Je reconnais une erreur…. qui en dit long sur l’origine de ce virus

Il est temps de faire mon autocritique.

Vous ai-je bien informé, en 2020, sur la crise du coronavirus ?

Sur les remèdes efficaces, je répondrais un grand OUI, sans hésiter.

Dès le début du mois de mars, je vous ai conseillé un protocole naturel à base de vitamine D, dont l’intérêt préventif et curatif a entre-temps été validé par plus de 40 études scientifiques.

Je crois aussi avoir été lucide, depuis le début, sur l’intérêt du protocole du Pr Raoult, qui a désormais fait l’objet de 200 études scientifiques, très majoritairement positives.

Et je suis heureux de vous avoir parlé récemment de l’ivermectine, un médicament banal aux effets impressionnants contre la Covid-19, et que des pays comme le Pérou ou la Macédoine viennent d’adopter (et ce n’est que le début).

Donc, sur la prévention et sur les traitements, je pense avoir fait du bon travail.

Heureusement, car c’est le plus important pour votre santé : en suivant mon protocole naturel, vous aviez de meilleures chances d’éviter d’être infecté – et, en cas d’infection, d’éviter une forme grave.

Mais je ne me suis pas contenté de vous parler de prévention et de traitements.

Je me suis aussi aventuré à essayer de prédire l’évolution de l’épidémie.

Or comme le disait l’humoriste Pierre Dac, les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu’elles concernent l’avenir.

Avec une maladie nouvelle comme la Covid-19, on risque forcément de faire des erreurs.

En janvier 2020 : je n’étais pas inquiet du tout (mais j’avais mes raisons) !

Ma plus grosse erreur vient d’une lettre envoyée à la fin du mois de janvier 2020.

C’était au tout début de l’épidémie en Chine. A ce moment-là, je vous disais qu’il n’y avait pas de raison d’avoir peur de ce « nouveau coronavirus ».

« Rien n’indique que ce genre de virus est plus dangereux que nos infections hivernales classiques », écrivais-je.

Et la suite m’a donné tort, évidemment : ce coronavirus a causé nettement plus de dégâts que la grippe.

Je crois toutefois avoir vu juste, dès le début, sur les deux grandes raisons de ne pas paniquer :

 « 1) Ceux qui meurent du coronavirus sont des personnes vulnérables, qui décèdent parce qu’ils étaient déjà malades ou très fragilisés ;

2) Pour la plupart des gens infectés, le coronavirus ne cause que des symptômes sans danger vital, similaires à ceux de la grippe : maux de tête, fièvre, courbatures, etc. »

Je vous ai écrit ceci fin janvier, et 11 mois plus tard fin décembre, c’est toujours vrai.

Comme l’a montré le Pr Raoult à Marseille, 90 % des morts de la Covid-19 n’avaient qu’une seule année d’espérance de vie[1] – les victimes étaient donc très majoritairement des personnes très âgées et/ou très malades.

Voilà pourquoi je suis convaincu depuis le premier jour qu’il n’y a aucune raison de paniquer.

Au total, si l’on croit les chiffres officiels, le coronavirus a tué 1 personne sur 1 000 en France, en 2020.

Rien à voir avec la peste noire, qui a décimé la population européenne au 14ème siècle : au moins 1 personne sur 3 en est morte !

Ce n’est pas non plus la grippe espagnole, qui a tué 1 personne sur 100 en France – donc 10 fois plus que la Covid-19.

(Et encore, le drame de la grippe espagnole est d’avoir emporté beaucoup d’hommes dans la force de l’âge, alors que la Covid-19 a totalement épargné les moins de 60 ans, sauf cancer métastasé ou maladie génétique).

Bref, je ne regrette pas d’avoir été rassurant, tout au long de l’épidémie.

Surtout qu’avec une bonne prévention et de bons traitements, on n’a quasiment aucun risque d’en mourir, ou même de faire une forme grave.

Mais il n’empêche : en janvier 2020, je ne croyais pas à une pandémie mondiale, et je me suis trompé.

Pour ma défense, toutefois, j’avais une « bonne raison » :

Pourquoi, comme le Pr Raoult, je ne croyais pas à une pandémie mondiale

Au tout début, je pensais vraiment que les médias étaient en train de nous refaire le « coup » des fausses pandémies précédentes.

