inutile de les affolés plus

  6. C est une honte ce qui se passe avec cette vaccination, les gens courent après ce vaccin mais s ils savaient qu’ils courent après la mort de leur âme, je pense qu ils ne se vaccineraient pas. C est trop bizarre, et il faut que les humains se réveillent et face bloquent. Ils ne mourront pas de la COVID mais des vaccins.

  7. Je suis entièrement d accord avec vos conclusions. Je souhaite seulement dire que je préfère me vacciner avec un virus atténué ENTIER, pour bénéficier des anticorps de toutes les parties du virus. En somme à l ancienne.

  8. bonjour, le problème, c’est que quand on parle de ça, les gens semblent devenus complètement sourds, ou bêtes……comment remédier à cette surdité?

  9. DE FILS A PERE

    Jacques, mon fils, 40 ans, me disait :
    – Qu’ils aillent donc se faire vacciner, ça fera des imbéciles en moins sur la terre.
    Et comme je lui demandais de s’expliquer, il ajouta :
    – Papa, regarde : tout le monde est d’accord à présent sur le fait que depuis les années 50, et même avant, le monde agricole s’est fourvoyé. Pourtant, quel engouement c’était quand on constata l’amélioration des rendements grâce à l’utilisation des engrais chimiques ! C’était la panacée, la manne céleste tombée sur la terre !
    – Tombée des tracteurs, tu veux dire. Mais je vois, dis donc, que tu connais la bible ! Mais je te suis, vas-y, j’écoute !
    – Bref, c’était l’assurance de parvenir à éradiquer la faim dans le monde. Cependant cette densité des épis a eu pour conséquence que le blé, l’avoine, l’orge, bref toutes les graminées et autres se sont vues attaquées par des petites bêtes. Eh bien, demande à Michel Leclaire, il t’expliquera comment la terre s’est peu à peu appauvrie, s’est même durcie, si bien que la plante ne pouvait plus y puiser les ingrédients capables de la rendre résistante aux maladies.
    – Ah ! Je vois où tu veux en venir : de ce fait on a voulu utiliser des pesticides et des fongicides. Tu veux dire que c’était manière de vacciner les plantes, de lutter contre les petites bêtes comme tu dis.
    – Exactement. Et tu sais le résultat sur la qualité des aliments.
    – Et ce qui s’ensuit…
    – Oui, l’affaiblissement des organismes des animaux et des hommes. Il nous a fallu plus de 50 ans pour commencer à nous réveiller, se dire qu’il fallait élaborer une nouvelle agriculture, ou plutôt retrouver la sagesse de nos ancêtres, s’occuper des forces vitales, biologiques, de la terre et des plantes.
    – Bon ! Poursuis ton résonnement : reviens aux vaccins.
    – Eh bien, c’est ça qui me scie. Les gens ne voient pas que chacun de nous a une terre personnelle, oui je dis bien, en parlant de notre corps, une terre personnelle, car nous possédons jusque dans nos os tous les éléments constitutifs de la terre, y compris le zinc, l’or, l’argent. Et tout le monde sait que, comme la terre, nous sommes constitués de 70% d’eau à peu près.
    – – Bon ! Mais les vaccins…
    – – Ne fais pas le naïf, tu as très bien compris : les vaccins, ce sont nos pesticides. On nous inocule des produits chimiques et bactériologiques. Et de même qu’il a fallu, d’année en année augmenter la dose des pesticides et trouver de nouveaux agents de traitement parce que les petites bêtes se faisaient de plus en plus grosses, et les plantes de moins en moins vigoureuses, de même on va nous vendre des millions de doses de vaccins parce que nous saurons de moins en moins résister aux maladies.
    – – Tu leur fais peut-être un procès d’intention un peu osé, mais je te l’accorde, c’est une perspective peu réjouissante. Surtout quand on sait que les vaccins arrivent souvent après la tempête. Et qu’entre temps, d’autres virus inconnus risquent de nous tomber dessus.
    – – Mais c’est bien ça, regarde les vaccins contre la grippe, c’est de la foutaise, ce n’est jamais la même grippe qui est dangereuse.
    – – D’accord, mais tout de même, si en 1918 on avait eu le vaccin, il n’y aurait pas eu ces millions de morts de la grippe espagnole.
    – Papa, Papa, arrête ! Tous ces gens sont morts à cause des conditions hygiéniques déplorables de l’époque. Les organismes étaient épuisés par l’effort de guerre. Et je ne te parle pas du stress ! L’affaiblissement physique et par la suite psychologique, voilà ce qui crée l’apparition des « petites bêtes », comme nous disons.
