Il a fallu un incroyable concours de circonstances pour découvrir ce remède MAJEUR contre les infections hivernales

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Non, ce n’est pas la vitamine C.

Mais cela aurait pu !

Car la vitamine C aussi est très efficace contre les infections hivernales – aux bonnes doses1.

Et on serait passé à côté de ce grand remède si un prix Nobel de chimie (Linus Pauling) n’avait pas décidé de s’y intéresser, un peu par hasard.

Mais aujourd’hui, je voudrais vous parler de l’autre remède clé contre les infections.

Comme pour la vitamine C, il a fallu la détermination d’un homme qui n’était pas du cénacle de la médecine.

Sauf que ce n’était pas un prix Nobel, avec tout son prestige scientifique…

… mais un simple urbaniste, licencié en maths !

C’est vraiment une histoire étonnante (et réjouissante) :

Tout commence par une terrible nouvelle pour un papa et sa fille

Nous sommes le jour de la Saint-Valentin, en 1979, au Texas.

George Eby, urbaniste de profession, reçoit un terrible diagnostic : sa fille Karen, âgée de 3 ans, est atteinte de leucémie aiguë.

Rapidement, la chimiothérapie est lancée.

Mais le papa décide de lui donner, en plus, des vitamines et minéraux aux doses quotidiennes recommandées aux adultes2.

L’état de sa fille s’améliore alors à une vitesse impressionnante.

Après deux semaines de traitement, elle n’a plus une seule cellule cancéreuse dans la moëlle osseuse. Et 10 jours plus tard, sa moëlle osseuse reprend un fonctionnement normal.

Son cancérologue, rattaché à l’Université du Texas, est épaté :

« Monsieur Eby, les résultats sanguins de votre fille établissent une forme de record en termes d’amélioration. Je me demande pourquoi.

Peut-être que l’un de ces énormes suppléments de vitamines et de minéraux que vous lui donnez a interagi de manière bénéfique avec notre chimiothérapie.

Vous devriez vous pencher sur ce point, car si vous arrêtez le supplément en question, son état pourrait se détériorer.3»

Sur le coup, Georges Eby est peu décontenancé. Son cancérologue lui donnait la mission de trouver le nutriment mystère !

Urbaniste de profession, il n’a pas la moindre formation médicale.

Mais il n’est pas désarmé intellectuellement. Après son diplôme de mathématiques, il avait fait un court passage à la NASA, sur la mission Apollo.

Alors, il se met au travail.

Il passe des semaines en bibliothèque à éplucher la littérature scientifique.

Et dans le même temps, il examine attentivement l’évolution des symptômes de sa fille : léthargie, anorexie, anémie, etc.

Au bout de quelques mois, il a le sentiment assez net que le zinc est le nutriment le plus utile pour sa fille, en adjuvant de la chimiothérapie.

Il faut dire que les leucémies créent des carences en zinc…

… et que le zinc, comme la vitamine C, est indispensable au bon fonctionnement des cellules T du système immunitaire, qui aident à lutter contre le cancer.

C’est donc du bon sens que de supplémenter un patient cancéreux avec du zinc et de la vitamine C (même si les cancérologues ne le font malheureusement pas).

Et ce d’autant plus que la chimiothérapie détruit les cellules du système immunitaire : c’est ce qu’on appelle « l’immunosuppression » causée par le traitement.

Le rhume qui a changé le cours de l’histoire

Quelques mois plus tard, Karen attrape un rhume particulièrement sévère.

Sa gorge est tellement inflammée qu’elle se dit incapable d’avaler son comprimé de 50 mg de zinc.

Alors, son père lui conseille de le mâcher.

Elle s’exécute, mais, épuisée, s’endort avec l’essentiel du comprimé dans la bouche.

Un peu plus tard, Karen arrive dans le salon avec ses jouets en s’écriant « Je vais bien, maman ! »

Elle avait réussi à se débarrasser totalement de son rhume en quelques heures…

… alors que son système immunitaire était largement « éteint » par la chimiothérapie !

Son père est interloqué.

Pour lui, cette guérison inattendue ne peut pas être due au hasard.

D’autant qu’il connaît maintenant toutes les propriétés scientifiques du zinc, et donc son potentiel immunitaire immense.

Il s’en ouvre à son médecin de famille et à un expert en micronutrition de l’université du Texas4.

Très vite, les trois hommes expérimentent les pastilles de zinc à sucer sur eux-mêmes et leur entourage… avec d’excellents résultats !

Si bien qu’ils décident de lancer un essai clinique en bonne et due forme, pour démontrer scientifiquement l’efficacité de cette façon de prendre le zinc.

Un immense succès… puis, PATATRAS

L’essai clinique, publié en 1984, marquera l’histoire5.

Un peu plus de cent volontaires, victimes d’une forme de rhume, se sont vu proposer de sucer des comprimés pendant 7 jours.

Une partie a reçu des comprimés de zinc et l’autre partie a reçu des comprimés « placebo ».

Et les résultats sont sensationnels.

Ceux qui ont pris du zinc ont souffert de symptômes infectieux pendant seulement 4 jours en moyenne… contre 11 jours pour les autres !

Pour obtenir ce résultat, les doses de zinc étaient assez élevées.

Les patients adultes devaient d’abord sucer deux comprimés de 23 mg coup sur coup, puis un comprimé toutes les deux heures, sans dépasser 12 comprimés par jour.

Pour certains, l’effet a été immédiat :

  • Un patient sur cinq était totalement guéri au bout de 24h (alors que dans le groupe placebo, personne ne l’était !) ;
  • Et les trois quarts d’entre eux étaient totalement guéris au bout de 3 jours.

Ce sont des résultats extraordinaires.

Les infections « banales » de l’hiver ne sont pas très graves, mais elles sont extrêmement difficiles à soigner.

Vous avez peut-être entendu ce dicton :

« Un rhume soigné dure 7 jours, un rhume non soigné dure une semaine ».

Donc, c’était bien la première fois qu’on faisait mentir ce dicton de façon aussi manifeste.

Avec, à la clé, des millions d’heures de maladie évitées… et aussi d’énormes promesses pour guérir les autres infections virales.

Logiquement, plusieurs essais cliniques sont lancés pour vérifier ces résultats épatants.

Et, patatras…

… ils n’ont pas trouvé les mêmes résultats que George Eby.

Plusieurs études concluent même à une efficacité égale à zéro.

C’est l’incompréhension totale.

Jusqu’à ce qu’avec un chimiste français, George Eby trouve la clé du mystère.

Eurêka !!

Le zinc ne fonctionne que si…

Je vous dis tout la semaine prochaine, restez connecté !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Karen s’est bien remise de sa leucémie.

Elle est a même fait des études scientifiques et a publié en 2006, avec son père, un article médical sur les pouvoirs du magnésium contre la dépression6.

Sources

[1] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38082300/

[2] Voir le livre de George Eby : https://zenodo.org/records/11546134

[3] Voir le livre de George Eby : https://zenodo.org/records/11546134

[4] https://www.washingtonpost.com/archive/lifestyle/wellness/1985/01/16/zinc-the-cold-fighter/e3b88bb9-42e9-4338-aec5-cb8dcb3d6893/

[5] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC185426/

[6] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16542786/

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