Voici ce que je vous écrivais fin janvier :

            « Ce sont les mêmes qui nous avaient annoncé une « terrible pandémie planétaire » avec :

  • le SRAS, en 2002 (bilan : 774 décès, essentiellement en Chine)
  • la grippe aviaire, en 2005 (bilan : 245 décès, dont 0 en Occident)
  • la grippe A H1N1 en 2010 (bilan : une mortalité inférieure à la grippe « classique »)
  • et Ebola, en 2014 (un triste bilan d’environ 11 000 morts dans certains pays d’Afrique, mais aucune contagion mondiale) »

A chaque fois, c’était une « fausse alerte » pour l’Occident.

Je pensais donc qu’il en serait de même avec ce coronavirus – exactement comme le Pr Raoult, qui en était convaincu lui aussi.

Dans une vidéo que j’avais citée dans ma lettre, le Pr Raoult avait expliqué pourquoi une pandémie mondiale lui paraissait très peu probable :

            « Les maladies infectieuses sont des maladies d’écosystème, des maladies écologiques.

C’est-à-dire que vous n’avez pas les mêmes maladies dans la zone intertropicale humide, vous n’avez pas les mêmes maladies si vous avez des moustiques ou non.

Si vous ne touchez pas le sang d’un mort d’Ebola, la probabilité que vous attrapiez la maladie est proche de zéro. Ebola, on nous le ressort tous les 4 à 5 ans, à chaque fois qu’on me demande si une épidémie d’Ebola est possible en France, je dis non. »[2]

Ce que disait le Pr Raoult, c’est que les maladies infectieuses voyagent très mal (heureusement !).

Elles sont généralement adaptées à une géographie et à une population locale – et pas au monde entier !

De ce point de vue, le Sars-CoV-2 a été une incroyable exception dans l’histoire des maladies !

De façon totalement inédite, il a parcouru la planète entière et s’est implanté dans un temps record sur la plupart des continents !

Mais justement : c’est tellement étrange que cela cache quelque chose.

En fait, la raison est probablement que ce virus n’a rien de « naturel ».

A ce jour, tout indique que ce virus est sorti du fameux laboratoire de recherche P4 de Wuhan, qui abrite l’Institut de virologie chinois, spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauves-souris.

C’est l’hypothèse que j’ai soulevée dès le 3 février 2020 dans ma lettre « Choc : le Coronavirus s’est-il échappé d’un laboratoire chinois ? ».

Je vous invite à la relire, car elle n’a pas pris une ride, alors qu’on en sait dix fois plus aujourd’hui.

Puis, fin février, alors qu’aucun média n’avait encore osé en parler, j’enfonçais le clou :

« Il est probable que le virus s’est échappé d’un laboratoire – donc que les autorités chinoises sont en partie responsables de ces milliers de morts !

Ce n’est pas une « théorie du complot », c’est du simple bon sens.

Quelle est la probabilité, à votre avis, que sur des centaines de villes chinoises, l’épidémie mondiale d’un nouveau coronavirus, jamais vu auparavant, se déclenche…

…dans la seule ville chinoise où les meilleurs scientifiques du pays étudient les coronavirus, en particulier ceux des chauves-souris ? »

Deux mois plus tard, en avril, cette hypothèse a enfin été évoquée par les médias.

Sur Europe 1, Olivier Duhamel m’avait même rendu un hommage appuyé :

« On a repéré un article du journaliste scientifique Xavier Bazin, dès la fin janvier – dès la fin janvier ! – sur, justement, les doutes sur ce laboratoire. Cela met sérieusement en cause les autorités chinoises ! »[3]

Aujourd’hui, cette thèse d’un virus échappé du laboratoire de Wuhan apparaît logique à tous ceux qui ont les yeux ouverts :

10 mois après, le Monde et France TV reconnaissent que j’avais raison

Il y a quelques jours, le journal Le Monde a publié une excellente « Enquête sur les origines du SARS-CoV-2 »[4]

Le journaliste Stéphane Foucart reconnaît que la thèse de l’origine « naturelle » du virus a du plomb dans l’aile.

Car on sait désormais avec certitude que le virus n’est pas sorti du « marché aux poissons » de Wuhan.

Et on n’a toujours pas découvert le fameux « hôte intermédiaire » entre la chauve-souris et l’homme, qui aurait donné naissance naturellement à ce virus.