    – Jacques, je réfléchis à une chose : je sais que les vaccins sont des moyens de nous mettre en mémoire des organismes agresseurs, des attaquants. Imagine que tu défendes un château. Tu te souviens qu’il a déjà été attaqué par des zoulous. Tes soldats ont été avertis et se sont focalisés sur l’image des Zoulous. Mais si ce sont des Lamalechs qu’ils voient venir…
    – … les soldats ne se méfieront pas, obsédés qu’ils sont par les Zoulous. C’est tout à fait ça, mon cher Papa, nos défenses immunitaires générales s’affaiblissent peu à peu en face de l’imprévisible. Mais, dis-moi, tu prends de l’âge, et parfois je m’inquiète pour toi parce que je sais que ton organisme s’affaiblit. Comment te sens-tu ?
    – – Ca va, je tiens le coup.
    – – Chouette ! Au fait, papa, une question à te poser.
    – – Vas-y !
    – – Connais-tu la moyenne d’âge des morts du Covid ?
    – – Non !
    – – Dis un chiffre, pour voir.
    – – Je sais pas, moi, disons entre 55 et 60 ans.
    – – Je suis allé chercher sur internet : 81 ans pour les hommes, 84 pour les femmes.
    – – Mais… c’est des âges de fin de vie, ça !
    – – Oui, des âges où les forces de vie se retirent naturellement, des âges où autrefois on n’avait pas besoin d’y chercher la présence d’un quelconque Covid, des âges où on a peur de mourir parce qu’on sent la Grande Faucheuse toute proche.
    – – Sans compter que « Dieu est mort », plus de perspective après la mort, le gouffre, l’horreur !
    – – Sauf pour toi, mon cher Papa.
    – – Oui, Jacques, la vie continue, je vais simplement me défaire de mon vêtement charnel, pour une plus grande nuit d’où je reviendrai. Je voudrais tellement, alors, pouvoir renaître dans un organisme maternel sain !
    – – Comme je te comprends ! Et vois-tu, papa, maintenant que grâce à vous nous avons de bonnes conditions de vie sanitaire, ce qu’il nous faut à tout prix, c’est retrouver… je dirais… une hygiène de vie morale. Et je me dis que le plus dur, c’est d’arriver à penser par soi-même.
    – – Que veux-tu dire ?
    – – Sans qu’il le sache, l’individu est sous la chape d’un penser collectif. En fait, au-dessus de notre psychisme individuel existe un psychisme collectif. Il peut engendrer une occultation ou un durcissement de la pensée. Je pense qu’il y a des esprits forts qui ont compris ça, et jouent avec.
    – – Tu veux parler de ceux qui font de la propagande…
    – – Exactement. Tu dis bien. La propagande, qu’elle soit religieuse, politique ou économique, c’est une belle saloperie. Aujourd’hui nous avons affaire à une propagande sanitaire qui est un véritable rouleau compresseur. Tout le monde s’y met, chacun persuadé de bien faire. J’ai ri, mais d’un rire un peu jaune, quand j’ai entendu notre beau ministre de la santé dire avec l’étonnement que je crois le plus sincère car le plus naïf, qu’il découvrait que les français avaient une âme, car une âme en détresse. Après tous ses efforts à nous jeter à la face des hécatombes de morts, soir après soir depuis 9 mois, il accouchait de cet aveu incroyable qu’il ne soupçonnait pas notre être émotif.
    – – C’est vrai, Jacques, il suffit d’un nom qu’on gonfle comme un énorme ballon, le juif, l’hérétique, le covid, et vous devenez le maître du monde. Hier encore la grippe était passée dans nos mœurs, on avait entre 50000 et 70000 morts par an, on n’en faisait pas un drame. Aujourd’hui le simple nom de covid a créé une paranoïa incroyable. Moi j’attends qu’une radio, ou une chaine télévisée dise un jour avec fierté et joie quel nombre de naissances il y a eu pendant le même temps. D’autant que dans cette ambiance, les chiffres risquent de tomber bien bas l’an prochain!
    – – Notre société ne peut pas continuer sur cette lancée. Il va falloir changer.
    – – Facile à dire de changer. L’homme est quand même pris dans un engrenage.
    – – Eh bien, papa, il faudra changer d’engrenage. Tous les engrenages. Et d’abord commencer par croire en soi, quoi qu’il advienne.
    – – Et sans haine, n’est-ce pas ?
    – – Oui, sans haine.
    – – Même pour les imbéciles ?
    – – Ah ! Ah ! Tu m’as pris au piège, mais d’accord, même pour les imbéciles. Après tout ils ne sont pas obligés de le rester.
    Alain Cantier

  10. bravo pour cette lettre très instructive et qui confirme la dangerosité de ces vaccins. Cela confirme et me conforte dans ma première décision de ne pas me faire vacciner ne sachant pas ce que contient les doses vaccinales. Pour moi dès le début ce n’est qu’un business de laboratoires (criminels et plus gros scandale du 21 ème siècle)

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