La thèse du pangolin n’est presque plus défendue par personne – elle a probablement été créée de toutes pièces par des scientifiques chinois pour détourner l’attention du laboratoire de Wuhan[5].

Même sur France Télévision, tout récemment, le journaliste Julien Pain a clairement évoqué l’hypothèse du laboratoire[6] :

« Il faut se poser la question – si on ne connaît pas l’origine du virus, on risque de se retrouver devant les mêmes problèmes plus tard, on n’arrivera pas à empêcher la prochaine pandémie.

Que ce soit quelqu’un qui s’est infecté en touchant les excréments d’une chauve-souris ou que ce soit une fuite d’un laboratoire, il est extrêmement important qu’on fasse la lumière sur l’origine du virus ».

La vérité finit par avancer : ce journaliste de France TV n’exclut même plus la possibilité d’une « manipulation génétique » du virus, une thèse jugée totalement « complotiste » au printemps dernier !

Et en effet, tout indique aujourd’hui que le coronavirus a bien été manipulé en laboratoire.

Aujourd’hui, tout indique que c’est un virus MANIPULÉ génétiquement

En février dernier, je pensais encore que ce virus était « naturel », même s’il s’était échappé du labo de Wuhan.

Je pensais qu’il avait été prélevé au fond d’une cave remplie de chauve-souris, ramené au laboratoire de Wuhan pour examen, et s’était échappé en infectant un laborantin.

C’est encore aujourd’hui la thèse de certains chercheurs, qui s’appuient sur l’affaire d’une mystérieuse pneumonie datant de 2012.

Cette année-là, une pneumonie ressemblant étrangement à la Covid-19 a frappé des ouvriers de la ville de Mojiang, qui travaillaient dans une mine remplie de chauve-souris. Des scientifiques ont alors prélevé des coronavirus sur les chauve-souris de cette mine et ramené ces échantillons à 2 000 kilomètres de là, au laboratoire de Wuhan.

Il est donc possible que l’un de ces coronavirus ramenés à Wuhan soit le fameux Sars-CoV-2, qui s’est ensuite échappé par accident.

Mais avec toutes les preuves qui se sont accumulées depuis, il est désormais beaucoup plus raisonnable de penser que le Sars-CoV-2 a été manipulé génétiquement pour le rendre plus infectieux, dans des buts de recherche scientifique.

Dès le mois d’avril, je vous ai parlé des travaux du Pr Montagnier, prix Nobel de Médecine pour avoir découvert le virus du Sida… et qui avait repéré des insertions du VIH dans le Sars-CoV-2[7].

Depuis, d’autres grands professeurs renommés ont abondé dans son sens.

Comme le très respecté Professeur russe Petre Chumakov, qui a confié ceci à un journal britannique :

« Les scientifiques du laboratoire de Wuhan sont engagés activement dans le développement de variants de plusieurs coronavirus depuis 10 ans.

Ils ont fait des choses insensées, comme modifier le génome de certains coronavirus pour leur permettre d’infecter des cellules humaines »[8].

Même son de cloche chez le généticien israélien Ronen Shemsch, qui a expliqué dans un média australien qu’il y a « de nombreuses raisons de croire que le COVID-19 générant le SARS-CoV-2 a été créé en laboratoire » [9].

Son argument clé – et celui qui emporte ma conviction que c’est un virus manipulé – est que ce virus possède un fragment incroyablement bien « adapté » pour infecter les humains – appelé site de clivage de la furine :

« Si j’essayais de créer une souche de virus ayant une plus grande affinité et un potentiel infectieux pour les humains, c’est exactement ce que je ferais : j’ajouterais un site de clivage de la furine directement au site de clivage original »

 « Ce qui rend la chose encore plus suspecte est le fait que cette insertion s’est non seulement produite au bon endroit et au bon moment, mais a également transformé le site sérine-protéase en site furine ».

De fait, il est très peu probable que cette « insertion » se soit produite naturellement, car on n’a jamais trouvé de site de clivage de la furine aussi parfait dans les autres coronavirus de la même famille.

Quant au Professeur italien Joseph Tritto, auteur du livre La chimère qui a changé le monde[10], il fait la synthèse entre la thèse du Pr Montagnier et ceux qui s’étonnent de l’étrange « perfection » du fameux site de clivage de la furine :

« L’insert VIH-1 (trouvée par le Pr Montagnier NDLR) permet au SARS-Cov-2 de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule. Il est donc vraisemblablement responsable de la forte infectivité du virus.

La modification du site de clivage de la furine permet au virus de se multiplier dans la cellule et le rend hautement pathogène[11]. »

Bref, le Sars-CoV-2 était dès le départ exceptionnellement bien adapté pour infecter l’être humain, certainement grâce à des manipulations génétiques.

Et c’est pour cela que ce virus a pu se répandre dans le monde entier, à une vitesse étonnante !

Voilà pourquoi le Pr Raoult ne croyait pas à une pandémie, au départ, car ce n’est pas « normal ». Ce n’est pas naturel !

Et voilà pourquoi il s’est trompé au tout début de l’épidémie – et moi avec.

Reste à savoir si la vérité sur l’origine de ce virus sera un jour reconnue.

C’est peu probable, hélas, quand on sait que la Chine refuse toute enquête indépendante sur son territoire… et on comprend pourquoi !

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  1. Bonjour
    Concernant l’origine du virus, que pensez-vous de ce qui se dit à propos de l’institut Pasteur, à savoir que ce sont des « chercheurs » de cet institut qui ont élaboré ce « virus ».
    Concernant la diffusion de cette « pandémie », comment se fait-il qu’elle soit apparue quasiment simultanément dans le monde entier ? y a-t-il eu des analyses de ce phénomène ? Existe-t-il un précédent ?
    Bonne journée

  2. Bonjour,
    Tout d’abord merci pour votre lettre d’aujourd’hui. J’avoue n’avoir pas lu toutes vos précédentes lettres sur le sujet, de mon côté, les premiers mois d e2020, c’était un changement de région, donc déménagement, et tout ce qui va avec. Malgré cela et bien que n’ayant ni télé ni radio, j’entendais parler et j’ai lu au sujet de cette histoire de coronavirus, et comme vous , je n’y croyais pas du tout ; ensuite j’ai écouté quelques vidéos de lanceurs d’alerte à ce sujet…et de suite, bien que n’étant pas du tout une scientifique, j’ai compris qu’il y avait un lézard sous cette histoire. D’abord, pourquoi en parlait-on à ce point ? Pour la grippe A H1N1, on a vu le tapage fait à son sujet, puis les salles municipales transformées en locaux de vaccination massive…demeurées VIDES ! Personne n’était dupe. J’avais vécu des années auparavant une expérience de vaccination forcée contre l’hépatite B pour mes deux plus jeunes enfants, à une époque où arrivant pour vivre et travailler en région parisienne, seule avec eux deux pour qui je devais trouver et mettre en place la solution centre aéré du mercredi, la seule possible pour des enfants de leurs âges à l’époque. On m’avait contrainte à les faire vacciner sinon ils ne pouvaient être acceptés sans avoir reçu ce vaccin (on était à l’automne 1994) ; on a su plus tard ce qu’il en était réellement de ce fichu vaccin contre l’hépatite B, et j’avoue avoir ressenti une révolte énorme, et donc expérimenté comment les forces gouvernementales et mes autorités médicales s’y prennent pour forcer la population à leur obéir. Ces pratiques ont fait beaucoup de chemin depuis, quand on pense à l’histoire des 11 vaccins pour les nourrissons imposés par Macron dès son arrivée au pouvoir, alors qu’il n’avait jamais été question de telles pratiques auparavant. Ca a fait un peu de foin sur le moment, puis les gros malins qui savaient ce qu’ils faisaient, ont fait passer la loi dans un silence quasi général fin juillet 2017. Il faut savoir qu’aujourd’hui, lorsqu’une famille a un nouvel enfant, si celui-ci ne reçoit pas les fameux vaccins, totu simplement sa famille ne reçoit pas les allocations familiales lui afférant. Alors sans vouloir diminuer votre engagement à vouloir analyser, vouloir y voir clair et informer votre lectorat, je n’ai pas eu besoin de lire grand chose pour tout de suite comprendre qu’il y avait un nouveau « coup monté » là derrière. Alors, premier point sur lequel s’interroger : comment se fait-il que tous ces virus d’infections respiratoires depuis quelques décennies proviennent toujours de Chine ? deuxième point : ne mélangez pas Ebola avec le reste, Ebola a été créé pour décimer toujours plus les populations des pays africains les plus riches en ressources naturelles, et çà reste effectivement très circonscrit à ces zones de la planète. Petite digression au passage : décidément, l’Afrique reste le laboratoire du monde en matière d’expériences sur les manipulations de masse ; d’abord l’histoire du Sida, puis Ebola, et tout ceci sur un fond de dette fausse que l’Afrique n’a jamais eue plus que quiconque, juste, les mêmes qui ont inventé la dette pour l’ensemble du monde, monde occidental y compris, a testé le fonctionnement de la chose sur les pays africains nouvellement décolonisés. Mais revenons à nos moutons…euh, à nos chauve-souris…Lorsque le coronacircus a été bien mis en place, avez-vous remarqué que les pays soi-disant les plus touchés ont été systématiquement tous ceux qui commençaient à voir leurs populations de plus en plus turbulentes et contestataires, la France avec ses « gilets jaunes », l’Espagne et l’Italie avec leurs vélléités de voler de leurs propres ailes hors de l’UE, etc…sur ce qu’il s’est réellement passé sur la poipulation chinoise, on a compris depuis longtemps qu’on ne saurait jamais rien sur ce qu’il s’est passé. Et aux USA, inutile de dire que les émeutes à grande échelle n’étaient évidemment pas du goût des orchestrateurs de la manipulation généralisée à laquelle on assiste.
    Mais je voudrais vraiment vous interpeler sur cette focalisation sur la responsabilité unique de la Chine : le laboratoire P4 de Wuhan ne travaille pas seul isolé du reste du monde, on le sait, des scientifiques français ont participé largement ne serait-ce qu’à son installation, et on n’a pas besoin d’être immergé dans le monde de la recherche pour comprendre que cette collaboration continue. Et aujourd’hui, quelque chose que vous n’abordez absolument pas dans votre article, est porté sur la place publique : les affirmations du professeur Courtillan selon lesquelles le virus du Covid-19 a été fabriqué par l’institut Pasteur, dont on sait par ailleurs à quel point il a pu déjà être montré du doigt…Donc merci pour votre article, j’imagine tout à fait rempli de bonnes intentions, mais un peu surprenant sur le « j’avais tout compris, juste une petite erreur d’estimation », vous nous laissez fâcheusement voir que décidément l’ego des scientifiques, ce n’est vraiment pas rien….Nombre de gens comme moi par contre, c’est-à-dire juste une personne normalement intelligente qui a eu l’occasion d’observer « en live » les agissements des gouvernants et les dérives depuis déjà plusieurs décennies, et aussi plusieurs mandats présidentiels, et donc les conséquences de ces agissements. L’histoire d’être traités de complotiste et de vouloir rassurer qu’on n’en est pas, c’est déjà tomber dans le panneau de ces gouvernants. Et je vais vous dire : lorsque j’ai compris que cet épisode-ci n’était plus du même ressort que celui qui avait actionné H1N1 et la clique, j’ai envoyé un colis à tous mes proches et êtres chers, contenant des choses que je produis moi-même, m’étant reconvertie dans la cueillette de plantes sauvages médicinales (les « simples »), et la transformation de celles-ci en produits d’herboristerie et de phytothérapie, et vous savez quoi ? personne n’est tombé malade ! et nous n’allons jamais chercher autre chose que ce que la nature de notre propre pays met à notre disposition. L’ignorance, la peur, et maintenant la répression, dans lesquelles sont maintenus les gens sont cause de beaucoup plus de maladies ET de décès que ce fichu coronacircus. Il est GRAND TEMPS de poser la véritable question de fond : dans quel but ces épidémies, cette répression, ces mensonges, et comme par hasard ces vaccins ? c’est toujours étrange de constater la naïveté des gens, et comme dans le fond ils sont toujours prêts à emboiter le pas de ceux qui ont l’air si propres sur eux et si « bien-pensants ». Finirez-vous par faire un article pour alerter sur la vérité des soi-disants vaccins, qui sont en fait des OGM, oui, des OGM, on en n’a pas voulu pour notre maïs et pour notre soja, et on va l’accepter en direct pour nous, nos organismes?! Ah ils sont sans gêne ceux qui ayant vu qu’ils ne parviendraient pas à leurs fins par les procédés « doux » de modification de l’Etre Humain par la nourriture, les pollutions, les guerres « au loin », etc…là, çà va y aller, la création d’Etres Humains génétiquement modifiés ! S’il-vous-plait, ne vous contentez pas de votre autosatisfaction d’avoir su dire les choses qu’il fallait quand il fallait à vos lecteurs, ouvrez vous aussi votre conscience, si vous avez un quelconque petit moyen d’informer réellement les gens qui vous lisent, alors dites-leur TOUT, ou ne dites rien, car sinon, c’est trop apparent que vous vous construisez une crédibilité pour mieux asseoir votre gentil business.

  3. il semble vous manquer une information importante le rôle de l’institut pasteur dans la fabrication du virus covid19 ! tout est décrit sur le site verite-covid19.fr ! amicalement tal schaller

  4. S’il y a eu manipulation génétique intentionnelle de la part de Wuhan quel est le but des Chinois, car ils ont été les premières victimes du virus ?

    1. ceux qui pouvaient en bénéficier ne sont pas les gens dans la rue qui sont morts infectés tout simplement. Quand on dit « les Chinois » c’est de plus de 1 milliard de personne qu’on parle; pas tous dans le même panier…semble-t-il.

  5. Bonjour
    Je regrette de m’être abonnée à votre revue. Vos lettres tendent de plus en plus à dénigrer les autorités sanitaires et se rapprochent des thèses conspirationnistes.
    Serrons nous les coudes au lieu de chercher à nousIsabelle démarquer systématiquement en discréditant collègues, décisions, protocoles, vaccins etc…
    Cordialement
    Isabelle

  6. très bon résumé je pense pareil depuis le début et surtout depuis que l’ on nous a caché les jeux olympiques militaires a Wuhan
    ou beaucoup de sportifs de haut niveau ont ete infectes et cela des le mois d octobre 2019 .
    on a donc vu que la grande majorité des médias est corrompue et passe sous silence ce qui les arrange
    , une partie de la population est devenue moins crédule… le seul aspect positif de cette grave crise

  7. Et si les chinois continuaient à développer de nouveaux variants notamment celui qui sévit au royaume uni en ce moment…

  8. s il a des ds preuve,?, mais les recherches continue et parfois des accident arrive : donc il est possible qu un accident soit survenue dans ce laboratoire francais en chine :, parconte les recherche continue sur l étude des bactéries lire le livre de giulia enders : sur les intestins:: et a lyon ils font des recherches sur les bactériophages mangeur de bactéries: hôpital h c l de lyon ;professeur frederic laurent :microbiologist eet tristant ferry infectologue :

  9. cette lettre qui parait une justification pour prouver que finalement, malgré le « Ils vont nous refaire le coup » vous êtes le plus fort, ne me convainc pas du tout !

  10. Bonjour,
    Je vous lis régulièrement et, même si je ne suis pas toujours d’accord avec vous, vos écrits sont souvent marqués du coin du bon sens. Je partage totalement votre analyse en ce qui concerne l’origine du virus SARS-cov-2 mais il est très regrettable que vous utilisiez pour cela un papier mis en avant par L. Montagnier et qui a été rapidement retiré avant même d’être publié. Je crois que les arguments les plus forts concernant une origine « humaine » de ce virus viennent de la virologue chinoise exilée aux Etats-Unis, Li-Meng Yan, dans un papier déposé sur un site de pré-publication. Dans ce papier, elle montre clairement qu’aucune des souches présentées comme parentale par les autorités chinoises ne peut être l’origine directe du SARS-cov-2. De plus, ce dernier présente dans sa séquence, des particularités absolument uniques comme le site de clivage par la furine que vous évoquez. Mais en plus, la séquence du domaine de fixation au récepteur hACE2 (receptor binding domain ou RBD) est entourée de deux sites de coupure par des enzymes de restriction (EcoRI et BstEII) que l’on ne retrouve dans aucune autre séquence de coronavirus. Introduire de tels sites par mutagénèse dirigée est exactement la stratégie qu’aurait adoptée n’importe quel biologiste moléculaire afin de pouvoir remplacer à volonté la séquence du RBM pour des études que l’on qualifie de gain de fonction. Et comme vous le soulignez, ce virus n’a probablement pu se répandre aussi rapidement chez l’homme QUE parce que le RBM de sa protéine spike était déjà parfaitement optimisé pour son interaction avec le récepteur hACE2.
    Bien cordialement
    Bernard Mariamé

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